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Médecine Générale
/ 09-02-2017
Chazé Déborah
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Introduction : Les mesures du plan national 2015 - 2018 pour le développement des soins palliatifs et de l'accompagnement en fin de vie et plus récemment la loi LEONETTI CLAYES du 2/02/2016, créant des nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie, tendent à renforcer les droits du patient notamment dans le respect de ses volontés, qui passe entre autre par la désignation d'une personne de confiance. L'implication du médecin traitant dans la fin de vie est aussi une dimension qui tend à être consolidée. Quelle peut être alors la place du médecin généraliste en tant que personne de confiance ? Méthode : Le choix s'est porté sur une étude qualitative par entretiens semi dirigés auprès de médecins généralistes d'Ille et Vilaine volontaires, ayant ou pas une expérience en tant que personne de confiance. Onze entretiens ont été réalisés. Résultats : Les médecins se positionnent sur le rôle à tenir dans l'accompagnement de leurs patients en fin de vie, mais pas d'emblée en tant que personne de confiance. Ils évoquent dans un premier temps les difficultés organisationnelles et notamment les contraintes de temps, mais ils font surtout part des difficultés émotionnelles engendrées par le poids de cette responsabilité. Conclusion : Même s'ils semblent prêt à accepter le rôle de personne de confiance pour leurs patients, les réserves que les médecins généralistes émettent soulèvent une connaissance encore imparfaite de ce dispositif légal.
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