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Médecine
/ 08-04-2015
Moignet-Autrel Aline
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Le traitement des leucémies LGL (large granular lymphocyte) repose sur des molécules immunosuppressives. Le seul essai prospectif mené en 1994, à montrer une efficacité du méthotrexate qui en fait le traitement de première ligne actuellement. Dans notre étude rétrospective, nous rapportons pour la première fois l’efficacité du cyclophosphamide faible dose dans cette indication avec un taux de réponse complète important ainsi qu’un faible taux de rechute remettant en cause le traitement de première ligne. Afin de répondre à cette question, une étude prospective randomisée comparant ces deux traitements est actuellement cours. Le cyclophosphamide lorsqu’il est administré à faible dose montre d’importantes propriétés immunosuppressives et a fait l’objet de nombreuses études en oncologie et hématologie. Un modèle du mécanisme d’action du cyclophosphamide dans les leucémies LGL est proposé dans ce travail.
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Médecine Générale
/ 10-04-2015
Guicheteau-Magnier Anne-Claire
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L'incontinence urinaire est un problème de santé publique. Le médecin généraliste joue un rôle clé dans sa prise en charge. Malgré l'existence de recommandations, cette pathologie reste sous-évaluée. Nous nous sommes intéressés à la prise en charge de l'incontinence urinaire de la femme en médecine générale par une étude qualitative réalisée à l'aide d'entretiens semi-directifs auprès de 20 médecins généralistes. Les objectifs étaient d'identifier les éventuels obstacles, et d'évaluer
les progrès qui pourraient être apportés. Les connaissances théoriques des généralistes peuvent être améliorées ; les examens complémentaires, le recours au spécialiste et la prise en charge thérapeutique posent problème ; les représentations psychosociales sont importantes. Des perspectives d'amélioration de la prise en charge ont été proposé par les praticiens : plus qu'une sensibilisation des femmes, il nous semble indispensable qu'un effort de la part des généralistes
soit fait pour rechercher l'incontinence urinaire.
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MEDECINE
/ 20-05-2015
Robert Guillaume
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Les critères diagnostiques du syndrome douloureux régional complexe (SDRC) ne sont pas validés chez l'enfant. Le traitement n'est pas standardisé. Un programme de rééducation intensive multidisciplinaire en hospitalisation est proposé au CHU de Rennes. Nos objectifs étaient d'évaluer l'efficacité du programme et la pertinence des critères diagnostiques de l'Association Internationale pour l'Etude de la Douleur (IASP) chez l'enfant. 61 dossiers d'enfants hospitalisés pour ce programme de rééducation entre 2008 et 2015 ont été étudiés rétrospectivement. 24 enfants avaient tous les critères IASP. 37 avaient un SDRC dit incomplet. Dans les 2 groupes, douleur et impotence fonctionnelle ont diminué significativement à la sortie et lors du suivi. Il s'agit de la première étude sur le SDRC comparant les enfants ayant tous les critères IASP à ceux présentant un SDRC incomplet. Même en cas de SDRC incomplet, le programme proposé réduit significativement la douleur et l'impotence fonctionnelle.
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MEDECINE GENERALE
/ 27-05-2015
Ferry Baptiste
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Introduction. Les médecins généralistes identifient la iatrogénie dans les dossiers médicaux informatisés mais réalisent peu de notifications spontanées. Matériel et méthode. Nous avons réalisé une étude descriptive retrospective de la iatrogénie marquée spécifiquement lors des consultations par cinq généralistes rennais pendant l'année 2012. Résultats. Nous avons étudié 86 consultations (concernant 96 traitements et 95 effets indésirables) qui nous ont permis de réaliser 50 notifications au CRPV de Rennes. Discussion. La iatrogénie identifiée était comparable au peu de données de la littérature. Aucune des 50 notifications soumises n'avait fait l'objet d'une notification spontanée. Conclusion. L'étude de la iatrogénie identifiée par les médecins et marquée spécifiquement lors de la saisie de la consultation dans le dossier médical semble être une méthodologie intéressante pour augmenter la notification et mieux connaître la iatrogénie en médecine générale.
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Médecine Générale
/ 12-06-2015
Hermant Claire
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L’objectif était d’évaluer les connaissances des médecins généralistes (MG) d’Ille-et-Vilaine concernant le diagnostic de diabète de type 1 (DT1) chez l’enfant.Méthode : Cette étude quantitative observationnelle soutenue par l’Aide aux Jeunes Diabétiques s’est déroulée fin 2014. Un questionnaire a été posté à 888 MG d’Ille-et-Vilaine. Résultats : Le taux de réponse était de 31%. Tous les MG évoquaient la polyurie polydipsie, 85% la perte de poids et 45% l’énurésie comme symptômes évocateurs du DT1. D’après 65% des MG, le diagnostic de DT1 pouvait se faire sur une simple analyse d’urine. Si le diagnostic était fait au cabinet, 70% déclaraient adresser l’enfant immédiatement aux urgences pédiatriques. Le caractère fréquent de l’acidocétose (ACD) au diagnostic était mal connu et 2/3 des MG citaient un signe non associé au DT1. Conclusion : Les MG devraient être mieux informés des spécificités du DT1 et de l’urgence à la prise en charge hospitalière dans le but de prévenir l’ACD au diagnostic.
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Médecine générale
/ 23-06-2015
Jégou Anaïs
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Dans un contexte actuel où la sédentarité est un fléau dans les pays industrialisés, il y a un intérêt à remettre l’activité physique à l’ordre du jour. Ce travail dresse un état des lieux de la connaissance de patients consultant en médecine générale, en matière d’activité physique, de sédentarité et de leurs effets sur la santé. L’objectif était de mettre en évidence une différence de connaissances en fonction des caractéristiques personnelles des patients, afin de permettre aux médecins généralistes de connaître le profil de patients à mieux informer et le type d’information à mieux dispenser. Pour cela, 600 questionnaires papiers ont été distribués à des patients âgés de 18 à 64 ans, répartis dans 6 cabinets de médecine générale des Côtes d’Armor. Des questions concernant les recommandations, les bénéfices et les risques de l’activité physique et de la sédentarité sur la santé leur ont été posées. Les résultats montrent que certaines notions sont moins connues que d’autres et que les plus mal informés sont les hommes, ceux ayant un faible niveau d’études et ceux qui se considèrent insuffisamment actifs. Les patients se sentent généralement moyennement satisfaits de l’information qu’ils reçoivent et considèrent le médecin généraliste comme acteur principal pour les éclairer sur le sujet.
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Médecine
/ 14-10-2015
Bastian Benjamin
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Contexte : la lecture de revues médicales est un mode de formation continue prépondérant chez les médecins généralistes, mais dont l’impact dans la pratique est mal connu. Objectif : étudier l’application des recommandations de la revue Prescrire dans la pratique des généralistes « Lecteurs Emérites » de la revue et ses déterminants. Méthode : enquête par questionnaire diffusé auprès des médecins concernés en Bretagne. Analyse d’un « score d’adéquation », défini à partir des habitudes de prescription des médicaments de l’infectiologie ORL courante, des antalgiques et apparentés et des vaccins. Résultats : 89 réponses ont été obtenues. Les lecteurs interrogés tendaient à appliquer les recommandations de la revue avec un score d’adéquation global moyen de 3,6/5 pour les substances étudiées. Plusieurs facteurs expliquant la variabilité du score ont été trouvés, dont l’âge, la charge de travail, la pratique d’une activité universitaire, l’exposition à la publicité et le nombre de freins à la lecture de Prescrire. Conclusion : ce travail aide à mieux cerner l’application des informations issues d’une revue de médecine factuelle. Beaucoup reste à découvrir pour améliorer l’utilisation de « l’outil EBM » dans la pratique.
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Médecine générale
/ 11-12-2015
Apel Katharina
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Contexte : L’asthme et l’allergie chez l’enfant sont particulièrement prévalents et complexes. Notre objectif est d’identifier des phénotypes respiratoires et allergiques au cours des six premières années de vie ainsi que leurs déterminants environnementaux domestiques. Méthode : À partir d’une cohorte longitudinale ayant inclus des femmes avant 19 semaines d’aménorrhées, nous avons recueillis les données d’exposition et de santé respiratoire et allergique pour 935 couples mère-enfant. Ces informations ont été obtenues par auto- questionnaire lors des différents suivis organisés dans cette cohorte : l’inclusion, la naissance, 2 ans et 6 ans. Une méthode de classification (K-means-clustering) a permis de classer les sujets en phénotypes partageant les mêmes profils évolutifs en terme de symptômes entre la naissance et six ans. L’association entre les facteurs domestiques environnementaux et les phénotypes a été estimée par une régression logistique multivariée. Résultats : Un groupe de référence ayant peu de symptômes (30,8%) et quatre phénotypes ont été identifiés : un phénotype toux transitoire (36%), un phénotype éruption/toux (13,8%), un phénotype sifflement/toux (11,6%) et enfin un phénotype mixte (7,8%). Le phénotype sifflement/toux et le phénotype mixte sont associés à l’exposition postnatale à des produits tels les vernis, peintures, solvants, colles ou teintures. Conclusion : Les phénotypes identifiés sont cohérents avec les observations de précédentes études. Certaines expositions identifiées dans ce travail et dans la littérature sont évitables. Le contrôle de l’environnement en prévention primaire par l’intervention du médecin généraliste ou d’un conseiller médical en environnement intérieur pourrait être une piste de réflexion.
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THESE EXERCICE MED.(Internes de médecine générale)
/ 15-12-2015
Gauther Stéphanie
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INTRODUCTION :La iatrogénie constitue un problème majeur de santé publique, elle est associée à une élévation de la morbidité, de la mortalité et des coûts supplémentaires pour le système de soins. Elle contribue à 5 à 10 % des hospitalisations chez le sujet de plus de 65 ans et à près de 20% des hospitalisations chez les sujets âgés de 80 ans et plus. Cette iatrogénie est en outre plus fréquente et plus grave chez le sujet âgé. Afin d’évaluer la prévalence de cette iatrogénie et d’analyser les facteurs de risque iatrogéniques, nous avons choisi de réaliser une étude monocentrique rétrospective sur une période de 3 mois dans un service de médecine interne et de médecine gériatrique chez tous les sujets de plus de 75 ans au CH de Saint Brieuc. MATERIELS ET METHODES : La iatrogénie était évaluée au moyen du score d’imputabilité de Bégaud, nous avons également analysé les traitements responsables de la iatrogénie et la symptomatologie de cette iatrogénie. Nous avons ensuite comparé la population ayant subi un événement indésirable médicamenteux par rapport à la population qui ne semblait pas en avoir présenté sur plusieurs critères : l’âge, le sexe, l’insuffisance rénale chronique, le nombre de traitements, la gestion du traitement par le patient, et certains paramètres de l’évaluation gériatrique standardisée (troubles cognitifs, troubles thymiques, dénutrition, troubles sensoriels, nombre de comorbidités). RESULTATS : 355 patients ont été inclus dans notre étude d’une moyenne d’âge de 85.7 ans. La prévalence de la iatrogénie responsable du motif principal d’hospitalisation était de 16.3%. Les classes thérapeutiques impliquées dans la iatrogénie étaient représentées par les traitements cardiovasculaires, les traitements anti aggrégants /anticoagulants et les traitements du système nerveux. On retrouvait surtout parmi la symptomatologie présentée par les patients des syndromes hémorragiques, des chutes ou malaises, des troubles hydroélectrolytiques et des insuffisances rénales aiguës. Une différence significative sur l’analyse univariée entre la population ayant subi un événement indésirable médicamenteux et celle qui ne semblait pas en avoir présenté a été observée pour le nombre de traitements (p<0.001), la gestion du traitement par le patient (p=0.026) et l’insuffisance rénale chronique(p=0.047). CONCLUSION : La prévalence de la iatrogénie reste encore importante malgré les campagnes d’information. Les patients âgés polymédiqués sont plus à risque d’effets indésirable médicamenteux, il s’agit donc de toujours jauger de la balance bénéfice risque d’un traitement avant de le débuter ou de le poursuivre.
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Médecine
/ 08-01-2016
Leborgne Bertille
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La place des usagers dans les instances de santé publique affirme leur reconnaissance dans les décisions partagées et implique de mieux connaître leurs attentes. Au décours de la création du Pôle de santé Rennes Nord-ouest (quartier Villejean), les professionnels de santé ont souhaité recueillir les besoins en santé des habitants. L'objectif principal était d'analyser les attentes des usagers en matière de santé. L'objectif secondaire était l'amélioration de la connaissance de leurs représentations du quartier et du système de soins. Une étude qualitative a été conduite par entretiens individuels et collectifs auprès de deux associations du quartier. Une analyse thématique manuelle avec triple codage a été réalisée. Un entretien de groupe et neufs entretiens individuels ont été menés. La représentation territoriale du quartier au sein de la ville semblait influencer les comportements en santé et limiter l'accès aux soins. Les caractéristiques socioculturelles de la population semblaient importantes à considérer afin d'améliorer l'observance et l’adhérence aux actions en santé. On notait en particulier la barrière de la langue comme un frein à l'information et à l'accès aux soins ainsi qu'une demande d'interprétariat. Le manque d'offre de soins concernait essentiellement les médecins spécialistes et les psychologues. Les associatifs se représentaient parfois comme de véritables médiateurs en santé, justifiant la demande d'amélioration des échanges avec les soignants. Un besoin d'échange social entre les usagers était également sollicité. Les actions de prévention souhaitées concernaient souvent les adolescents (addiction, obésité, éducation sexuelle). Les attentes recueillies correspondaient aux spécificités épidémiologiques des quartiers difficiles et étaient globalement superposables au projet de santé du pôle. La prise en compte de l'avis des usagers améliore l'efficacité des actions en santé. Le partenariat entre usagers et professionnels de santé, incluant également les institutions publiques doit être amélioré afin de permettre la co-construction de véritables projets en santé sur le territoire.
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