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Médecine
/ 20-09-2017
Polin Baptiste
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Introduction: Le nombre d’implantation de prothèse cardiaque de type pacemaker ou défibrillateur n’a de cesse d’augmenter avec le temps. Parallèlement, la nécessité d’extraire le matériel endocavitaire (en cas de complication) augmente également. La gaine mécanique active TightRailTM est un des outils le plus récent pour l’extraction de sondes endocavitaires. Son utilisation au CHU de Rennes s’intègre dans une stratégie par étapes, les différents moyens techniques disponibles étant utilisés au fur et à mesure de la procédure si nécessaire. Méthodes : Il s’agit d’une étude monocentrique prospective observationnelle réalisée au CHU de Rennes dont l’objectif est d’évaluer la gaine mécanique active TightRailTM en termes d’efficacité et de sécurité. Le critère d’efficacité est composé du taux de succès complet de procédure défini comme l’extraction de tout le matériel et du taux de succès clinique défini comme son extraction partielle (<4cm restant). Ces données cliniques et paracliniques sont recueillies prospectivement au cours de l’hospitalisation des patients. Deux groupes successifs de patients sont comparés, celui pour lequel le TightRailTM n’est pas disponible au moment de la procédure et celui pour lequel le TightRailTM est disponible. Résultats : Quatre-vingt-seize patients ont été inclus dans l’étude pour un total de 187 sondes extraites. Parmi ces sondes, 102 (54.5%) était répertoriées dans le groupe sans TightRailTM et 85 (45.5%) dans le groupe avec TightRailTM. On retrouve un taux de succès complet et clinique de procédure similaire entre les deux groupes, que ce soit par patient ou par sonde. En analyse multivariée intégrant les facteurs de risque connus d’extraction difficile qui sont l’ancienneté de la sonde et la présence d’une sonde de défibrillateur, l’utilisation du TightRailTM est associée à un taux plus important de succès total et clinique (OR=3.75 et 5.94). Concernant les complications, elles étaient similaires entre les 2 groupes. Conclusion : Cette étude met en évidence l’intérêt d’un outil tel que le TightRailTM dans la stratégie d’extraction de sonde endocavitaire. En effet, avec un taux de complications similaire il permet d’améliorer le taux de succès de procédure, notamment dans les cas d’extraction difficile.
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MEDECINE
/ 06-10-2021
Liard Clémence
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Parmi les présentations cliniques d’une atteinte à SARS-CoV-2, il existe des manifestations neurologiques à type de céphalées, de confusion, voire d’encéphalopathie. Des études avaient déjà rapporté un taux plus important de manifestations neurologiques chez les patients de réanimation. Nous avons mené une étude rétrospective visant à déterminer l’incidence de l’agitation chez les patients atteints de SARS CoV-2 admis en réanimation au CHU de Rennes et requérant une ventilation mécanique, en comparaison à une population de patients atteints de grippe. Nous avons inclus 146 patients Covid-19 et 94 patients atteints de grippe. Nous avons mis en évidence un taux significativement plus important d’agitation chez les patients Covid-19 (54.8 % vs 33.0%, p value < 0.001). Après un appariement selon un score de propension, l’agitation reste significativement plus élevée chez les patients Covid-19. L’agitation est associée indépendamment à la mortalité après ajustement avec les autres facteurs (HR = 1.85, 95% CI 1.37-2.49, p < 0.001).
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Médecine
/ 21-10-2022
Loreaux François
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Objectif : Comparer le régime alimentaire évalué à partir d'un questionnaire nutritionnel simplifié entre des patients atteints d'artériopathie oblitérante des membres inférieurs (AOMI) symptomatique et des sujets sains. Matériel et méthodes : Il s'agit d'une étude ancillaire de l'étude ELECTROPAD incluant des patients atteints d'AOMI symptomatique et des sujets sains. Tous ont eu une mesure des index des index de pression systolique (IPS), un test sur tapis roulant (3,2 km/h, pente de 10 %) et ont rempli un questionnaire de fréquence alimentaire: le Cardiovascular Disease Questionnaire 2 (CDQ-2). Nous avons comparé les différents résultats du CDQ-2 entre les patients AOMI et les sujets sains. Résultats : Le score global moyen était significativement plus faible (p = 0,0011) dans le groupe AOMI ainsi que pour les sous-scores concernant les acides gras insaturés et les fruits et légumes 5,92 ± 3,04 contre 8,73 ± 2,22 (p < 0,0001). Seul le sous-score concernant les acides gras saturés ne montrait pas de différence significative (p = 0,8803). Conclusion : Les résultats de cette étude attestent que le CDQ-2 met en évidence que les patients souffrant d'AOMI et de douleurs à l'effort ont une alimentation défavorable par rapport à des sujets sains.
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Médecine Général
/ 01-02-2019
Goupil Bruno
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INTRODUCTION : La promotion pharmaceutique influence les prescriptions des médecins, mais son impact est mal connu en France. L’objectif de cette étude était d’évaluer l’influence des « avantages » (don de matériel, repas, transport, hébergement, etc.) versés par les firmes pharmaceutiques en 2016 aux médecins généralistes libéraux français sur certaines de leurs prescriptions médicamenteuses. METHODE: Étude rétrospective à partir des données médico-administratives du Système National des Données de Santé de l’Assurance Maladie et de la base Transparence Santé pour l’année 2016. Certains indicateurs de la Rémunération sur objectif de santé publique (ROSP) et le montant total des prescriptions des médecins généralistes français ont été comparés au montant des avantages déclarés dans la base Transparence Santé. Les médecins sans avantage déclaré ont également été inclus en tant que comparateurs. RESULTATS : Les données concernant 41 257 médecins ont été analysées. Recevoir des avantages de la part des firmes pharmaceutiques était associé à un montant total de médicaments remboursés par l'Assurance Maladie plus élevé, plus de prescriptions de vasodilatateurs, de benzodiazépines pour une durée longue et moins de prescriptions de génériques (p<0,001). Cette relation était significative même pour de faibles montants perçus (moins de 70 € par an) (p<0,001). Une estimation du surcoût de remboursement pour l'Assurance Maladie des médicaments prescrits par les médecins généralistes ayant des avantages déclarés a été évaluée à 550 millions d’euros en 2016 par rapport à ceux n’ayant rien perçu selon les données de la base Transparence Santé. CONCLUSION : La perception d’avantages de la part des firmes pharmaceutiques semble influencer les prescriptions des médecins généralistes. Limiter ces avantages pourrait être un levier pour un usage plus rationnel du médicament.
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Médecine
/ 05-05-2023
Carton Isis
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Objectif : Evaluer dans une population de patientes nullipares et infertiles, avec un facteur utérin d’infertillité identifié, qu’il s’agisse d’une dysmorphie à type d’utérus en T ou encore d’un endomètre fin, le résultat sur la fertilité après réalisation d’une métroplastie d’agrandissement. Le critère de jugement principal porte sur la survenue d’une naissance vivante à 18 mois post chirurgie. Design: Il s’agit d’une étude retrospective observationnelle monocentrique réalisée entre entre le 1er janvier 2015 et le 31 décembre 2019 à la clinique Mutualiste de la Sagesse. Resultats : 43 patientes ont été inclues dans l’étude. En post chirurgie le taux de naissance vivante était de 53.5% dont 27.9 % à 18 mois post chirurgie, contre 0% avant la chirurgie. Nous n’avons relevé aucune complication per ou post opératoire. Conclusion : La métroplastie d’agrandissement semble améliorer significativement les chances de naissance vivante dans une population de patientes nullipares et infertiles souffrant a minima d’une pathologie utérine à type d’utérus en T ou d’endomètre fin.
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médecine
/ 23-09-2019
Parat Benjamin
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Objectifs : La thrombectomie est un traitement efficace et validé pour les patients atteints d’accidents ischémiques aigues dus à une occlusion proximale dans la circulation artérielle antérieure. Cependant, l’efficacité de la thrombectomie dans l’amélioration du pronostic fonctionnel reste imparfaitement prévisible et de nouveaux biomarqueurs pronostiques sont nécessaires. Cette étude traite du brush sign, c’est-à-dire la dilatation de veines cérébrales profondes et/ou superficielles en séquence SWI en IRM. Le but de cette étude était de construire une méthode de quantification du brush sign reproductible et d’évaluer sa valeur pronostique clinique. Méthodes : Dans une étude monocentrique, retrospective et observationnelle, nous avons inclus des patients traités par thrombectomie pour accident ischémique cérébral et explorés par séquence SWI en IRM prétraitement. Dans un premier temps, nous avons évalué par coefficient kappa la reproductibilité interobservateurs de plusieurs méthodes de quantification du brush sign, basées sur un score reposant sur les territoires ASPECT et appelé Pseudo ASPECT Brush Sign (PABS). Dans un second temps, nous avons évalué la corrélation entre le score PABS et une bonne récupération clinique, basée sur un Modified Ranking Scale ≤ 2 à 3 mois. Résultats : Quarante huit patients (18 femmes, âge moyen 69 ans) ont été inclus. Un score PABS≥ 3 avait une reproductibilité excellente ( 0.81). Il existait une tendance non significative d’association d’un score PABS≥ 3 avec une bonne récupération clinique (p=0.17) à 3 mois. Un volume lésionnel ≤ 70 mL en DWI était significativement associé à une bonne récupération clinique (p=0.03). Conclusion : Nous avons construit un score quantitatif fiable pour le brush sign qui semble être un biomarqueur IRM de bonne récupération clinique.
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médecine - urologie
/ 08-10-2020
Courboin Etienne
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Introduction : L’assistance robotique est de plus en plus utilisée pour la cystectomie sans données spécifiques la comparant à la voie ouverte pour les tumeurs de vessie non infiltrant le muscle (TVNIM). L’objectif de cette étude était de comparer les voies d’abord robot-assistée et ouverte en termes de résultats péri-opératoires et oncologiques pour les TVNIM. Méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective multicentrique, internationale incluant les patients traités par cystectomie par voie ouverte (VO) ou par assistance robotique (AR) pour une TVNIM, de très haut risque ou après échec de BCGthérapie dans 6 centres entre janvier 2006 et octobre 2019. Les caractéristiques des patients, les données périopératoires et oncologiques ont été recueillies et comparées par un test de χ2 pour les variables qualitatives et un test de Mann Whitney pour les variables quantitatives. Des analyses univariées et multivariées de régression logistique de Cox ont été utilisées pour déterminer les facteurs prédictifs de complication globale et complication majeure. Les survies sans récidives (SSR) et globale (SG) ont été évaluées par la méthode de Kaplan-Meier et comparées par le test du Log-Rank. Résultats : Au total, 112 patients ont été inclus : 70 dans le groupe VO et 42 dans le groupe AR. Les caractéristiques démographiques et anatomopathologiques étaient comparables entre les 2 groupes. Les pertes sanguines (600 vs 450ml, p=0.03) et le taux de transfusion (38.6 % vs 16.7% p=0.02) étaient plus importants dans le groupe VO. Les taux de complications globales (64.3 % vs 61.4 % ; p = 0.76) ou majeures (33,3% vs 30%, p=0.71) étaient comparables. En analyse multivariée, il n’y avait pas de facteurs associés aux complications globales. Le stade T1 pré-opératoire et le score ASA 3-4 étaient associés aux complications majeurs (OR 4.21 (1.02-17.27) p = 0.04 et OR 2.94 (1.08-8.07) p = 0.05). Le temps d’hospitalisation était plus court dans le groupe AR (15 vs 17.5j, p=0.006) La durée opératoire et le taux de marges chirurgicales positives n’étaient pas statistiquement différents (p>0,05). Le nombre de ganglions sur la pièce opératoire était plus important dans le groupe AR (16 vs 13,5, p=0.03). Le délai médian de suivi était de 21,5 mois dans le groupe AR et 36 mois dans le groupe VO. Les SG et SSR n’étaient pas significativement différentes en fonction de la voie d’abord (p> 0,05). Conclusion : Dans cette série multicentrique, la cystectomie avec assistance robotique n’apporte pas de bénéfice en termes de complications ou de résultats oncologiques pour le traitement des tumeurs de vessie non infiltrant le muscle, par rapport à la voie ouverte. Cependant, elle est associée à une diminution des pertes sanguines, du taux de transfusion et de la durée d’hospitalisation.
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Médecine
/ 17-10-2022
Leclerc Naïk
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Introduction : La neuropathie optique inflammatoire (NOI) désigne l’atteinte inflammatoire aigue du nerf optique survenant de manière isolée ou associée à des maladies inflammatoires telles que la sclérose en plaques. Une récupération visuelle incomplète est observée chez une faible proportion des patients. A ce jour, aucun paramètre clinique ou paraclinique n’est prédictif de l’évolution ophtalmologique. L’objectif de cette étude est d’identifier des marqueurs, aisément accessibles en IRM conventionnelle à la phase aigue d’une NOI, corrélés au pronostic structurel et fonctionnel à long terme. Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude ancillaire de la cohorte DTI NOI, réalisée au CHU de Rennes entre décembre 2017 et juin 2022. Les données de 26 patients ont pu être analysées. Tous ont bénéficié d’une évaluation ophtalmologique initiale ainsi qu’une IRM cérébrale et orbitaire sous 48h. De même, un suivi ophtalmologique incluant notamment une OCT (tomographie en cohérence optique) et IRM était réalisé à 6 mois. Sur l’IRM initiale, les longueurs, surface et volume de la lésion du nerf optique étaient mesurés, et une évaluation de l’hétérogénéité du signal de la lésion était réalisée. L’atteinte structurelle était évaluée par l’épaisseur RNFL (couche des fibres nerveuses rétiniennes) du nerf optique atteint sur l’OCT à M6. L’atteinte fonctionnelle était évaluée par les tests d’acuité visuelle, de champ visuel et de vision des contrastes. Résultats : Il existait une corrélation significative entre les différentes valeurs biométriques de la lésion sur l’IRM à M0 et l’épaisseur RNFL du nerf optique atteint à M6, ainsi qu’une corrélation entre la surface de la lésion à M0 et la différence d’épaisseur RNFL des deux nerfs optiques à M6. Aucune corrélation significative n’a été retrouvée entre les valeurs biométriques à M0 et les données fonctionnelles ophtalmologiques à M6. Aucune corrélation significative n’a été trouvée entre les données de l’évaluation de l’hétérogénéité du signal de la lésion à M0 et l’ensemble des données ophtalmologiques à M6. Conclusion : Cette étude suggère l’intérêt de l’IRM conventionnelle dans l’évaluation du pronostic structurel des NOI. L’évaluation biométrique en IRM conventionnelle pourrait devenir un outil pronostique dans les essais thérapeutiques ou pour l’adaptation de futurs traitements des neuropathies inflammatoires.
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Médecine
/ 23-09-2021
Haudebert Camille
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La cystectomie chez les sujets neurologiques reste une intervention peu pratiquée, dont les indications sont limitées. La plupart des données sur les complications péri-opératoires dont nous disposons concernent les patients ayant eu une cystectomie avec dérivation iléale pour cancer. L’objectif de cette étude était d’évaluer les complications de la cystectomie avec dérivation non continente par conduit iléal pour vessie neurologique. Au total, 126 patients ont été inclus. Les pathologies neurologiques les plus fréquentes étaient la SEP (36,5%) et la lésion médullaire traumatique (25,4%). La voie d’abord était ouverte, laparoscopique et robotique dans 31 (24,6%), 26 (20,6%) et 69 cas (54,7%) respectivement. Soixante-douze patients ont présenté une complication précoce (57,1%) dont 21 une complication majeure (16,7%) comprenant un décès (0,8%). Après un suivi médian de 23 mois, 22 patients ont présenté des complications tardives (17,6%) essentiellement des éventrations (5 ; 4%) et des sténoses urétéro-iléales (9 ; 7,2%). L’utilisation de la voie robotique était le seul facteur associé à un risque significativement réduit de complication majeure (OR=0,30 ; CI95% = 0,09-0,87 ; p = 0,027).
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Médecine, rhumatologie
/ 05-07-2019
Robin François
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Objectif : Évaluer l'efficacité de l'infiltration épidurale de corticoïdes par la voie du hiatus caudal (CH) sous contrôle échographique. Matériels et méthodes : Etude prospective observationnelle bicentrique (CHU de Rennes et de Nantes). Une injection épidurale (cortivazol) via le CH sous contrôle échographique a été réalisée sur tous les patients. Le critère de jugement principal était l'obtention d'un score numérique sur l'échelle d'évaluation de la douleur (NPRS) ≤ 3/10 à J30 après infiltration épidurale. Les critères de jugement secondaires étaient : une amélioration de 2 points du score NPRS (∆NPRS≥2), une amélioration de 50% du score NPRS (NPRS50), la consommation d'antalgiques et d'AINS, l'arrêt de travail et la survenue d'événements indésirables. Les facteurs associés à l'efficacité ont été recherchés. Résultats : Cent cinquante patients ont été inclus. La durée des symptômes avant la prise en charge était supérieure à 6 semaines dans 75 % des cas et l’étiologie discale était prédominante (85 %). Par rapport à l’inclusion, la proportion de patients ayant atteint un score NPRS ≤ 3/10 a augmenté de façon significative pour atteindre 31 % 10 jours après l'injection (p<0,001) et 37 % à 30 jours (p<0,05). La proportion de patients ayant atteint cet objectif sans consommer d'antalgiques de palier 3 ou d'AINS était d'environ 23 % à J10 et J30 (p<0,001). La consommation d’antalgiques de palier 3 et d'AINS a diminué de façon significative entre l’inclusion, J10 et J30. Au cours du suivi, les patients n'ont signalé aucun effet indésirable. Il n'y avait pas de facteurs prédictifs de l'efficacité des injections épidurales, ni 10 jours, ni 30 jours après l'infiltration. Conclusion : Les infiltrations de corticoïdes par la voie du CH sous contrôle échographique sont sûres et semblent être efficaces sur la douleur (NPRS) à court terme. Cette amélioration se produit principalement dans les 10 jours suivant l'infiltration, chez des patients de recrutement hospitalier.
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