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Chirurgie dentaire
/ 06-12-2019
Guérin Amadis
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L’anesthésie locale dentaire reste un moment difficile tant pour le praticien que pour le patient. L’anxiété qui en résulte provoque l’évitement dentaire chez certains patients et est une source de stress pour le chirurgien-dentiste. Dans cette étude, une population de 380 étudiants en odontologie répond à un questionnaire pour partager leurs expériences d’anesthésie, leur anxiété vis à vis de celle-ci et leurs préférences pour l’aspect physique de six injecteurs différents. Les résultats sont compilés et analysés entre trois promotions de 2011-2012 et de 2018-2019.
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Chirurgie dentaire
/ 06-12-2019
Ratero Simon
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L’anesthésie locale dentaire reste un moment difficile tant pour le praticien que pour le patient. L’anxiété qui en résulte provoque l’évitement dentaire chez certains patients et est une source de stress pour le chirurgien-dentiste. Dans cette étude, une population de 380 étudiants en odontologie répond à un questionnaire pour partager leurs expériences d’anesthésie, leur anxiété vis à vis de celle-ci et leurs préférences pour l’aspect physique de six injecteurs différents. Les résultats sont compilés et analysés entre trois promotions de 2011-2012 et de 2018-2019.
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Chirurgie dentaire
/ 18-12-2018
Haute Élise
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Objectifs: Mesurer la dose moyenne d’irradiation reçue au niveau du pouce, de l’index et du cristallin sur une période de trois mois. Conclure sur la dose efficace moyenne estimée pour un seul cliché radiographique intra-oral. Méthodes: L'étude s'est déroulée dans les services d’Odontologie Pédiatrique et de Soins Adaptés de l'Hôpital Universitaire de Rennes. Les praticiens ont été invités, pendant trois mois, à porter deux bagues dosimètres et un dosimètre cristallin à chaque fois qu'ils devaient tenir le capteur pour un examen radiographique. La dose totale enregistrée nous a permis de conclure sur la dose de rayonnement d’un seul cliché radiographique. Résultats: Les dosimètres ont été utilisés 109 fois pour des radiographies intra-orales au cours desquelles l'opérateur tenait le capteur radiographique avec ses doigts. Pour un seul cliché radiographique, la dose équivalente était de 0.75 mSv sur le pouce, 0.74 mSv sur l'index et en dessous du seuil de détection pour le cristallin. Le facteur de pondération du rayonnement X sur les tissus cutanés étant de 0.01, la dose efficace estimée pour une radiographie est donc de 0.0075 mSv au niveau des doigts. Conclusions: Nos valeurs sont cohérentes avec les résultats des études précédentes dans la littérature. Les étudiants dentistes ne doivent pas effectuer plus de 1 radiographie, en tenant le capteur avec les doigts, par semaine (en considérant 40 semaines de travail par an) pour éviter une exposition des mains supérieure à la limite de dose « population » de 50 mSv. Compte tenu de ces résultats, il apparaît que l'exposition des mains des étudiants et des dentistes travaillant principalement avec des enfants et des patients handicapés devrait faire l'objet d'une surveillance plus étroite.
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Chirurgie dentaire
/ 18-12-2018
Le Floch Caroline
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Objectifs: Mesurer la dose moyenne d’irradiation reçue au niveau du pouce, de l’index et du cristallin sur une période de trois mois. Conclure sur la dose efficace moyenne estimée pour un seul cliché radiographique intra-oral. Méthodes: L'étude s'est déroulée dans les services d’Odontologie Pédiatrique et de Soins Adaptés de l'Hôpital Universitaire de Rennes. Les praticiens ont été invités, pendant trois mois, à porter deux bagues dosimètres et un dosimètre cristallin à chaque fois qu'ils devaient tenir le capteur pour un examen radiographique. La dose totale enregistrée nous a permis de conclure sur la dose de rayonnement d’un seul cliché radiographique. Résultats: Les dosimètres ont été utilisés 109 fois pour des radiographies intra-orales au cours desquelles l'opérateur tenait le capteur radiographique avec ses doigts. Pour un seul cliché radiographique, la dose équivalente était de 0.75 mSv sur le pouce, 0.74 mSv sur l'index et en dessous du seuil de détection pour le cristallin. Le facteur de pondération du rayonnement X sur les tissus cutanés étant de 0.01, la dose efficace estimée pour une radiographie est donc de 0.0075 mSv au niveau des doigts. Conclusions: Nos valeurs sont cohérentes avec les résultats des études précédentes dans la littérature. Les étudiants dentistes ne doivent pas effectuer plus de 1 radiographie, en tenant le capteur avec les doigts, par semaine (en considérant 40 semaines de travail par an) pour éviter une exposition des mains supérieure à la limite de dose « population » de 50 mSv. Compte tenu de ces résultats, il apparaît que l'exposition des mains des étudiants et des dentistes travaillant principalement avec des enfants et des patients handicapés devrait faire l'objet d'une surveillance plus étroite.
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Chirurgie dentaire
/ 22-09-2020
Fresnel Estelle
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Les caractéristiques et déterminants de la santé bucco-dentaire chez des enfants âgés de 6 ans, nés entre 2002 et 2006, ont été évalués dans une cohorte de 1415 familles vivant en Bretagne (PELAGIE). Au travers de données collectées par les professionnels de santé lors de l’inclusion et d’auto-questionnaires remplis par les mères portant sur (i) les conditions de vie et les habitudes alimentaires, (ii) les données dentaires et l’hygiène à 2 et 6 ans et (iii) le recours à un chirurgien-dentiste, nous avons observé 287 (20,5%) enfants n’ayant jamais eu d’examen par un professionnel dentaire. Parmi les enfants ayant consulté, 97 (8,7%) présentaient des antécédents de caries. Les résultats montrent peu d’anomalies dentaires en accord avec les données de la littérature. La présence de carie étant liée à une fréquence de brossage inférieure à 2 fois par jour (p<0.01) et aggravée par la consommation de boissons sucrées plus de 4 fois par semaine (p<0.01). Il apparait également que l’accouchement par voie basse aurait un léger effet protecteur sur l’apparition des caries chez les enfants de moins de 6 ans (p<0.05), et ce même après ajustement avec le statut socio-économique, la consommation de boissons sucrées et la fréquence de brossage. Les mécanismes sous-jacents impliqueraient l’établissement et le développement d’une flore protectrice envers les bactéries cariogènes, durant les premières années de vie de l’enfant. Cette théorie reste à explorer dans le futur.
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Chirurgie dentaire
/ 05-10-2018
Rizzo Aurélie
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L’holoprosencéphalie (HPE) est une pathologie du développement qui touche la formation du cerveau et de la face. Elle affecte le développement précoce et est principalement due à un déficit en Sonic Hedgehog (SHH). Les patients portant des formes peu sévères sont viables mais présentent souvent des malformations craniofaciales.. Un modèle souris, Shh+/- , a été généré et son phénotype étudié. Une malformation discrète de la glande hypophysaire et une anomalie du basisphénoide ont été observées chez ces mutants. Cette malformation est due à une persistance du canal buccohypophyseal, au niveau de la ligne médiane. Ce mutant constitue une excellente opportunité en orthodontie pour étudier la croissance craniofaciale en présence d’une anomalie congénitale du basisphénoide. Cette étude a montré qu’une fusion prématurée de la synchondrose sphéno-occiptale était observée chez les mutants Shh+/- adultes ; ce qui provoque des problèmes de croissance du crâne et sa courbure. Ce travail montre également que les patients présentant un diagnostic moléculaire suggérant une déficience en signal SHH doivent être suivis en orthodontie.
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Chirurgie dentaire
/ 25-10-2018
Nicolas Gaëlle
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La préparation verticale est une nouvelle conception de pilier dentaire supportant des couronnes céramiques. L’esthétique, la résistance à la fracture, l’adaptation marginale et le maintien de la santé parodontale sont les principaux déterminants du succès d'une restauration. Cette étude a pour but de passer en revue la littérature scientifique actuelle sur la préparation en feather edge ou knife edge pour couronne unitaire céramique ou bridges et d’étudier leur longévité et leur adaptation marginale ainsi que la préservation de la santé parodontale. Une recherche électronique a été effectuée en utilisant la base de données PubMed avec la combinaison de mots clés suivante : « feather edge », « knife edge », « biologically oriented preparation technique » (BOPT), « vertical preparation » et « dental abutment ». La recherche a été limitée aux articles en anglais publiés avant le 30 juin 2018. Les titres et les résumés ont été lus afin d'identifier les articles remplissant les critères d'inclusion de cette revue de littérature. Sur les 224 études identifiées, 20 ont été incluses dans cette revue. Toutes ont été publiées entre 2010 et 2018. L'hétérogénéité des études a rendu impossible la réalisation d'une méta-analyse. Les dix études cliniques incluses ont analysé un total de 3050 couronnes ou bridges. Les couronnes ou bridges en zircone ont montré de bonnes performances biologiques et physiques à court / moyen terme. Les couronnes en disilicate de lithium ont un taux de fracture plus élevé dans les études in vitro mais ce taux n’a pas été confirmé in vivo. Par ailleurs, il n’a pas été montré de différence significative concernant l'adaptation marginale entre les empreintes optique et conventionnelle, ni entre les piliers réalisés en « knife edge » et ceux en finition horizontale. En ce qui concerne l'épaisseur de dentine résiduelle, le design « knife edge » et le chanfrein sont significativement moins agressifs que l'épaulement. Cependant, 2 ECR ont montré que le design « feather edge » entrainait plus de saignement au sondage que le chanfrein (respectivement 48.4% et 30.5%). Par ailleurs, le chanfrein entraine plus de récessions gingivales que le « feather edge » (respectivement 7,6 % et 1,1%). Les propriétés mécaniques des couronnes céramiques fixées sur des piliers préparés verticalement semblent être équivalentes à celles des piliers préparés horizontalement. Il semble préférable d’utiliser le « feather edge » lorsque la préparation intrasulculaire est nécessaire. Le « feather edge » peut devenir une alternative aux finitions horizontales. Il serait d‘ailleurs plus indiqué lorsque les tissus mous ont un retentissement esthétique. Cependant, la préparation intrasulculaire doit être utilisée à bon escient. Des essais contrôlés randomisés à plus long terme sont nécessaires.
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Chirurgie dentaire
/ 09-01-2024
Bécherie Jérémie
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Cette étude doit permettre à tout chirurgien-dentiste qui souhaite s'installer en Ille-et-Vilaine de comprendre la répartition de l'offre de soins bucco-dentaires ainsi que les spécificités démographiques et socio-économiques des différents territoires et populations qui composent le département. D'autre part, elle doit permettre d'aider à mesurer l'impact positif ou négatif des politiques de santé publique sur l'évolution de l'offre de soins bucco-dentaires en Ille-et-Vilaine durant la période étudiée. Cette étude fournit ainsi aux décideurs publics des éléments permettant de mettre en place des actions visant à un meilleur accès aux soins et une amélioration de la santé publique en odontologie
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Chirurgie dentaire
/ 04-04-2019
Sinsau Maëva
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L’Agence Régionale de la Santé Océan Indien montre que les professionnels dans les établissements médico-sociaux (EMS) pour les enfants et les adolescents à La Réunion identifient globalement des besoins en hygiène orale et de suivi dentaire des usagers. Objectifs : Cette étude fait un état des lieux précis des besoins et des attentes en santé orale des aidants professionnels afin d’identifier les freins et les leviers qui permettront de décider d’actions ultérieures. Méthodes : Une étude épidémiologique transversale multicentrique a été réalisé dans les 30 EMS réunionnais pour les enfants et les adolescents handicapés. Elle ciblait les directeurs d’établissement, les soignants et les éducateurs. Résultats : Vingt-quatre EMS ont participé avec 24 directeurs, 49 professionnels de santé et éducateurs. Les principaux résultats étaient que 29,2% des EMS avaient un chirurgien- dentiste référent, 37,5% des EMS réalisaient un bilan bucco-dentaire lors de l’admission de l’usager et 63,3% des soignants et des éducateurs n’avaient pas eu de formation sur la santé orale des personnes en situation de handicap. Conclusion : Globalement, des besoins et des attentes sur l’ensemble des aspects de la santé orale sont mis en avant. L’intégration de la santé orale est présente mais dépendante de chaque EMS. Les spécificités locales liées entre autres à la situation socio- économique invitent à penser à une politique de santé orale en adéquation avec les besoins des aidants familiaux et des territoires de santé. Le développement du volet « santé orale » dans le Projet Régional de Santé et la création d’un réseau de soins apparaissent comme des leviers intéressants.
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Chirurgie dentaire
/ 12-03-2024
Legast Flavie
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Objectifs : Les patients présentant des troubles psychiques souffrent d’un état bucco-dentaire plus délabré que la population générale. Cette étude avait pour objectif de mettre en évidence les facteurs pouvant influencer l’accès aux soins bucco-dentaires des personnes suivies en centre médico-psychologique mais également d’identifier les barrières rencontrées par les patients et les équipes soignantes de ces institutions. Méthodes : Une étude qualitative a été entreprise auprès des professionnels de santé mentale de cinq centres médico-psychologiques du département de la Manche, en Normandie. Leurs perceptions des difficultés d’accès aux soins bucco-dentaires ont été recueillies par le biais d’entretiens semi-directifs. Ces entretiens ont été retranscrits et analysés de manière inductive par identification des thèmes au fur et à mesure de l’analyse. Résultats : Huit entretiens ont été réalisés, cinq avec des infirmiers, deux avec des psychologues, et un avec un psychiatre. Les freins à l’accès aux soins bucco-dentaires identifiés par les professionnels ont été regroupés selon trois axes. Premièrement, des facteurs intrinsèques aux patients, consécutifs de leurs pathologies psychiques, favorisent un mauvais état buccal. Deuxièmement, les formations des professionnels des centres médico-psychologiques en matière de prévention bucco-dentaire présentent des lacunes. Pour finir, certaines caractéristiques du système de soins, comme la priorité donnée au curatif, ou encore l’organisation libérale des cabinets dentaires, constituent selon les professionnels des obstacles d’accès aux soins bucco-dentaires pour ces patients. Conclusion : Pour les professionnels exerçant en centre médico-psychologique, la prévention bucco-dentaire est à privilégier et peut être assurée par des consultations de contrôle régulières, pour des patients chez qui les soins seront davantage compliqués à mettre en place.
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