Recherche avancée
Toutes les thèses
Thèses de doctorat
Thèses d'exercice (médecine, santé, pharmacie)
Toutes les thèses > Par auteur en fr
  • Nouveautés
  • Par date
  • Par auteur
Toutes les thèses  -> Auteurs
Auteurs > B > Bosse Jenna
Niveau supérieur
  • 1 ressource a été trouvée.
  |< << Page précédente 1 Page suivante >> >| documents par page
Tri :   Date Titre Auteur

Connaissances et utilisation des méthodes de diagnostic rapide dans le diabète de type 1chez l’enfant au cabinet de médecine générale


Médecine / 03-06-2025
Bosse Jenna
Voir le résumé
Voir le résumé
Introduction : L’incidence du diabète de type 1 (DT1) est en constante augmentation. Un diagnostic rapide et efficace est primordial pour limiter la fréquence de l’acidocétose inaugurale et de la morbi-mortalitée associée. Pour cela, des méthodes de diagnostic rapide (MDR) existent comme la bandelette urinaire (BU) et la glycémie capillaire (GC), mais il semble qu’elles soient encore trop peu utilisées pour le diagnostic de DT1 au cabinet de médecine générale. Objectif : Ce travail avait pour but l’évaluation de l’utilisation ainsi que de la perception des potentiels avantages et inconvénients, des MDR auprès d’un échantillon de médecins généralistes d’Ille et Vilaine. Un recueil des connaissances sur les signes initiaux du DT1 chez l’enfant et la prise en charge diagnostique a également été réalisé. Méthode : Nous avons créé un questionnaire en ligne, basé sur les données déjà existantes sur cette problématique dans la littérature. Celui-ci a été envoyé par mail aux médecins généralistes installés et remplaçants d’Ille et Vilaine. Puis nous avons analysé à l’aide de tests statistiques appropriés, les freins et les avantages exprimés à propos de l’équipement et l’utilisation déclarés des MDR. Résultats : Notre échantillon était composé de 74 réponses complètes à notre questionnaire. Nous avons pu mettre en évidence, que le point de vue sur la péremption et le conditionnement des MDR était significativement associé aux déclarations concernant l’équipement et l’utilisation de celles-ci par les médecins généralistes. La fiabilité des résultats de ces dispositifs, n’est pas reconnue par 22,97 % des médecins de notre étude pour la BU et par 13,51 % pour la GC. Cette opinion est également associée à l’équipement et l’utilisation des MDR déclarés par les médecins interrogés. Le temps de recueil est également perçu comme un frein significativement associé à leur utilisation. Conclusion : Les connaissances cliniques des médecins généralistes interrogés sur le DT1 semblent globalement bonnes. Compte tenu de l’absence d’alternative efficace et rapide à la BU et la GC, permettant de s’affranchir de leurs limites, un travail de renforcement de la confiance des médecins généralistes dans les MDR semble être une orientation pertinente pour améliorer leur utilisation. Cela pourrait être un axe à envisager lors des campagnes de sensibilisation et d’information.

rss |< << Page précédente 1 Page suivante >> >| documents par page
© 2016  |  MENTIONS LEGALES  |  PLUS D'INFORMATION