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Chirurgie dentaire
/ 10-01-2023
Delanoue Victor
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Les nouveaux flux de travail numérique sont illustrés par la réalisation d’un cas clinique traité par prothèse composite. Le flux numérique présenté ici met en scène un patient devenu virtuel (scanner facial Bellus3D®, scanners intra-oraux Trios4® et Primescan®, technologie 4D Modjaw®) facilitant la communication dentiste - prothésiste. L’objectif de cet article est de proposer un protocole utilisant le flux numérique pour la réalisation d’une prothèse composite. Comparé aux méthodes conventionnelles, ce protocole permet d’augmenter la prédictibilité du traitement, et permet également une maîtrise simplifiée des aspects fonctionnels ainsi qu’un confort de réalisation tout au long de la chaîne prothétique.
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Médecine
/ 10-01-2023
Soulard Clémence
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Contexte : Plus d’un tiers des patients atteints de cancers sont dénutris. Or être dénutri augmente la morbimortalité et diminue la qualité de vie. La dénutrition, souvent associée à une altération de l’état général du patient, est une cause fréquente de report voire d’arrêt des traitements oncologiques, aggravant le pronostic des malades. Le rôle de chaque acteur dans la prise en charge de la dénutrition chez un patient atteint de cancers reste mal défini, laissant penser que « quelqu’un d’autre s’en occupera », ceci au détriment du malade. Objectifs : L’objectif principal est d’obtenir le regard des différents acteurs médicaux dans la prise en charge de la dénutrition chez leurs patients atteints de cancers sur le rôle qu’ils considèrent tenir. Les objectifs secondaires sont de décrire la pratique du dépistage/diagnostic de la dénutrition, de recueillir les problèmes et de faire émerger des propositions afin d’améliorer la prise en charge de la dénutrition dans le cas d’un patient atteint d’un cancer. Méthode : Il s’agit d’une étude qualitative par focus group. Discussion : La multiplicité des intervenants est perçue comme un frein. Le médecin traitant a du mal à trouver sa place, surtout au début de la prise en charge oncologique très hospitalière. Cette pluridisciplinarité présente néanmoins de nombreux avantages et permet d’avoir plus de moyens humains et techniques. Les patients et les soignants doivent être sensibilisés sur ce qu’est la dénutrition et ses conséquences pour permettre un dépistage et un diagnostic le plus précoce et systématique possible. Il faut mettre en lumière les « réseaux » déjà en place, améliorer la communication ville/hôpital et s’aider des nouvelles technologies type télémédecine pour le suivi. Conclusion : La place des différents acteurs dans le dépistage et la prise en charge de la dénutrition chez un patient atteint de cancers reste à préciser. Plusieurs modèles sont possibles, dont certains en cours d’expérimentation. Assurer une coordination entre les différents professionnels de santé et le patient pour une meilleure prise en charge globale apparait comme le maillon manquant et pourtant essentiel.
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Médecine générale
/ 12-01-2023
Houssin Jeanne
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Introduction : L’accompagnement des patientes souffrant d’un prolapsus génital semble mettre les médecins généralistes en difficulté. L’objectif principal de ce travail est d’étudier l’attitude et les représentations des médecins généralistes face à une demande de prise en charge médicale d’un prolapsus génital invalidant chez la femme de plus de 75 ans. Matériels et méthodes : L’étude est qualitative, 15 médecins généralistes y ont participés sous forme d’entretiens individuels semi-dirigés. L’échantillon a été varié selon différents critères (sexe, âge, lieu et type d’exercice, possession d’un diplôme universitaire de gynécologie). La retranscription s’est faite en verbatim et l’analyse à l’aide d’un double codage. Résultats : Le prolapsus représente un tabou pour les patientes aux yeux des médecins. Leur rôle est alors d’en parler afin de le dépister et de les orienter. L’utilisation du pessaire au cabinet est variable tant dans sa prescription que son suivi. Discussion : D’après les médecins généralistes, le prolapsus est chronophage en consultation et leur formation est insuffisante. Les spécialistes sont un appui, néanmoins la communication entre professionnels est à intensifier pour améliorer le parcours de soin. Conclusion : Le prolapsus est une problématique complexe à prendre en charge en médecine générale. L’accompagnement des patientes doit être encouragé et multidisciplinaire.
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MEDECINE
/ 17-01-2023
Cottalorda Arnaud
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La médecine insulaire en Polynésie française est une pratique de la médecine générale plutôt particulière du fait de la situation d’isolement géographique. Elle requiert une importante compétence et autonomie médicale, associée à une astreinte permanente sur site. L’objectif de l’étude était d’évaluer la perception de cette pratique et de proposer des pistes d’amélioration.
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médecine générale
/ 18-01-2023
Unger Samuel
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Matériel et méthodes : Nous avons réalisé une étude quantitative, rétrospective, mono-centrique avec pour population cible les patients en situation de précarité ayant recours au SAU adulte du CHU de Rennes entre novembre 2021 et mai 2022. Les critères d'inclusions étaient les personnes sans logement fixe et répondant à une adresse administrative et/ou identifiées « situation de précarité » dans le dossier patient informatisé. Les caractéristiques étudiées sont démographiques (sexe, âge), présence ou non d'un médecin traitant déclaré, priorisation des motifs de venues, diagnostics posés et orientation au décours du passage, durée du passage et affluence horaire. Ces dernières ont également été comparées avec la population générale se rendant au SAU durant le mois de novembre 2021. Résultats : Entre novembre 2021 et mai 2022, 905 passages ont répondus aux critères de précarité. Sur le mois de novembre 2021, 4890 passages en été enregistrés aux urgences dont 94 ont répondu aux critères de précarité. Nous retrouvons une population composées en majorité d'hommes (78%) et plus jeune qu'en population générale (40 ans vs. 48 ans, p<0,05), ils ont moins souvent un médecin traitant déclaré (39% vs. 83%, p<0,05). Leurs motifs de consultations sont également plus souvent moins ou non urgent (42% vs. 26%, p<0,05). Le principal diagnostic posé au décours de la passage est lié à une alcoolisation (21% vs. 4%, p<0,05). L'orientation au décours de leur passage est plus fréquemment un « retour à domicile » (82% vs. 64%, p<0,05). Conclusion : Cette étude met en évidence la problématique de l'orientation et du suivi des patients en situation de précarité en soins primaires dans le système de santé. De nombreux passages au SAU dans cette population ne semblent donc pas relever de la médecine d'urgence et semblent notamment en lien avec l'absence de médecin traitant déclaré chez la majorité de ces patients. Il semble indispensable de lever les freins à leur prise en charge en médecine générale, ceci nécessitent une réponse adaptée de la part des pouvoirs publiques et une meilleure formation des différents intervenants aux problématiques spécifiques des patients en situation
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Pharmacie
/ 20-01-2023
Andrei Alessandra
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Le syndrome de surentraînement (OTS) est défini comme une diminution persistante des performances sportives malgré une diminution de la charge d’entraînement pendant au moins deux semaines. Son étiologie est multifactorielle et sa physiopathologie reste énigmatique malgré l’élaboration de nombreuses hypothèses. Il n’existe aucun marqueur biologique spécifique permettant de faire un diagnostic sans équivoque. De plus, les signes divers et variés relevés diffèrent d’une personne à l’autre, rendant son diagnostic d’autant plus difficile. L’unique signe caractéristique rapporté est la dégradation des performances. Actuellement, le meilleur moyen est de coupler un examen clinique avec un ou plusieurs questionnaires psychologiques. L’OTS concerne les sportifs de tous niveaux et la meilleure façon de prévenir un état de surentrainement reste l’optimisation et la planification de la charge d’entraînement. En ce qui concerne le traitement, il repose avant tout sur la mise au repos du sportif, qui est un concept à définir précisément en concertation avec le sportif lui-même et à adapter avec lui en fonction des causes identifiées pouvant être responsables de la pathologie.
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Pharmacie
/ 27-01-2023
Groussier Bénédicte
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La spondylarthrite ankylosante reste en 2022 une maladie difficile à diagnostiquer et à traiter. Une susceptibilité génétique avec notamment la présence du gène HLA-B27, l’environnement bactérien et l’influence du tabac seraient impliqués dans son déclenchement. Ses manifestations cliniques sont variées. La prise en charge pharmacologique fait intervenir les anti-inflammatoires non stéroïdiens en première ligne. Leur utilisation sur le long terme, du fait de la chronicité de la maladie, pose problème quant à leurs effets indésirables. En 2022, trois classes de biothérapies peuvent être envisagées en traitement de fond : les anti-TNFalpha, les anti-IL17A et les JAKi. L’enquête réalisée auprès de patients atteints de spondylarthrite ankylosante avait comme objectif d’identifier la prise en charge des effets indésirables par les professionnels de santé et de mieux situer le rôle du pharmacien.
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Pharmacie
/ 27-01-2023
Sornais Thomas
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La mise en place d’une démarche qualité à l’officine est à l’initiative du Pharmacien responsable de l’assurance qualité mais elle nécessite l’adhésion et l’implication de toute l’équipe officinale pour être efficace. Pour faciliter cette démarche, des normes, des référentiels ainsi que des outils techniques sont à disposition des professionnels. Dans le but d’améliorer la qualité du réseau officinal, un Haut comité qualité officine organisé sous l’égide de l’Ordre national des pharmaciens a récemment mis en place le site demarchequaliteofficine.fr proposant une aide aux pharmaciens souhaitant démarrer une démarche qualité. D’autres pistes d’amélioration de la pratique comme la formation des étudiants à la qualité dans les facultés ainsi que les démarches de certification sont également présentées. Ce mémoire expose mon travail et ma contribution à la démarche qualité mise en œuvre par la Pharmacie Saint-Aubinoise dans le but d’obtenir la certification qualité Pharma Confiance®.
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Médecine
/ 01-02-2023
Ertus Cécile
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Les inhibiteurs de Janus kinase sont des médicaments très efficaces nouvellement développés dans la dermatite atopique. Des données récentes de pharmacovigilance durant leur développement dans la polyarthrite rhumatoïde ont révélé une augmentation potentielle des événements cardiovasculaires indésirables graves (« MACE »). Ce signal de sécurité a conduit à des recommandations de l'Agence européenne du médicament concernant la prescription d’inhibiteurs de Janus kinase chez les patients à haut risque cardiovasculaire, quelle que soit l'indication pour laquelle ils sont prescrits. Cependant, la polyarthrite rhumatoïde diffère de la dermatite atopique par son caractère pro-athérogène et ses comorbidités cardiovasculaires. Nous avons effectué une revue systématique de la littérature et méta-analyse dans le but de mieux caractériser les événements cardiovasculaires graves chez les patients traités par inhibiteurs de Janus kinase pour une dermatite atopique. L'hypothèse physiopathologique quant à la survenue de ces évènements cardiovasculaires est celle d'un phénomène de déstabilisation de la plaque d’athérome induit par les inhibiteurs de Janus kinase. Le critère de jugement principal suivait cette hypothèse et était constitué de la survenue de syndromes coronariens aigus et/ou d'accidents vasculaires cérébraux ischémiques et/ou de décès d’origine cardiovasculaire. Pour s’inscrire dans la continuité de la définition classique des « MACE », un critère de jugement secondaire comprenait les syndromes coronariens aigus et/ou les accidents vasculaires cérébraux (hémorragique et ischémique) et/ou les accident ischémiques transitoires et les décès d’origine cardiovasculaire. Parmi les 9 309 patients de la cohorte contrôlée, on observait 4 évènements principaux et 5 évènements secondaires, et un total de 9 évènements principaux et 14 évènements secondaires parmi les 9 118 patients de la cohorte « tout patient exposé à un Janus kinase inhibiteur ». Une méta-analyse réalisée avec la méthode de Peto ne mettait pas en évidence d’association entre l’exposition aux inhibiteurs de Janus kinases et la survenue de MACE versus comparateurs dans la cohorte contrôlée. Ainsi, même si la plupart de nos évènements cardiovasculaires sont survenus chez des patients exposés aux inhibiteurs de Janus kinase, il s’agissait de patients avec risque cardiovasculaire augmenté et l'implication des inhibiteurs de Janus kinase dans la survenue de ces évènements indésirables graves reste incertaine.
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Chirurgie dentaire
/ 07-02-2023
Cheron Pénélope
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Depuis les années 1970, le mode d’exercice du chirurgien-dentiste en France connait des évolutions. Par cette étude nous souhaitons connaître les aspirations des étudiants de l’UFR d’odontologie de Rennes et si elles suivent les tendances de la profession de chirurgien-dentiste en France. Pour se faire un questionnaire a été diffusé auprès des étudiants de la 2ème à la 6ème année orienté sur leurs souhaits concernant leur futur exercice, ainsi que leurs ressentis. Les objectifs de cette étude sont d’analyser les évolutions de la profession en France pour les comparer avec les réponses des étudiants de l’UFR d’odontologie de Rennes, mais aussi de comparer les réponses entre les promotions et ainsi déterminer l’évolution des aspirations durant les études. Les résultats montrent que la profession a connu des changements importants au cours des années. Les aspirations des étudiants s’inscrivent dans l’évolution des tendances de la profession pour certains paramètres tel que l’exercice en groupe. Mais dans d’autres cas les projections des étudiants de Rennes ne sont pas en accords avec les données de la profession en France. De plus des différences notables sont observées entre les aspirations des étudiants de début et de fin de cursus d’odontologie.
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