|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
Tri :
Date
Titre
Auteur
|
|
médecine cardiovasculaire
/ 10-09-2024
De Vos Piet
Voir le résumé
Voir le résumé
Introduction : La présence de troubles de la repolarisation à type d’ondes T négatives pathologiques sur un ECG de repos justifient la réalisation d’un bilan à recherche d’une cardiopathie sous-jacente avec notamment la réalisation d’une IRM myocardique. L’objectif de cette étude était de déterminer si l’intégration de paramètres échocardiographiques plus récents tels que le strain et le travail myocardique constituaient un moyen de dépistage suffisamment performant pour diminuer le recours aux IRM. Méthode : 183 athlètes avec des ondes T négatives pathologiques ayant bénéficié d’une échocardiographie et d’une IRM cardiaque au CHU de Rennes ont été inclus. Les patients ont été classés au terme du bilan en patients non pathologiques ou pathologiques. Résultats : Sur les 183 patients, 63 cardiopathies (34,4%) ont été diagnostiquées dont 40 cas de cardiomyopathies hypertrophiques (CMH), 6 cas de cardiomyopathies dilatées (CMD), 5 cas de Non compaction du Ventricule Gauche (NCVG), 6 dysplasies arythmogènes du ventricule droit (DAVD), 5 fibroses myocardiques isolés non ischémique et une séquelle d’infarctus,. Le strain et les différents paramètres de travail myocardique Work étaient significativement abaissés dans le groupe pathologique. Cependant ces paramètres ne permettaient pas de dépister l’ensemble des cardiopathies. Conclusion : Notre étude confirme l'importance d'une évaluation approfondie des PTWI. Le Strain et de Myocardial Work apportent quelques éléments au dépistage mais ne permettent pas de se passer de l’IRM cardiaque.
|
|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|