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Épidémiologie, analyse de risque, recherche clinique
/ 17-12-2021
Rayar Arunkumar Michel
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L’efficacité des traitements immunosuppresseurs a permis l’essor et le succès de la transplantation hépatique. Ainsi, l’utilisation des inhibiteurs de la calcineurine, dont le tacrolimus est le représentant principal, a permis une diminution drastique de la fréquence des complications immunologiques. En revanche, les effets indésirables liés à son utilisation représentent aujourd’hui une part importante de la morbidité posttransplantation. Partant de ce constat, l’objectif de notre travail était d’optimiser l’utilisation du tacrolimus chez les patients transplantés hépatiques à l’aide de méthodes pharmacologiques innovantes et d’explorer les mécanismes physiopathologiques de sa toxicité. Un premier axe de recherche a été d’évaluer une stratégie de minimisation extrême de la cible de concentration résiduelle sanguine du tacrolimus permettant ainsi de conforter cette attitude thérapeutique. Une seconde piste a permis de mettre en évidence l’importance de la variabilité intra-individuelle des concentrations de tacrolimus durant la phase précoce comme marqueur de la survenue de ses effets indésirables et de la survie à long terme des patients. Enfin, l’étude de la mesure des concentrations de tacrolimus dans la bile nous a permis d’apporter des pistes sur les mécanismes potentiels de sa toxicité. Les résultats de ces différents travaux nous ont donc permis d’améliorer notre pratique clinique et d’ouvrir plusieurs pistes dans la compréhension des mécanismes de la toxicité du tacrolimus.
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