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MÉDECINE
/ 23-06-2020
Mahé Romain
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Contexte : Malgré ses bienfaits sur la santé, la pratique d’une activité physique intense engendre, le temps de sa pratique, une majoration du risque d’évènements cardiovasculaires pouvant aller jusqu’à la mort subite. L’évènement révèle alors, dans la majorité des cas, une pathologie cardiaque méconnue. Tout l’enjeu réside dans la détection précoce de ces pathologies sous-jacentes, souvent asymptomatiques. Pour cela, la société française de cardiologie a émis de nouvelles recommandations sur l’utilisation de l’épreuve d’effort dans le cadre de la visite d’absence de contre-indication à la pratique sportive (VACI). Objectif : L’objectif de cette étude était de faire un état des lieux des critères de prescription de l’épreuve d’effort des médecins généralistes bretons dans le cadre de la visite d’absence de contre-indication à la pratique sportive. Méthodes : Étude quantitative épidémiologique observationnelle transversale descriptive par questionnaire anonyme numérisé (logiciel LimeSurvey) adressée aux médecins généralistes bretons via les conseils de l’ordre, l’URPS de Bretagne et les associations rennaise et bretonne de médecine du sport. Résultats : 369 questionnaires ont été analysés. La VACI était un motif de consultation important (49,7% pratiquent entre 10 et 20 VACI/semaine). Chez le sujet asymptomatique avec un examen physique normal, les critères de prescription les plus pertinents pour les médecins interrogés étaient l’âge (88%), le risque cardiovasculaire global du sportif (86,8%), la notion de reprise du sport (82, 8%) et l’intensité de sport désiré (80,9%). 38% des médecins utilisaient l’âge comme critère unique de prescription. Conclusion : Pour poser l’indication de l’épreuve d’effort lors de la VACI, une minorité de médecins de notre étude (19,1 %) s’appuient sur des outils ou recommandations. Ils semblent utiliser le risque cardiovasculaire global estimé du sujet comme critère majeur de prescription malgré l’absence d’évaluation standardisée de ce risque.
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Pharmacie
/ 03-10-2017
Mahé Romain
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De nos jours, l’aromathérapie, comme d’autres médecines dites alternatives telles que la phytothérapie ou l’homéopathie, intéresse de plus en plus la population. Pour autant, cette discipline repose principalement sur une utilisation traditionnelle. A l’heure de la médecine moderne, il semble donc important d’apporter des preuves de l’efficacité des huiles essentielles. Les deux premières parties décrivent, d’une part, les généralités sur les huiles essentielles (origines, composition,…), d’autre part, celles sur le foie (anatomie, rôles, bilan hépatique). Enfin, la dernière partie recense et détaille les huiles essentielles et leurs études sur leurs activités hépatiques principalement hépatoprotectrice et cholagogue/cholérétique.
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