|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
Tri :
Date
Titre
Auteur
|
|
Pharmacie
/ 24-10-2023
Mouton Victor
Voir le résumé
Voir le résumé
Avec plus de 600 000 nouveaux cas dans le monde en 2020, le cancer du col de l’utérus représente le 7ème cancer à l’incidence la plus élevée au monde. Il est quasiment exclusivement causé par une infection persistante à HPV à haut risque. Les infections à HPV étant les infections sexuellement transmissible les plus fréquente au monde, il est important d’inclure le plus de femmes possible dans le dépistage du cancer du col de l’utérus ainsi que d’avoir les systèmes diagnostics les plus performants pour distinguer les patientes à risque de développer un cancer et celle dont l’infection est seulement transitoire. En France, les recommandations actuelles basent le dépistage du cancer du col de l’utérus sur l’examen cytologique du frottis cervico-utérin ainsi que sur le test HPV permettant la détection moléculaire des génotypes des HR-HPV, ces deux tests pouvant être réalisés sur des auto-prélèvements vaginaux. La démocratisation des techniques de séquençage de nouvelle génération dans les laboratoires de virologie en France suite à l’épidémie de SARS-CoV2 ainsi que, depuis quelques années, la présence d’études évaluant la faisabilité du test HPV sur les urines dans un but d’élargir le dépistage au maximum de femmes possible, nous a poussé à Brest à travailler sur la faisabilité, la mise en place et le positionnement du séquençage de nouvelle génération dans le cadre d’étude épidémiologique et du dépistage du papillomavirus humain sur des auto-prélèvements génitaux et urinaire.
|
|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|