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MEDECINE GENERALE
/ 25-05-2021
Curelli Paola
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Contexte. Le syndrome génito-urinaire de la ménopause (SGUM) désigne l'ensemble des symptômes vulvovaginaux, sexuels et urinaires, secondaires à la baisse des œstrogènes lors de la ménopause, étape physiologique de la vie des femmes. Malgré une prévalence forte, estimée à 50 % des femmes ménopausées, et son impact négatif sur la qualité de vie, sa prise en charge resterait insuffisante. Objectifs. L’objectif principal était d’évaluer si les médecins généralistes ont connaissance du SGUM et des traitements adaptés. Les objectifs secondaires étaient d’identifier les freins à sa prise en charge et un éventuel désir de formation. Méthode. Une étude quantitative par un questionnaire en ligne a été menée entre septembre et octobre 2020 auprès de médecins généralistes bretons. Résultats. 221 questionnaires ont été analysés. 72,4 % des participants ont déclaré avoir connaissance du SGUM. La prise en charge symptomatique était équivalente qu’ils aient déclaré avoir connaissance ou non du SGUM. 10 % des participants le recherchaient systématiquement. La majorité pensait ne pas bien connaître les modalités de prescription des thérapeutiques disponibles. 83,7 % étaient intéressés par une formation complémentaire. Conclusion. Les médecins généralistes sont globalement formés au SGUM et en capacité de répondre aux demandes des patientes mais ne le recherchent pas assez spontanément.
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