|
|<
<< Page précédente
1
2
3
4
5
6
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
Tri :
Date
Titre
Auteur
|
|
Chirurgie dentaire
/ 09-10-2020
Le Fouler Alisée
Voir le résumé
Voir le résumé
L'éducation à l'hygiène bucco-dentaire au cours d'un traitement multi-attaches représente encore aujourd'hui un réel enjeu de santé publique. En effet un patient appareillé en multi-attaches présentant un mauvais contrôle de plaque, risque de développer des lésions carieuses ainsi qu'une gingivite. Ces deux pathologies sont les effets iatrogènes majeurs des traitements d'orthodontie fixe et leur prise en charge engendre un coût non négligeable à la charge du système de santé. Le manque de référentiels en matière de techniques d'enseignement et de motivation à l'hygiène justifie amplement le développement de protocoles de recherche clinique dans ce domaine. Le volet pédagogique de la prévention des effets iatrogènes du traitement orthodontique mérite l'attention des professionnels et des scientifiques. L'objectif de ce travail est de proposer un protocole de recherche clinique préalable à la création de recommandations de bonnes pratiques, afin d'uniformiser celles-ci au sein de la communauté orthodontique.
|
|
Chirurgie dentaire
/ 12-06-2020
Pouliquen Alan
Voir le résumé
Voir le résumé
Les soins dentaires sont générateurs de stress et d’anxiété et particulièrement en odontologie pédiatrique. Lorsque cela s’avère nécessaire, une sédation consciente par hydroxyzine en monothérapie est prescrite au sein de l’unité fonctionnelle d’odontologie pédiatrique du CHU de Rennes. Une évaluation par questionnaire de cette pratique professionnelle courante a été réalisé entre le 1er septembre 2019 et le 9 février 2020 et a inclus 184 patients d’un âge moyen de 6.8±2.2 ans. Les soins sont un succès chez près de 8 enfants sur 10 avec une posologie de 1.63±0.39 mg.Kg-1 et un score de Venham pendant le soin de 1.88±1.75. L’analyse statistique a montré que la prise du médicament dans sa totalité (p=0.01),les soins restaurateurs (p<0.01),un score de Venham faible avant le soin (p<0.01), les enfants de plus de 6ans (p=0.03), sont des facteurs de réussite des soins. Ce protocole montre une efficacité comparable à d’autres médicaments sédatifs (midazolam et protoxyde d’azote) et avec profil de sécurité pharmacologique majoré.
|
|
Chirurgie dentaire
/ 15-11-2019
Leclerc Clément
Voir le résumé
Voir le résumé
La demande esthétique se fait de plus en plus sentir dans la pratique quotidienne du chirurgien-dentiste. Un des critères esthétiques majeur concerne la couleur de la dent. Au vu de l’accroissement des possibilités offertes par les boîtiers photographiques et les logiciels de traitement de l’image actuels, il devient nécessaire de standardiser les protocoles d’enregistrement des couleurs par la photographie. Trois cas cliniques illustreront la méthode d’enregistrement des couleurs par la photographie en utilisant une carte gris-neutre. Il sera montré que la méthode semble être une méthode simple d’application, fiable et reproductible. Cependant certains doutent restent à lever notamment sur l’uniformité de la couleur des cartes et leur durée de vie.
|
|
Chirurgie dentaire
/ 02-11-2021
Sachot Arthur
Voir le résumé
Voir le résumé
L’objectif de cette revue de la littérature était d’effectuer une synthèse sur l’utilisation du composite préchauffé pour l’assemblage des restaurations adhésives collés (RAC) en composite ou en céramique. Cette technique semble être une alternative intéressante aux colles conventionnelles. En effet, afin de faciliter les procédures, certains auteurs ont proposé de détourner l’usage habituelle des résines composites, communément utilisées pour les restaurations directes. Plusieurs questions émergent alors sur les qualités esthétiques et mécaniques du joint de collage obtenu avec cette résine pré-chauffé lors de l’assemblage de restaurations indirectes. La recherche bibliographique menée sur PubMed et Sciencedirect s’est intéressée aux publications parues entre 2005 et 2021. Au total, 27 études ont été incluses pour cette étude. Pour les études in vitro, le degré de conversion, la stabilité colorimétrique, l’épaisseur de film, l’adhérence, les propriétés mécaniques et les propriétés biologiques ont été analysées. Pour les études in vivo les taux de survie et de succès ont été pris en compte. Les études in vitro ont montré une supériorité du composite préchauffé pour les propriétés mécaniques et la stabilité colorimétrique. En revanche, l’épaisseur de film et le degré de conversion étaient meilleurs pour les colles témoins. Les matériaux étudiés ne montraient pas de différences en termes de valeurs d’adhérence et ne provoquaient pas davantage d’échauffement pulpaire. Le taux de survie des restaurations collées au composite préchauffé observées dans les études in vivo était semblable ou légèrement supérieur aux colles conventionnelles. En conclusion, l’utilisation du composite préchauffé semble être intéressante pour le collage en secteur esthétique au travers de faibles épaisseurs de RAC. Cependant, des études complémentaires sont à mener pour explorer les autres propriétés de ces composites sous des épaisseurs de céramique ou de composite plus importantes.
|
|
Chirurgie dentaire
/ 02-11-2021
Idilbi Sam
Voir le résumé
Voir le résumé
L’objectif de cette revue de la littérature était d’effectuer une synthèse sur l’utilisation du composite préchauffé pour l’assemblage des restaurations adhésives collés (RAC) en composite ou en céramique. Cette technique semble être une alternative intéressante aux colles conventionnelles. En effet, afin de faciliter les procédures, certains auteurs ont proposé de détourner l’usage habituelle des résines composites, communément utilisées pour les restaurations directes. Plusieurs questions émergent alors sur les qualités esthétiques et mécaniques du joint de collage obtenu avec cette résine pré-chauffé lors de l’assemblage de restaurations indirectes. La recherche bibliographique menée sur PubMed et Sciencedirect s’est intéressée aux publications parues entre 2005 et 2021. Au total, 27 études ont été incluses pour cette étude. Pour les études in vitro, le degré de conversion, la stabilité colorimétrique, l’épaisseur de film, l’adhérence, les propriétés mécaniques et les propriétés biologiques ont été analysées. Pour les études in vivo les taux de survie et de succès ont été pris en compte. Les études in vitro ont montré une supériorité du composite préchauffé pour les propriétés mécaniques et la stabilité colorimétrique. En revanche, l’épaisseur de film et le degré de conversion étaient meilleurs pour les colles témoins. Les matériaux étudiés ne montraient pas de différences en termes de valeurs d’adhérence et ne provoquaient pas davantage d’échauffement pulpaire. Le taux de survie des restaurations collées au composite préchauffé observées dans les études in vivo était semblable ou légèrement supérieur aux colles conventionnelles. En conclusion, l’utilisation du composite préchauffé semble être intéressante pour le collage en secteur esthétique au travers de faibles épaisseurs de RAC. Cependant, des études complémentaires sont à mener pour explorer les autres propriétés de ces composites sous des épaisseurs de céramique ou de composite plus importantes.
|
|
Chirurgie dentaire
/ 26-01-2021
Quinquenel Robin
Voir le résumé
Voir le résumé
L’essor de la dentisterie adhésive contemporaine ces dernières décennies a permis d’orienter les thérapeutiques vers la mise en place de reconstitutions partielles collées indirectes (RPCI) fiables, esthétiques et biocompatibles. Le succès de ce type de thérapeutique impose aux chirurgiens-dentistes de bonnes connaissances dans le choix des matériaux prothétiques, des matériaux d’assemblage ainsi que le respect des procédures de collage. Certains praticiens ont intégré toutes ces récentes notions dans leur cursus initial alors que d’autres ont été contraints de suivre ou non des formations post-universitaires. L’objectif de cette thèse était de réaliser un état des lieux des connaissances et des pratiques des chirurgiens-dentistes français en ce qui concerne l’utilisation des RPCI. L’enquête s’est déroulée au moyen d’un questionnaire transmis aux chirurgiens-dentistes via un réseau social ainsi que par courriel. Au total, 870 praticiens ont rempli le formulaire. Les résultats ont montré que la majorité des données croisées ont révélé une différence significative. En effet, cette étude met surtout en exergue l’influence de la formation, qu’elle soit universitaire ou continue, sur les disparités d’exercice. Une meilleure promotion de la formation continue pourrait atténuer les différences de pratiques et améliorer, in fine, l’efficacité et l’accessibilité aux soins.
|
|
Chirurgie dentaire
/ 26-01-2021
Fouyer Quentin
Voir le résumé
Voir le résumé
L’essor de la dentisterie adhésive contemporaine ces dernières décennies a permis d’orienter les thérapeutiques vers la mise en place de reconstitutions partielles collées indirectes (RPCI) fiables, esthétiques et biocompatibles. Le succès de ce type de thérapeutique impose aux chirurgiens-dentistes de bonnes connaissances dans le choix des matériaux prothétiques, des matériaux d’assemblage ainsi que le respect des procédures de collage. Certains praticiens ont intégré toutes ces récentes notions dans leur cursus initial alors que d’autres ont été contraints de suivre ou non des formations post-universitaires. L’objectif de cette thèse était de réaliser un état des lieux des connaissances et des pratiques des chirurgiens-dentistes français en ce qui concerne l’utilisation des RPCI. L’enquête s’est déroulée au moyen d’un questionnaire transmis aux chirurgiens-dentistes via un réseau social ainsi que par courriel. Au total, 870 praticiens ont rempli le formulaire. Les résultats ont montré que la majorité des données croisées ont révélé une différence significative. En effet, cette étude met surtout en exergue l’influence de la formation, qu’elle soit universitaire ou continue, sur les disparités d’exercice. Une meilleure promotion de la formation continue pourrait atténuer les différences de pratiques et améliorer, in fine, l’efficacité et l’accessibilité aux soins.
|
|
Chirurgie dentaire
/ 01-03-2018
Pépin Corentin
Voir le résumé
Voir le résumé
La radiographie numérique est un élément majeur en Odontologie car une image de qualité insuffisante peut conduire à des erreurs de diagnostic induisant des traitements inappropriés, trop ou trop peu invasifs. Notre étude a été menée au congrès annuel des dentistes français à Paris en Novembre 2016 auprès de 244 chirurgiens-dentistes et a pour objectif d'évaluer les connaissances et les pratiques des chirurgiens-dentistes dans le domaine de la radiographie numérique. Les praticiens français, bien équipés en type et nombre d'appareils de radiologie numérique, utilisent principalement leur écran au fauteuil ou au bureau pour interpréter les images. Les critères de choix lors de l’achat de l’écran sont majoritairement la taille et la résolution de l’écran, et plus des deux-tiers de leurs écrans ont moins de 5 ans. La moitié des chirurgiens-dentistes ne connaît pas la marque de leurs écrans. Alors que des réglages parfois très simples ou qu’une calibration de l’écran type DICOM part14 GSDF permet d’améliorer grandement la qualité et l’uniformité des images, la grande majorité des praticiens ne règle pas spécifiquement leur écran ou n’est pas au courant qu’une calibration possible existe. Lors du partage des clichés radiographiques avec les confrères ou avec les patients, l'e-mail (non sécurisé) et l'impression papier (dégradant la qualité de l'image) sont majoritairement utilisés. Une sensibilisation/formation des chirurgiens-dentistes paraitrait intéressante afin de palier ce manque de connaissances, la finalité étant d’obtenir une meilleure qualité de soin. Une fiche pratique a été rédigée lors de ce travail, donnant des conseils afin d'améliorer simplement et rapidement la qualité de l'écran.
|
|
Chirurgie dentaire
/ 01-03-2018
Huynh Quan Trung Edouard
Voir le résumé
Voir le résumé
La radiographie numérique est un élément majeur en Odontologie car une image de qualité insuffisante peut conduire à des erreurs de diagnostic induisant des traitements inappropriés, trop ou trop peu invasifs. Notre étude a été menée au congrès annuel des dentistes français à Paris en Novembre 2016 auprès de 244 chirurgiens-dentistes et a pour objectif d'évaluer les connaissances et les pratiques des chirurgiens-dentistes dans le domaine de la radiographie numérique. Les praticiens français, bien équipés en type et nombre d'appareils de radiologie numérique, utilisent principalement leur écran au fauteuil ou au bureau pour interpréter les images. Les critères de choix lors de l’achat de l’écran sont majoritairement la taille et la résolution de l’écran, et plus des deux-tiers de leurs écrans ont moins de 5 ans. La moitié des chirurgiens-dentistes ne connaît pas la marque de leurs écrans. Alors que des réglages parfois très simples ou qu’une calibration de l’écran type DICOM part14 GSDF permet d’améliorer grandement la qualité et l’uniformité des images, la grande majorité des praticiens ne règle pas spécifiquement leur écran ou n’est pas au courant qu’une calibration possible existe. Lors du partage des clichés radiographiques avec les confrères ou avec les patients, l'e-mail (non sécurisé) et l'impression papier (dégradant la qualité de l'image) sont majoritairement utilisés. Une sensibilisation/formation des chirurgiens-dentistes paraitrait intéressante afin de palier ce manque de connaissances, la finalité étant d’obtenir une meilleure qualité de soin. Une fiche pratique a été rédigée lors de ce travail, donnant des conseils afin d'améliorer simplement et rapidement la qualité de l'écran.
|
|
Chirurgie dentaire
/ 16-01-2019
Duthoit Philippine
Voir le résumé
Voir le résumé
Le but de ce travail est de savoir si une séance de formation par la simulation permettrait aux étudiants en odontologie de mieux appréhender la communication avec le patient. La mise en place d'une séance test permettra de l'instaurer par la suite à un plus grand nombre d'étudiants. Un questionnaire a été envoyé à tous les externes en odontologie pour connaitre leur position concernant la communication entre le praticien et le patient. 9 étudiants se sont ensuite portés volontaires pour assister à la formation par la simulation. 3 scénarios ont été mis en scène durant cette journée. Suite à cette formation, ces 9 étudiants ont répondu à un questionnaire pour recueillir leur avis et leur degré de satisfaction. Malgré l'importance de la communication dans le métier de chirurgien-dentiste, les étudiants en odontologie ne se sentent pas suffisamment formés à la relation patient-praticien. Beaucoup d'étudiants ont été confrontés à une situation compliquée au Centre de Soins Dentaires qu'ils n'ont pas su gérer seul. Les étudiants ayant participé à la journée test de formation par la simulation étaient satisfaits et recommandent cette formation. Un nombre plus important de scénarios serait cependant souhaité, ainsi que des situations plus complexes. La simulation in situ est une méthode d'apprentissage de la communication envisageable au sein du cursus odontologique. La journée test a permis de mettre en évidence les points à retenir et ceux à améliorer pour instaurer cette formation à tous les étudiants en odontologie.
|
|
|<
<< Page précédente
1
2
3
4
5
6
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|