Les traitements du cancer du sein locorégionaux (chirurgie et radiothérapie) et systémiques (chimiothérapie et hormonothérapie) sont responsables d’effets indésirables qui empoisonnent la vie des patientes. Afin d’améliorer leur qualité de vie, bon nombre d’entre elles s’orientent vers des médecines non conventionnelles, encore appelées médecines complémentaires ou médecines alternatives et complémentaires. Parmi ces médecines complémentaires disponibles à l’officine, on retrouve la phytothérapie et par extension l’aromathérapie, l’homéopathie et la micronutrition. Ces dernières peuvent être à l’origine d’interactions avec les traitements anticancéreux conventionnels, c’est pourquoi les pharmaciens d’officine ont un rôle de conseil important à jouer. J’ai ainsi effectué des recherches bibliographiques sur la prise en charge allopathique du cancer du sein et sur les médecines complémentaires susceptibles de soulager les patientes des effets indésirables engendrés par les traitements.