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Pratique du dépistage auditif chez l'enfant par les médecins généralistes d'Ille et Vilaine lors des certificats obligatoires du 9ème et du 24ème mois.
Médecine / 26-04-2016
Delamarche Audrey
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Contexte : La déficience auditive est le déficit sensoriel le plus fréquent chez l’enfant. Un diagnostic tardif peut avoir des répercussions importantes sur le développement. Le dépistage régulier est primordial et est en partie dévolu aux médecins généralistes lors des certificats obligatoires du 9ème et du 24ème mois de l’enfant. Objectif : Une étude quantitative observationnelle descriptive transversale a été réalisée. L’objectif était de mieux connaître la pratique du dépistage auditif à 9 et 24 mois par les médecins généralistes. Méthodologie : L’étude a été menée par questionnaire numérique auprès de 478 médecins généralistes d’Ille et Vilaine. L’étude s’est déroulée entre le 28 Avril et le 30 Juin 2015. A partir des réponses au questionnaire, la notion de médecins réalisant un dépistage satisfaisant a été introduite. Il s’agissait des médecins associant systématiquement la recherche des facteurs de risque, la recherche des signes d’appel et un test auditif. Résultats : 110 réponses ont été obtenues. Un dépistage satisfaisant était réalisé par 37% des médecins à 9 mois et 27% des médecins à 24 mois avec un temps moyen consacré de 4,6 minutes. Les tests de dépistage les plus utilisés à 9 et 24 mois étaient la voix nue et le Sensory Baby Test. La connaissance des recommandations et la formation des médecins sont apparues comme des facteurs prédisposant à la réalisation d’un dépistage satisfaisant. Les recommandations étaient connues par 34% des médecins et 28% avaient suivi une formation. Une formation complémentaire était souhaitée par 68% des médecins. Conclusion : Malgré l’encadrement législatif et les recommandations, le nombre de médecins pratiquant un dépistage auditif satisfaisant à 9 et 24 mois est faible. Une meilleure formation des médecins et une meilleure diffusion des recommandations paraissent souhaitables pour uniformiser et améliorer les pratiques. Les médecins en sont d’ailleurs demandeurs.
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