Yuka, QuelCosmetic, INCI Beauty… de plus en plus d’applications de notation des cosmétiques voient le jour et remplacent le conseil humain dans nos officines par l’aide du smartphone. Ces nouveaux modes de consommation m’ont amené à proposer un questionnaire destiné dans un premier temps aux consommateurs pour en savoir plus sur leurs connaissances vis-à-vis des substances polémiques dans les produits cosmétiques. Un deuxième sondage similaire a été soumis aux officinaux dans un but de comparaison de l’information des deux populations sur ce thème. L’intérêt de ce travail était d’alerter sur les risques réellement existants et rassurer sur les polémiques non fondées largement relayées par les médias, en exposant les différentes études scientifiques disponibles sur les substances les plus citées lors des sondages. Enfin, nous exposerons les alternatives possibles aux consommateurs désirant limiter leur exposition à ces ingrédients cosmétiques controversés.