|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
Tri :
Date
Titre
Auteur
|
|
Sciences de gestion
/ 29-04-2013
Moungala Wilfried Paterne
Voir le résumé
Voir le résumé
La crise financière de ces dernières années a relancé le débat sur le caractère dit « sans risque de défaut » des obligations souveraines. Face aux enjeux économiques et financiers, les établissements de crédit et les Institutions Financières ont du revoir les méthodes d’évaluation des obligations. Cette thèse a pour objectif la modélisation et la Gestion des prix obligataires et s’articule autour de quatre points. Dans le premier point, nous avons présenté les approches théoriques portant sur les modèles traditionnels des taux d’intérêt. Dans le second point, nous avons conçu un modèle test nommé M-M en discrétisant les modèles à temps continu du taux d’intérêt court et en recourant aux modèles de la famille GARCH. Ce modèle est construit en incorporant les effets niveau des taux d’intérêt à court terme et GARCH (1,1). Les résultats de l’estimation du modèle M-M suggère la nécessité de tenir compte des deux effets pour la modélisation des rendements des bons du Trésor américain. Le troisième point consiste à extraire les facteurs que l’on peut interpréter comme le niveau, la pente et la courbure. Ces facteurs sont extraits à partir de deux modèles qui sont des extensions dynamiques de la fonctionnelle de Nelson et Siegel. Les courbes des taux utilisés sont celles des Etats-Unis, de la France et de l’Afrique du Sud. La présence de l’Afrique du Sud dans cette étude est due à notre envie de traiter la structure par terme des taux d’intérêt d’un pays africain et aussi son économie émergente. A l’aide des proxies, et d’une ACP sur la courbe des taux de ces trois pays, ces facteurs ont été analysés sur la base de leur qualité d’ajustement. Le dernier point a pour but de traiter les indicateurs macroéconomiques et financiers qui peuvent expliquer les facteurs endogènes extraits.
|
|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|