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Chirurgie dentaire
/ 05-03-2020
Albanese Clémence
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Même si les progrès de la radiothérapie (IRMT, Rapid Arc) ont réduit l’impact des rayonnements sur les tissus sains, le risque d’ostéoradionécrose (ORN) existe toujours. A cette fin, différents protocoles d’extraction sont proposés, qui ont tous le même objectif. Le but est de limiter l’exposition osseuse post extractionnelle, d’empêcher la contamination du site opératoire pour permettre une cicatrisation muqueuse, la plus rapide possible. Localement seront utilisés des colles biologiques, des blocs de collagène imbibés de Gentamycine ou rien. Ces gestes locaux sont toujours associés à une antibiothérapie générale. A part les blocs de collagène imbibés de Gentamycine, toutes ces options thérapeutiques nécessitent le plus souvent un secteur hospitalier et engendrent un coût relativement élevé. Depuis plusieurs années maintenant, on constate l’essor de l’utilisation des facteurs de croissance dans le domaine odontologique, par le biais du Platlet Rich Fibrin (PRF). Utilisé sous forme de membranes biologiques, ce PRF semble entraîner une accélération de la cicatrisation des tissus mous. Son utilisation, assez simple, nécessite un prélèvement sanguin du patient, une centrifugation et une petite manipulation afin d’obtenir les membranes. Nous avons donc essayé de faire le point de la littérature sur le PRF et son utilisation dans la cicatrisation des divers tissus. Pour obtenir un avis objectif du rôle du PRF dans les extractions en territoire irradié, nous avons souhaité mettre au point un protocole d’utilisation en partant sur une étude prospective de cas.
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