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Sciences économiques
/ 25-06-2015
Gavoille Nicolas
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L’objectif de cette thèse est d’introduire de manière explicite les caractéristiques personnelles des décideurs publics dans l’analyse de processus politiques français. Trois cas sont successivement analysés, soulevant chacun une problématique distincte. Le premier chapitre s’intéresse à l’échelon municipal, et se base sur un jeu de données original comportant des informations sur l’ensemble des maires des municipalités de plus de 10000 habitants entre 2000 et 2012. L’objectif est de décrire comment l’influence idiosyncratique d’un maire sur la politique d’investissement municipal impacte sa probabilité de réélection. Les résultats indiquent que plus la taille de la municipalité augmente, moins les électeurs se basent sur ce type d’information. Le second chapitre a pour objet la production législative française, et s’appuie également sur une base de données originale. Un double cycle de production législative émerge, généré par les élections présidentielles et législatives. Il apparaît également que les caractéristiques personnelles des ministres influencent la stratégie du gouvernement, notamment l’âge et l’expérience. Enfin, le troisième chapitre se focalise sur l’impact de la compétition électorale sur le processus de recrutement politique. Un important travail de collecte de données concernant la production parlementaire de chaque député de la Ve République permet d’étudier cette relation ainsi que son évolution au cours de la période 1959-2012. Il en ressort que les députés élus dans des circonscriptions compétitives ont une activité parlementaire plus importante, toutes choses égales par ailleurs. Cependant, ce lien entre activité et compétition est en constante diminution depuis les années 1980.
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Sciences Economiques
/ 12-07-2011
Bousrih Jihéne
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Cette thèse s’intéresse à étudier la politique de ciblage de l’inflation compte tenu des caractéristiques économiques et financières des économies émergentes. Depuis sa première adoption en adoption en 1990, la politique de ciblage de l’inflation a montré son efficacité en limitant la flambée des prix et en favorisant la croissance économique. Cependant, pour les marchés émergents, l’amélioration de leur performance économique reste faible par rapport aux économies développées. Ce résultat est du principalement aux caractéristiques de ces économies et à leur vulnérabilité économique et financière. Ce travail explore l’impact de deux importantes caractéristiques des marchés émergents, sur le choix de la politique monétaire. Il s’agit de la dépendance commerciale et de la dépendance financière. L’approche théorique de cette thèse montre que la Banque Centrale des économies émergentes a intérêt à adopter la politique de ciblage de l’inflation qui limite la transmission de l’inflation importée vers le niveau des prix domestiques. La thèse propose également une approche empirique qui cherche à identifier, d’une part, l’efficacité de la politique de ciblage de l’inflation et d’autre part, les facteurs qui peuvent influencer la volatilité des prix. Les résultats montrent, dans un premier temps, qu’il y a une amélioration de la performance des pays adoptant la politique de ciblage de l’inflation mais dans des proportions relativement faibles. Puis dans un deuxième temps, qu’un système monétaire, financier et budgétaire sain favorise la maîtrise de l’inflation.
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Sciences économiques
/ 07-12-2009
Cadet Raulin Lincifort
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L'expérience des différents épisodes de défaillance bancaire à travers le monde, notamment celle qu'occasionna aux Etats-Unis d'Amérique et dans d'autres économies, la crise des subprimes, montre que la défaillance bancaire a des conséquences néfastes sur l'économie. Même la défaillance d'une seule banque peut causer un coût élevé pour l'économie. Elle peut, entre autres, occasionner une panique bancaire, réduire les activités économiques, augmenter le déficit budgétaire. Puisque la défaillance bancaire fait supporter des coûts élevés à l'économie, il est important d'identifier les facteurs qui l'expliquent, afin de pouvoir la prévenir. L'un des facteurs macroéconomiques de la défaillance bancaire que l'on retrouve dans la littérature est la croissance des taux d'intérêt. Or, lorsque la banque centrale applique une politique monétaire restrictive, une augmentation des taux d'intérêt en découle. Dans ce cas, une politique monétaire restrictive peut être un facteur de défaillance bancaire. Cependant dans les pays en développement, la vente de bons du trésor par la banque centrale, dans le cadre d'une politique monétaire restrictive constitue une source alternative de profit pour les banques. Si cette politique rend les banques efficientes à maximiser leur profit, alors, réduit-elle la défaillance bancaire dans les pays en développement ? Pour répondre à cette question, nous considérons le cas d'Haïti où la vente de bons par la banque centrale constitue une source alternative de profit pour les banques. Nous présentons un modèle théorique relatif aux pays en développement. Ce modèle montre que bien que son impact soit plus important sur les banques inefficientes à maximiser leur profit, une politique monétaire restrictive augmente le niveau de défaillance des banques efficientes aussi bien que celui des banques inefficientes. Pour mesurer l'efficience bancaire, nous estimons un modèle d'analyse des frontières stochastiques de la forme translog. Puis, nous construisons un indice de défaillance bancaire. Nous utilisons cet indice comme variable endogène dans des estimations qui nous permettent de vérifier si une politique monétaire restrictive augmente la défaillance bancaire. Les résultats empiriques révèlent que bien qu'une politique monétaire restrictive augmente l'indice de défaillance des banques efficientes en profit aussi bien que celui des banques inefficientes (en profit), son impact est plus important qur celles qui sont inefficientes. De plus, nous avons trouvé que l'augmentation de l'efficience à maximiser le profit qui résulte d'une politique monétaire restrictive est illusoire. L'implication des résultats de cette thèse pour les pays en développement, c'est que la banque centrale, en planifiant sa politique monétaire, doit tenir compte de l'effet non désiré d'une politique monétaire restrictive sur l'efficience en profit et sur le niveau de défaillance des banques. Des actions doivent être entreprises également en vue d'inciter les banques à être efficientes, puisque l'indice de défaillance des banques inefficientes est plus sensible à une politique monétaire restrictive. L'une des principales contributions de cette thèse à la littérature, c'est qu'elle montre qu'au delà du bilan bancaire, la politique monétaire affecte aussi l'efficience ainsi que le niveau de défaillance des banques
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Doctorat de l'université de Rennes1 mention sciences de gestion
/ 19-06-2018
Ouedraogo Saïdou
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La consommation de la cigarette constitue de nos jours un problème de santé publique. L’OMS a mis plusieurs outils à la disposition des Etats, dont les avertissements sanitaires pour lutter contre le tabagisme. Au Burkina Faso, l’avertissement sanitaire actuel en vigueur est sous forme textuelle de petite taille. La littérature en marketing social s’est intéressée à l’impact des avertissements sanitaires textuels et visuels sur les réactions affectives, cognitives et conatives des fumeurs et des non-fumeurs. Des divergences existent toujours sur l’efficacité des avertissements sanitaires de façon générale et de façon particulière, ceux qui suscitent des émotions négatives. Aussi très peu de recherches ont été réalisées sur des individus non-lettrés. Partant de ces constats, la présente thèse s’est fixée pour objectif de tester l’impact sur les fumeurs et les non-fumeurs, de l’avertissement sanitaire textuel actuel en vigueur au Burkina Faso et des 72 nouveaux avertissements sanitaires visuels proposés par l’OMS pour les pays africains. Nous avons mené une étude qualitative à travers des entretiens individuels. Les résultats indiquent que l’avertissement sanitaire textuel actuel a peu d’impact sur les réactions affectives, cognitives et les intentions comportementales des fumeurs et des non-fumeurs. En revanche, les avertissements sanitaires visuels ont plus d’impact sur les fumeurs et les non-fumeurs comparativement à l’avertissement sanitaire textuel. Les avertissements sanitaires qui suscitent plus d’émotions négatives (peur) ont plus d’impact sur l’intention comportementale des fumeurs et des non-fumeurs. Une étude quantitative a ensuite été réalisée pour comparer l’avertissement sanitaire textuel actuel en vigueur au Burkina Faso à 4 nouveaux avertissements sanitaires visuels choisis parmi les 72, à l’issue de l’étude qualitative. Les résultats de l’étude quantitative vont dans le sens de ceux de l’étude qualitative. A l’exception de la variable « lecture », le niveau d’instruction des fumeurs (lettré ou non-lettré) n’exerce pas une influence sur l’impact des avertissements sanitaires. Le sexe et la tranche d’âge des individus n’ont pas aussi d’effet significatif sur l’impact des avertissements sanitaires. La présente thèse contribue à enrichir la littérature sur les avertissements sanitaires dans les pays en développement et sur des cibles non-lettrées. Sur le plan de la santé publique, nos résultats suggèrent l’apposition des avertissements sanitaires visuels sur les paquets de cigarettes au Burkina Faso pour la lutte contre le tabagisme.
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Sciences économiques
/ 15-12-2014
Koné Famaria Djibril
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Partant du premier constat selon lequel, le continent africain a été et reste encore aujourd’hui, celui dont les habitants sont les plus pauvres du monde, nous nous sommes assigné comme objectif d’essayer d’en identifier les tenants et les aboutissants. A la lumière des avancées en matière de théorie de la croissance, nous avons énumérés les deux principaux mécanismes convoyeurs de croissance économique, à savoir l’accumulation des facteurs de production et le progrès technique. Ensuite comme second constat, nous avons remarqué qu’à la fois le taux d’investissement et le niveau de progrès technique était plus faible sur le continent africain, qu’ailleurs. Conscient également de cet état des choses, les instances dirigeantes de ces pays, ont entrepris d’attirer le plus d’investissements étrangers possible, considérés d’une part comme un moyen de contourner le déficit d’investissements productifs et d’autre part comme un mode d’adoption de nouvelles technologies. C’est pourquoi, l’impact des investissements directs étrangers sur la croissance économique des pays en voie de développement et africains en particuliers, a constitué l’objet de notre étude. Nous avons décelé dans notre étude, comme dans la littérature sur le sujet, un impact des IDE sur l’investissement local en Afrique neutre, soutenant l’hypothèse que ces investissements augmentent au moins le stock de capital physique par tête des pays africains de notre échantillon. Ce faisant, les IDE vont influer sur le revenu par tête des pays de notre échantillon, dans des proportions différentes mais selon le même principe que les investissements dits nationaux. On a constaté que les investissements directs étrangers, ont eu un impact moyen positif supérieur sur le niveau de revenu par tête de long terme (22% de hausse quinquennale moyenne), à celui des investissements domestiques (0,5% de hausse quinquennale moyenne). Cependant, nous n’avons pas enregistré d’effets d’externalités de productivités positives au sein de ces pays, liées à la présence d’entreprise étrangères. Au sein d’un échantillon plus large cette fois-ci, comprenant aussi bien des pays développés, en voie de développement et africains, nous avons trouvé que les IDE deviennent significatifs pour le processus de rattrapage technologique, via des externalités de productivité, quand le ratio de productivité totale des facteurs du pays hôte par rapport à celui des Etats-Unis, est supérieur ou égal à 0,47. Donc, pour bénéficier au maximum de la présence de multinationales sur leur territoire, les pays africains doivent mettre au préalable en place, de bonnes conditions politiques, économiques et sociales, leur permettant d’améliorer leurs capacités d’absorption (écart raisonnable de productivité vis-à-vis des Etats-Unis).
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Sciences économiques
/ 01-12-2014
Stephan Gaëtan
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Cette thèse met en évidence l'aspect asymétrique de l'élasticité du chômage par rapport à la production aux Etats-Unis et en Europe. Une première partie de ce travail empirique revient sur une estimation de la valeur ``authentique'' du coefficient d'Okun corrigé du biais de publication. Nous employons une méta-analyse et nous montrons qu'un aspect important de déformation du coefficient réside dans le choix de la variable endogène. Dans le second chapitre, nous montrons que loi d'Okun implique dans ses fondements un comportement procyclique de la productivité générée par la pratique de la rétention de main d’œuvre. L'économie américaine présente une déformation significative du coefficient d’Okun au cours des récessions et reprises depuis le milieu des années 80, quand la productivité a perdu son caractère procyclique. En Allemagne et en France, à l’inverse, le coefficient d'Okun se déforme peu au cours du cycle. Cette spécificité européenne pourrait venir de la nature des fluctuations macroéconomiques. Ainsi, l'économie allemande enregistre des chocs macroéconomiques avec un fort caractère transitoire et persistant. Néanmoins, le reste des pays européens présentent des chocs de nature permanente. Dans le dernier chapitre, nous montrons que le PIB réel et le chômage peuvent partager une relation de cointégration asymétrique qui semble être associée à une courbe de Phillips asymétrique.
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Sciences économiques
/ 19-02-2016
N'Dah Hartmann
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Ces deux dernières décennies ont été marquées par une montée spectaculaire des marchés boursiers des pays en développement. Cette augmentation de l’activité boursière a favorisé, selon certains auteurs, l’amélioration des performances économiques de quelques pays dits émergents. Cependant, les pays africains peinent encore à bénéficier des avantages liés à l’activité boursière, compte tenu de l’étroitesse,de la faible liquidité et de l’inefficience de leurs marchés boursiers. Les marchés boursiers de ces pays accusent un retard manifeste par rapport aux pays en développement des autres continents. Cette thèse examine les facteurs qui expliquent le niveau de développement des marchés boursiers des pays en développement en général, et des pays africains en particulier à partir d’un échantillon de 106 pays. L’analyse empirique est articulée autour des tests statistiques et économétriques. Les résultats montrent que le capital social mesuré par la confiance influence considérablement le développement des marchés boursiers dans les pays en développement. Cette confiance, puisqu’elle est très faible en Afrique, explique le retard des marchés boursiers africains par rapport aux marchés des pays en développement des autres continents. Par ailleurs, la faiblesse de la confiance en Afrique est due à l’hétérogénéité des populations caractérisées par une forte fragmentation ethnique, linguistique et religieuse. Les résultats montrent également que le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication influence positivement le développement des marchés boursiers à travers la réduction des coûts des transactions. Enfin, le développement des marchés boursiers africains est également compromis par leur ouverture précoce au reste du monde. En effet, l’ouverture financière affecte négativement l’activité boursière dans ces pays. Pour favoriser l’essor des bourses africaines, il est donc nécessaire de prendre un certain nombre de mesures. Il s’agit d’améliorer l’environnement institutionnel de manière à mieux protéger les propriétaires de capitaux afin de réduire l’effet de la faiblesse de la confiance ; de mettre en œuvre une politique qui favorise le brassage socioculturel entre les populations ; d’œuvrer pour augmenter le nombre d’entreprises cotées sur les marchés boursiers à travers l’ouverture au privé du capital des sociétés étatiques par le biais de la bourse ainsi que des mesures incitatives vis-à-vis des entreprises privées et enfin de promouvoir le développement des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication.
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Sciences économiques et sciences de gestion
/ 05-12-2022
Gbetchi Komlanvi Elom
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En 2015, les Objectifs de Développement Durable des Nations Unies ont fixé un impératif éthique : mettre fin à l’extrême pauvreté d’ici 2030. La micro-franchise peut contribuer à réduire la pauvreté, notamment celles des femmes en Afrique. L’objectif de cette recherche doctorale est de comprendre comment la micro-franchise, en tant que forme entrepreneuriale, permet de soutenir les femmes entrepreneures dans le secteur énergétique en Afrique. Pour ce faire, en s’appuyant sur la théorie de la carrière en entrepreneuriat, nous avons mené une étude empirique basée sur l’étude de cas du réseau de micro-franchise Mivo Energie, diffusant des produits énergétiques au Togo, et plus précisément la conduite et l’analyse de 59 entretiens avec 11 personnes du siège, 27 micro-franchisés (hommes et femmes), 15 clients et 6 candidats à la micro-franchise. Les résultats de notre travail montrent que la micro-franchise permet de soutenir les femmes entrepreneures dans leur carrière entrepreneuriale en mettant à leur disposition un savoir-faire, une assistance, une enseigne ainsi qu’un ensemble de relations humaines et des valeurs partagées. Cette recherche contribue à la littérature sur l’entrepreneuriat féminin dans les pays en développement, la micro-franchise et les Objectifs de Développement Durable ainsi qu’à la pratique.
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Sciences économiques
/ 22-11-2021
Dagorn Etienne
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L'éducation joue un rôle clé dans les trajectoires économiques et sociales individuelles. Les disparités d'apprentissage sont déjà présentes chez les adolescents. Cette thèse étudie le rôle des interactions sociales, entre élèves et avec leurs parents, dans la performance scolaire. Plus spécifiquement, nous élicitons différentes préférences, à savoir le goût pour la compétition, l'altruisme et la coopération, et les mettons en perspective avec la performance scolaire mesurée par les notes. Dans un second temps, nous évaluons la mise à disposition d'un mécanisme d'approbation et de désapprobation par les pairs sur les comportements coopératifs auprès d'un public d'adolescents la subissant en-dehors de l'expérimentation. Dans un troisième temps, nous approchons les interactions verticales - e.g. avec les parents- à travers les ressources mises à disposition pour étudier au sein du ménage. Cette thèse souligne le caractère multidimensionnel des interactions sociales dans la performance scolaire. Les interactions sociales des adolescents influencent la performance scolaire à travers i) les préférences concernant autrui telles que le goût pour la compétition et l'altruisme, ii) la (dés)approbation sociale entre élèves favorisant les comportements coopératifs, iii) les pratiques numériques parentales influençant la mise à disposition de ressources pour étudier au sein du ménage. Nos résultats peuvent servir des politiques éducatives afin de stimuler les préférences des apprenants et faciliter leur apprentissage et pour implémenter des interventions visant à réduire les disparités en termes de ressources en dehors de l’école.
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Sciences économiques
/ 05-10-2020
Robart Maeva
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Le terme « risque pays » est utilisé pour désigner le contexte économique, financier et politique d'un pays. Il est devenu courant dans les travaux de recherche mais aussi dans les articles de presse. Les risques peuvent provenir de multiples sources. De ce fait, les gestionnaires d’une société de gestion d’actifs ont besoin de nombreux outils afin d’investir au mieux leur portefeuille. De nombreux modèles de risques pays existent déjà. Cependant ces derniers ne sont pas tous en adéquation avec les attentes des gestionnaires. La création d’un modèle au sein de la recherche économique d’une société de gestion permet de répondre au mieux aux questionnements des investisseurs quant à l’environnement économiques, financiers, politiques, commercial et social d’un pays en particulier ou d’un groupe de pays.
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