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Chirurgie dentaire
/ 20-09-2023
Legouix Héloïse
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Introduction : Les caries précoces de l’enfant et la ventilation buccales sont deux pathologies fréquentes chez l’enfant et aisément diagnosticables. Ces pathologies ont un impact sur la qualité de vie de l’enfant avec des conséquences parfois lourdes. Dans les régions sous-dotées en chirurgien-dentiste comme la Basse-Normandie, les médecins généralistes sont souvent les seuls interlocuteurs au niveau de la santé bucco-dentaire. Ils sont donc en première ligne pour réaliser la prévention et le dépistage des pathologies bucco-dentaire. Matériel et méthode : L’objectif de cette thèse est d’établir un état des lieux des connaissances et des capacités de diagnostic des médecins généralistes bas-normand sur ces deux pathologies. Résultat : Les MG ont une méconnaissance de la carie précoce de l’enfant avec un taux moyen de bonnes réponses de 55%. Cependant, aucun facteur définissant notre population n’influence significativement ce taux. La ventilation buccale est également méconnue avec un taux moyen de bonnes réponses de 46,8%. Pour la ventilation buccale, les femmes ont de meilleures réponses que les hommes. Conclusion : Les médecins généralistes bas-normands ont une méconnaissance de ces pathologies mais ont le désir de développer leurs compétences sur le sujet.
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Chirurgie dentaire
/ 18-09-2023
Brunet Eléonore
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Introduction : l’objectif de cette étude était d’évaluer les pratiques professionnelles des chirurgiens- dentistes concernant la chronologie de prise en charge des dysmorphoses orthodontiques des patients. Matériels et Méthodes : Une enquête transversale a été réalisée sur LimeSurvey. Elle comprenait un total de 29 questions. Résultats : 176 réponses complètes ont été enregistrées. Selon l’anomalie dépistée, l’orientation des patients se fait à des âges variés, souvent précocement (46% en denture temporaire ou lors de l’évolution des 1ère molaire). Seulement 32% des omnipraticiens mettent en place des moyens pour prévenir l’inclusion dentaire. 87% des praticiens connaissant la MIH prennent contact avec l’orthodontiste pour la prise en charge du patient. Les traumatismes pour lesquels l’interdisciplinarité est nécessaire sont l’expulsion (40%), l’extrusion (40%) et l’impaction (44%). Le budget de l’orthodontie est plus souvent un frein à l’orientation des patients chez l’orthodontiste (62% souvent) que le manque de spécialiste (68% jamais). Les informations transmises aux patients sont plus souvent relatives à l’hygiène bucco-dentaire (62% toujours) qu’aux risques suite à un traumatisme (ankylose : toujours 35%/ risque de résorption radiculaire : toujours 33%). Conclusion : Les connaissances et attitudes divergeaient entre les praticiens. Une uniformisation des pratiques pourrait être envisagée.
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Chirurgie dentaire
/ 15-09-2023
Cardron Valentin
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L'objectif de cette revue est de faire un état des différents procédés pouvant être réalisés afin d'atténuer l'anxiété. La base de données Medline via PubMed a été interrogée entre le 23 janvier 2023 et le 12 juin 2023. Dix-sept articles sont retenus dans cette revue de la littérature. Les différentes possibilités sont présentées, étayées d'études de haut niveau de preuve. Les résultats sont présentés sous forme de tableaux synthétiques. L'exposition à l'anxiété des patients est quotidienne pour tout chirurgien-dentiste. Les conséquences de cette anxiété sont multiples et impliquent le patient aussi bien que le chirurgien-dentiste. Cette revue présente avec humilité diverses solutions, dont la mise en œuvre est plus ou moins aisée. Le spectre de niveau d'anxiété est large et sa prise en charge ne se limite pas au choix d'un seul de ces procédés. Dans les cas les plus sévères, une prise en charge pluridisciplinaire s'avère précieuse. Cet enjeu humain, cette volonté d'apaiser les patients continue d'évoluer. D'autres études à l'avenir permettront de préciser le mécanisme des procédés évoqués dans cette revue, de mieux prédire les résultats, ainsi que de mettre en avant de futures innovations.
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Chirurgie dentaire
/ 04-07-2023
Martin Emeline
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Introduction : La CPE est une maladie plurifactorielle influencée en grande partie par l’alimentation et l’hygiène bucco-dentaire. A l’heure actuelle, on sait que le FDA agit sur les bactéries cariogènes grâce à l’effet antibactérien principalement de l’argent. Il agit également sur les tissus dentaires durs par l’intermédiaire de l’argent et du fluorure ainsi que sur la matrice organique en inhibant la dégradation du collagène dentinaire. La procédure du FDA est simple, non invasive et semble être une bonne alternative chez les enfants peu coopérants. Matériel et méthodes : Une revue de la littérature a été réalisée à partir des bases de données Pubmed et Web of science dans le but de résumer les données actuelles internationales sur l’utilisation du fluorure diamine d’argent chez les enfants. Les recherches réalisées ont permis de trouver un total de 21 articles respectant les critères d’inclusion ont été sélectionnés. Résultats : Les études cliniques ont comparé le FDA au vernis fluoré, au ciment verre ionomère, au traitement restaurateur atraumatique ou à un groupe témoin. Elles ont également comparé différentes concentrations de FDA et différentes fréquences d’application. L’ensemble des auteurs se rejoignent pour confirmer l’efficacité du FDA dans l’arrêt des caries sur les dents temporaires. En ce qui concerne les résultats sur la prévention de nouvelles lésions carieuses les résultats des études sont contradictoires et peu nombreuses notamment concernant les 1res molaires permanentes. Les études se rejoignent pour dire que l’utilisation biannuelle de FDA à 38 % est la plus efficace. Conclusion : Le fluorure diamine d’argent peut être considéré comme un agent thérapeutique efficace dans le traitement non restaurateur des caries pour l’arrêt des lésions carieuses sur les dents temporaires. À l’heure actuelle, les études montrent que le FDA permet de prévenir l’apparition de nouvelles lésions carieuses sur les dents temporaires. Cependant ces études sont encore peu nombreuses et nécessitent davantage de recherches. Ce traitement est simple de mise en œuvre et non invasif, ce qui constitue une bonne alternative de soins notamment avec les enfants peu coopérants.
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Chirurgie dentaire
/ 03-07-2023
Morvan Sarah
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Objectif principal : évaluer le succès et la survie des biopulpotomies réalisées par des étudiants au centre de soins dentaires de Rennes. Objectif secondaire : mettre en évidence les facteurs favorables et défavorables de la biopulpotomie. Méthode : Etude rétrospective de 1021 biopulpotomies réalisées chez les enfants au centre de soins dentaires de Rennes entre juin 2016 et octobre 2022 dans les services d’urgence et d’odontologie pédiatrique. Résultats : 806 biopulpotomies étudiées mais seulement 419 ont fait l’objet d’un contrôle. Cette étude montre parmi les dents contrôlées un taux de succès de 11,2%. La durée moyenne de survie est de 1,14 +/-0,87 pour les échecs et de 1,73 +/-1,11 an pour les succès. La moyenne d’âge au moment de la biopulpotomie est de 5,72+/-1,18 pour les échecs et de 6,76+/-1,69 pour les succès. Toutes les dents traitées chez les moins de 6 ans sont des échecs. Conclusion : L'absence de contrôle pour la moitié des dents traitées dans cette étude ne permet pas d’évaluer avec fiabilité les réels taux de succès et survie des biopulpotomies réalisées au centre de soins dentaires, cependant le jeune âge des patients semble être un facteur majeur d’échec.
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Chirurgie dentaire
/ 03-07-2023
Galisson Ludivine
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Objectif principal : évaluer le succès et la survie des biopulpotomies réalisées par des étudiants au centre de soins dentaires de Rennes. Objectif secondaire : mettre en évidence les facteurs favorables et défavorables de la biopulpotomie. Méthode : Etude rétrospective de 1021 biopulpotomies réalisées chez les enfants au centre de soins dentaires de Rennes entre juin 2016 et octobre 2022 dans les services d’urgence et d’odontologie pédiatrique. Résultats : 806 biopulpotomies étudiées mais seulement 419 ont fait l’objet d’un contrôle. Cette étude montre parmi les dents contrôlées un taux de succès de 11,2%. La durée moyenne de survie est de 1,14 +/-0,87 pour les échecs et de 1,73 +/-1,11 an pour les succès. La moyenne d’âge au moment de la biopulpotomie est de 5,72+/-1,18 pour les échecs et de 6,76+/-1,69 pour les succès. Toutes les dents traitées chez les moins de 6 ans sont des échecs. Conclusion : L'absence de contrôle pour la moitié des dents traitées dans cette étude ne permet pas d’évaluer avec fiabilité les réels taux de succès et survie des biopulpotomies réalisées au centre de soins dentaires, cependant le jeune âge des patients semble être un facteur majeur d’échec.
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Chirurgie dentaire
/ 29-06-2023
Lavelaine de Maubeuge Antoine
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La technique du « screw tenting » apporte une solution thérapeutique supplémentaire dans la régénération osseuse des défauts osseux alvéolaires en implantologie. L’objectif de cette revue de littérature est de montrer l’apport de cette technique aux stratégies de Régénération Osseuse Guidées (ROG) en montrant l’intérêt de la méthode et son application pratique. La recherche bibliographique de cette revue de littérature a été réalisée sur les bases des données PUBMED/MEDLINE et COCHRANE avec les termes MeSH suivants : « screw tenting » OR « tentpole technique » OR « tenting technique » AND « alveolar ridge ». A partir de cette sélection, 16 articles ont été retenus pour rédiger cette revue bibliographique. L’analyse des articles montre que la technique du « screw tenting » permet, dans le cas de défauts osseux alvéolaires de petite ou grande étendue, une régénération osseuse verticale et horizontale satisfaisante permettant le positionnement d’un implant dans de bonnes conditions avec des complications minimes.
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Chirurgie dentaire
/ 28-06-2023
Hadji Amira
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Objectifs – L'autotransplantation dentaire (ATD) réussie nécessite une préservation du ligament alvéolo-dentaire (LAD) sur les dents donneuses et une bonne vascularisation du site receveur pour garantir le maintien du volume osseux alvéolaire grâce à la stimulation physiologique du LAD. Cette étude rétrospective vise à évaluer le taux de survie et de succès d'un protocole original en deux temps qui utilise la double stimulation parodontale et une réplique 3D de la dent transplantée (DT) pour favoriser la réparation ligamentaire et prévenir l'ankylose et la résorption radiculaire. Matériels & Méthodes – Tous les patients consécutifs suivis au pôle d’Odontologie de Rennes et ayant subi une ATD en deux temps chirurgicaux avec une double stimulation parodontale et l’utilisation d’une réplique 3D de la dent donneuse entre 2017 et 2022 ont été invités à un examen clinique et radiographique de suivi. En premier lieu, les taux de survie ont été calculés sur la base d’une enquête téléphonique. Dans un second temps, un examen de suivi clinique et radiologique a permis de calculer le taux de réussite. Résultats – Vingt-deux dents chez 20 patients ont été transplantées au cours de la période d’étude. Tous les patients ont été contactés avec succès et interrogés par téléphone. L’âge moyen au moment de la chirurgie était de 15,5 ± 3,5 ans. Sur ces 22 DT, 21 étaient encore en fonction et 1 avait été extraite, ce qui donnait un taux de survie de 95,5% après un suivi moyen de 25,2 ± 14,3 mois. Sur les 21 DT admissibles à l’analyse de succès, le suivi clinique et radiologique a montré un taux de réussite de 90,5% avec un LAD normale et aucune ankylose. Conclusion – Le protocole d'ATD utilisé a montré un taux de survie et de succès très satisfaisant à moyen terme. Cette étude suggère que ce protocole standardisé potentialise la cicatrisation du LAD et peut être un traitement viable et prédictible dans la pratique clinique actuelle, en particulier lorsqu'un traitement orthodontique est nécessaire. Des études de suivi à plus long terme sont nécessaires pour évaluer l'efficacité de ce traitement.
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Chirurgie dentaire
/ 27-06-2023
Coulibaly Charlotte
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La maltraitance sur mineurs est un problème mondial, dont le taux est estimé à 10% d’enfants victimes dans les pays à hauts revenus. Les lésions concernant la tête et le cou représentent 50% des cas de maltraitances physiques sur mineurs. Les chirurgiens-dentistes recevant dans leur cabinet des patients mineurs dès la petite enfance, il est de leur responsabilité légale de dépister et signaler aux autorités compétentes toutes situations suspectes. Il a donc semblé intéressant d’évaluer par une étude épidémiologique les connaissances des chirurgiens-dentistes exerçant en libéral en Basse-Normandie et en Bretagne sur leurs connaissances et reconnaissance des signes d’alerte oraux ainsi que l’attitude à avoir face un cas de maltraitance infantile. Les résultats montrent que plus d'un quart (21,5%) des praticiens interrogés ont déjà été confrontés à une situation de suspicion de maltraitance sur mineur dans le cadre de leur exercice professionnel. Cependant leurs connaissances générales au sujet des maltraitances sur mineurs et ainsi que de l’attitude à adopter sont faibles et incomplètes. Cette étude montre la nécessité d’inclure et de développer la transmission d’informations sur les maltraitances infantiles lors des formations initiales et continues des chirurgiens-dentistes pour qu’ils remplissent leurs obligations légales de dépistage et de signalement.
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Chirurgie dentaire
/ 22-06-2023
Sepulchre Quentin
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L’objectif de ce travail préliminaire était de comparer la prévalence des agénésies dentaires chez les parents d’enfants porteurs et non porteurs de fentes orofaciales. Matériels et méthode : Une étude cas-témoin a été menée au CHU de Caen de décembre 2021 à mars 2023. Résultats : Cent quarante-trois patients ont participé à l’étude, mais au final, seuls 52 patients ont pu être définitivement inclus dont 31 cas et 21 témoins avec leurs deux parents respectifs. Chez les porteurs de fentes, deux enfants présentaient un seul parent (leur mère) avec des agénésies contre aucun chez les enfants non porteurs de fentes. Des retards d’éruption dans la fratrie ont également été reporté uniquement chez les porteurs de fentes. Conclusion : Seuls deux cas d’agénésies et de retard d’éruption ont été reportés ne permettant pas de conclure sur l’existence ou non d’une différence significative de prévalence des agénésies dentaires chez les parents d’enfant porteur et non porteur de fentes orofaciales.
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