La peau, associée à ses annexes cutanées dont les cheveux, constitue la première ligne de défense contre les stress exogènes. Tous les jours, l’exposition à la pollution atmosphérique et l’irradiation à la lumière bleue la fragilise et sont responsables d’effets néfastes aux niveaux cutané et capillaire. C’est dans ce contexte que les professionnels de l’industrie cosmétique ont développé des produits permettant de nettoyer, protéger ou réparer la peau et les cheveux de l’impact de ces deux stress exogènes. En parallèle, la mise sur le marché de ces produits cosmétiques antipollution et anti-lumière bleue s’est accompagnée du développement de méthodes innovantes adaptées à l’objectivation de leur efficacité. L’objectif de cette thèse est ainsi d’établir un lien entre l’impact de la pollution atmosphérique et digitale et l’efficacité revendiquée par les produits cosmétiques antipollution et anti-lumière bleue.