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Médecine Générale
/ 05-07-2019
Chataigner-Pilorge Anne-Sophie
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Introduction : La progression du taux d’initiation et de la durée d’allaitement est un objectif de santé publique et nécessite une diffusion d’informations et un accompagnement adéquate. Les sources de soutien sont nombreuses et le médecin généraliste en fait parti. Méthode : A travers cette étude qualitative basée sur 12 entretiens semi-dirigés, plusieurs thèmes ont pu être abordés notamment l’expérience du vécu des mères, les sources d’informations sollicitées dont la place du médecin généraliste, avec objectif de faire émerger les caractéristiques de la personne ressource idéale. Résultats : Les sources d’informations sont multiples, professionnels de santé ou non, manuscrite ou informatique, télévisuel…Le généraliste n’y est que peu représenté. De par son manque de formation ou d’intérêt pour le sujet, son rôle d’accompagnateur plus que de prescripteur est difficile à tenir. Ce motif possible de consultation doit encourager les médecins à s’intéresser aux sujets, à repérer les signes de gravité ou de risque de sevrage pour les amener à re-consulter plus régulièrement ou les orienter vers un professionnel plus qualifié. Conclusion : Le choix d’allaiter impose que la mère et le père aient reçu du soutien et des informations claires et répétées durant la grossesse et tout au long de l’allaitement. Cela nécessite une communication interprofessionnelle dont le médecin généraliste est un maillon pour éviter les contradictions. Au-delà de ça c’est toute une société qui doit s’adapter et réagir pour accroître la popularité de l’allaitement.
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