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Médecine
/ 11-01-2024
Gendrot Marie
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Contexte : Le choix d’un traitement palliatif approprié et acceptable pour les patients atteints d’un cancer avancé nécessite une approche personnalisée. En raison de leur relation de proximité avec les patients, de leur rôle de coordinateur de soins et de leur vision holistique, les médecins traitants ont un rôle à jouer dans cette démarche décisionnelle. Le but de cette étude est de préciser l’impact de l’intégration du médecin traitant à la prise de décision thérapeutique palliative en pratique oncologique courante. Méthodes : Nous avons réalisé une étude observationnelle, prospective, menée du 31 mai 2022 au 11 juillet 2023 au sein du centre régional de lutte contre le cancer de Rennes (centre Eugène Marquis). Face à une situation oncologique complexe impliquant un patient atteint d’un cancer localement avancé ou métastatique, les oncologues indécis quant à l’introduction d’un traitement palliatif étaient encouragés à contacter le médecin traitant de ce patient pour échanger sur les possibilités thérapeutiques, puis à renseigner une fiche de recueil dédiée. Le critère de jugement principal correspondait au taux de changement entre la stratégie thérapeutique initialement imaginée par l’oncologue et la décision thérapeutique finale après échange avec le médecin traitant et le patient. Résultats : 56 fiches d’inclusion ont été obtenues après 14 mois de recueil. L’intégration du médecin traitant, à travers un échange téléphonique initié par l’oncologue, a conduit à modifier la décision thérapeutique dans 23% des cas (vers une escalade thérapeutique dans 46.2% des cas et vers une désescalade thérapeutique dans 30.8% des cas). Le médecin traitant était injoignable ou indisponible dans près de 25% des cas. Conclusion : La prise de décision thérapeutique en situation palliative est un procédé délicat, soutenant l’importance d’échanges interprofessionnels sur le sujet. La prépondérance de l’oncologue doit faire place à un accompagnement pluridisciplinaire tout au long du parcours de soins des patients atteints d’un cancer avancé. Le médecin traitant y a toute sa place, à condition qu’il s’implique de manière proactive et que cette intégration soit soutenue et facilitée par les équipes spécialisées.
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Chirurgie dentaire
/ 07-12-2018
Gendrot Marie
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Une perte de substance infra-gingivale en secteur postérieur complique la mise en oeuvre d’une restauration prothétique partielle collée. Deux techniques apparaissent aujourd’hui comme étant intéressantes afin de gérer cette limite cervicale : l’élongation coronaire chirurgicale et la remontée de marge. Le but de cette thèse est de comparer ces deux techniques. Ce travail s’est construit autour d’une revue de littérature réalisée à partir de Pubmed de novembre 2017 à mai 2018. 34 articles ont été sélectionnés. Des critères de comparaison de ces protocoles ont été établis et aucune supériorité d’une technique sur l’autre n’a pu ressortir. En effet, qu’il s’agisse de l’adaptation marginale, de la force de liaison ou de la santé parodontale plus généralement, le niveau de preuve clinique n’est pas suffisant pour établir une différence significative entre ces deux techniques et son utilisation en pratique clinique relève donc du choix personnel du praticien. Des résultats cliniques supplémentaires sont nécessaires notamment sur le long terme pour affirmer la suprématie ou non d’une des deux techniques. L’objectif secondaire de ce travail est de guider le chirurgien-dentiste dans le choix du matériau pour réaliser la remontée de marge. A ce jour, aucun matériau ne répond à tous les critères du matériau idéal dans cette indication.
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