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Médecine
/ 02-06-2023
Agasse-Lafont Thomas
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Contexte : Les accidents vasculaires cérébraux dans le territoire de l’artère cérébrale postérieure représentent environ 5% de l’ensemble des AVC. Tout comme les AVC avec occlusion de l’artère cérébrale moyenne, ils peuvent être responsables d’un handicap fonctionnel. Les facteurs associés à un bon pronostic restent mal connus. Si la thrombolyse intraveineuse est recommandée, l’efficacité de la thrombectomie mécanique dans ce type d’AVC n’est pas démontrée. L’objectif de ce travail est de déterminer les facteurs associés à un bon pronostic fonctionnel à trois mois et d’évaluer la qualité de vie de ces patients. Une partie des données collectées a été utilisée dans l’étude multicentrique Acapulco. Méthodes : La sélection des patients a été faite à l’aide d’un registre local recensant l’ensemble des patients thrombolysés et/ou thrombectomisés au CHU de Rennes. Les patients présentant un AVC avec occlusion de l’artère cérébrale postérieure ont été inclus. Les données cliniques et radiologiques ont été obtenues à partir des dossiers informatiques de ces patients. Un questionnaire de qualité de vie EQ5D a été fait par téléphone. Un score de rankin à 3 mois compris entre 0 et 2 était défini comme un bon résultat fonctionnel, un score strictement supérieur à deux, un mauvais résultat. Des analyses univariées et multivariées ont été réalisées pour identifier les facteurs influençant le pronostic fonctionnel. Résultats : 40 patients pris en charge au CHU de Rennes entre septembre 2013 et juin 2022 ont été inclus. Environ un tiers de ces patients a eu un pronostic fonctionnel défavorable (mRS > 2). Le NIH à 24h influence de façon significative le pronostic fonctionnel. La qualité de vie n’est pas significativement moins bonne chez les patients présentant un mauvais résultat fonctionnel. Conclusion : Les AVC du territoire de l’artère cérébrale postérieure peuvent être responsables d’une perte d’indépendance et de qualité de vie. Le pronostic fonctionnel semble être principalement lié à l’évolution du NIHSS en hospitalisation.
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Pharmacie
/ 12-10-2023
Agranier Maxime
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Nous présentons ici une étude rétrospective sur la mise en place de l’examen de séquençage d’exome réalisé de manière rapide dans un contexte prénatal au sein des centres de la FHU GenOMedS, qui regroupe les centres hospitalo-universitaires du Grand Ouest de la France. L’objectif est de faire un premier bilan de l’introduction de cet examen en routine obstétricale environ un an et demi après que les premières patientes aient pu en bénéficier. Cette étude s’appuie sur une cohorte constituée de 69 examens soit la totalité des patientes s’étant vue prescrire un tel examen depuis sa mise en place dans les différents centres de la FHU. Notre étude est centrée principalement sur deux axes : Un premier axe revenant sur la mise en place de cet examen dans les différents centres et sa faisabilité. Nous nous intéressons ici à la dynamique de son intégration au sein des différents laboratoires de génétique, services de génétique clinique et d’obstétrique. Nous nous sommes également intéressés à ses performances techniques et temporelles. Un second axe, plus clinique s’intéresse au rendement diagnostique de cet examen. Le contexte est celui de la mise en évidence de signes d’appel échographiques au cours du suivi de grossesse. Nous nous sommes intéressés aux performances diagnostiques de cette analyse dans toutes les circonstances cliniques ayant pu être rencontrées. Nous avons également étudié l’implication du résultat de cet examen dans les suites de grossesse. Cette étude nous à permis de montrer que les centres du réseau HUGO sont désormais autonomes dans la prise en charge de cet examen et qu’il est maintenant parfaitement intégrée dans la routine des différents services impliqués. Avec une durée moyenne de 17 jours, les délais analytiques restent compatibles avec le contexte évolutif de la grossesse, bien que le délai médian de près d’un mois entre le prélèvement et l’enregistrement de l’examen puisse probablement être raccourci. Avec un rendement global d’environ 25%, soit un total de 17 diagnostics réalisés sur 69 fœtus testés, l’apport diagnostique de cet examen est conséquent. Toutes les maladies identifiées étaient fortement invalidantes pour l’individu à naître. Il s’agissait principalement de déficiences intellectuelles syndromiques, mais aussi de maladies métaboliques et osseuses. Les anomalies de la face et du crâne, les œdème et hydrops, ainsi que les syndrome polymalformatifs ont été associé à un rendement diagnostique important bien que cet examen garde une grande pertinence dans certaines atteintes à plus faible rendement comme les malformations isolées du système nerveux centrale. Un diagnostic positif à permis d’orienter les couples vers une IMG dans la plupart des cas. En conclusion l’examen d’exome prénatal a parfaitement su trouver sa place dans l’arsenal diagnostique des centres du groupement HUGO. Cette technique robuste est actuellement la seule alternative permettant le diagnostic de maladies géniques en période anténatale disponible dans nos laboratoires. Nous espérons que cette étude contribuera à rendre nos pratiques plus efficientes.
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Pharmacie
/ 02-05-2023
Al Mohammad Yamane
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La pandémie du Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 (SARS-CoV-2), responsable de la maladie Covid-19, a engendré une course sans précédent pour la recherche d’un traitement. Parmi les traitements qui semblaient prometteurs, il y a eu les anticorps monoclonaux dont fait partie la bithérapie bamlanivimab/etesevimab, commercialisée par le laboratoire Eli Lilly & Company. Cette bithérapie avait bénéficié d’une Autorisation Temporaire d’Utilisation (ATU), permettant aux patients un accès anticipé avant mise sur le marché. La mise en place d’une ATU implique différents acteurs notamment en ce qui concerne le suivi des effets indésirables, pour garantir la sécurité des patients. A ce titre, l’industriel joue un rôle primordial dans la collecte des évènements indésirables. L’intérêt des ATU pour palier à un manque de l’arsenal thérapeutique ne fait plus débat. Cependant l’urgence sanitaire ne doit pas justifier un recours facilité à ces accès anticipés pour de nouvelles thérapies.
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Pharmacie
/ 14-04-2023
Allavène Agathe
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Pour développer un nouveau médicament, il faut environ 12 ans et un milliard d'euros de la première découverte de la molécule à sa mise à disposition pour les patients. Si nous prenons le cas de la France, lorsque le médicament possède son AMM, il faut patienter encore 530 jours en moyenne pour obtenir le prix et le remboursement, qui conditionnent la distribution du médicament en ville ou dans les établissements de santé. Dans ce contexte, pour de nombreux patients atteints de maladies graves dans le monde, il existe une thérapeutique appropriée mais celle-ci n’est pas encore disponible malgré la découverte scientifique effective. Afin de rendre certains médicaments disponibles à un stade plus précoce et d'optimiser leur développement en Europe, des procédures d’accès dérogatoire à l’AMM peuvent-être mises en place. Le statut d’ATU est ainsi apparu en France en 1992. Ce dispositif permettait à des patients en situation d'impasse thérapeutique et lorsque les données disponibles sur le médicament en ATU suggéraient un bénéfice réel pour ces patients au regard des risques, d’avoir recours au traitement avant sa mise sur le marché. Par la réforme du 1er juillet 2021, le système des ATU a été remplacé par celui de l’accès compassionnel et de l’accès précoce. Au cours de cette thèse, je décrirai dans un premier temps le cadre européen de l’usage compassionnel. Dans un second temps, j’aborderai le cadre législatif français, en détaillant plus particulièrement l’ancien système des ATU de cohorte et ses limites, qui ont conduit à la réforme en 2021. Enfin, je présenterai les accès dérogatoires actuellement en vigueur, notamment l’accès précoce.
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Pharmacie
/ 20-01-2023
Andrei Alessandra
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Le syndrome de surentraînement (OTS) est défini comme une diminution persistante des performances sportives malgré une diminution de la charge d’entraînement pendant au moins deux semaines. Son étiologie est multifactorielle et sa physiopathologie reste énigmatique malgré l’élaboration de nombreuses hypothèses. Il n’existe aucun marqueur biologique spécifique permettant de faire un diagnostic sans équivoque. De plus, les signes divers et variés relevés diffèrent d’une personne à l’autre, rendant son diagnostic d’autant plus difficile. L’unique signe caractéristique rapporté est la dégradation des performances. Actuellement, le meilleur moyen est de coupler un examen clinique avec un ou plusieurs questionnaires psychologiques. L’OTS concerne les sportifs de tous niveaux et la meilleure façon de prévenir un état de surentrainement reste l’optimisation et la planification de la charge d’entraînement. En ce qui concerne le traitement, il repose avant tout sur la mise au repos du sportif, qui est un concept à définir précisément en concertation avec le sportif lui-même et à adapter avec lui en fonction des causes identifiées pouvant être responsables de la pathologie.
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Médecine générale
/ 02-06-2023
Banquy Marie-Béatrice
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Contexte : Un manque croissant de dermatologues, associé à une sollicitation plus importante des médecins généralistes en premier recours dans les pathologies dermatologiques depuis la création du parcours de soins coordonné en 2004, font du médecin généraliste un acteur dont la formation en dermatologie est indispensable. C’est dans ce contexte que le diplôme universitaire (DU) de Dermatologie en Médecine Générale accueille depuis l’année universitaire 2021-2022 quinze médecins dans le but d’une plus grande implication dans le diagnostic et la prise en charge des patients présentant une affection dermatologique. Objectif : évaluer les difficultés rencontrées par les médecins généralistes au cours des consultations pour motif dermatologique des médecins participant au DU de dermatologie de la faculté de Rennes pour l’année universitaire 2021-2022. Méthodes : enquête par questionnaire en ligne, diffusé auprès des 15 médecins généralistes de mars à juin 2022. Résultats : Cent-deux réponses étaient obtenues représentant 110 motifs de consultation pour 45 pathologies dermatologiques différentes. La prévalence des consultations pour motif dermatologique s’élevait à 6,3%. Les médecins ont rapporté des difficultés pour 34,5% des consultations pour motif dermatologique soit environ 1 consultation sur 3. Le niveau de certitude diagnostique et thérapeutique rapporté par les médecins généralistes était respectivement de 8,3 et 9,1 sur 10. Ils ont eu recours à l’avis d’un dermatologue pour établir un diagnostic dans 10,9% des cas. Les motifs les plus fréquents étaient les pathologies tumorales (21,8%), les viroses (13,6%) et les mycoses (13,6%). Les pathologies tumorales posaient majoritairement un problème d’accès au spécialiste (29,2%), tandis que les viroses et les mycoses posaient parfois des difficultés diagnostiques (16,7%). Les médecins rapportaient une fréquence d’utilisation des connaissances acquises au cours du DU de 53,6%. Conclusion : Les cours du DU de dermatologie en médecine générale organisé par la Faculté de Rennes semblent répondre au besoin des médecins généralistes. Le niveau de certitude diagnostique et thérapeutique était élevé après un an de formation. L’accès au spécialiste reste, pour certaines pathologies, nécessaire et est parfois problématique.
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Chirurgie dentaire
/ 13-04-2023
Barrier Raphaël
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Sujet : cet article est une revue de la littérature destinée à mettre en évidence l’influence des ciments de scellement sur le risque de péri-implantite. Matériels et méthodes : une recherche d’articles a été effectuée sur 2 bases de données (PubMed et ScienceDirect), les articles sélectionnés sont tous issus d’études cliniques contrôlées et datent de 15 ans ou moins. Les études incluses comparent les prothèses transvissées et scellées ou s’intéressent au lien entre la présence d’excès de ciment de scellement et la survenue de péri-implantite. Étaient exclues les séries de cas, études in-vitro, les revues systématiques ainsi que les études non comparatives. Résultats : 7 articles répondaient aux critères de sélection et ont été inclus dans cette revue, rassemblant un total de 1269 implants. La prévalence des péri-implantites variait entre 2% et 12,6%. Des excès de ciment étaient retrouvés dans une majeure partie des cas. Le lien entre la présence d’excès de ciment de scellement et la survenue de péri-implantite tend à se confirmer au travers de cette revue même si l’on constate une hétérogénéité dans les résultats observés. Conclusion : Les excès de ciment de scellement ont un lien potentiel avec la survenue de péri-implantite. Toutefois, une méta-analyse des données serait nécessaire pour confirmer cette hypothèse.
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Pharmacie
/ 27-10-2023
Baslé Manue
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Le virus du Sars-Cov-2, plus communément appelé virus de la COVID-19, est apparu en à Wuhan en Chine en décembre 2019. Après avoir atteint le stade de pandémie mondiale dès mars 2020, nouvelles technologies de santé (outils diagnostiques, médicaments, vaccins) ont rapidement vu le jour pour lutter au mieux contre le virus. De nombreuses instances et groupes privés et publiques internationaux ont concentrés leurs efforts pour rendre accessible ces produits de santé à tous de la manière la plus équitable possible. Cependant, les inégalités d’accès aux produits de santé, historiquement recensées entre les pays à faible et haut revenu, semblent persister dans la crise de la COVID-19 malgré les moyens engagés.
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Pharmacie
/ 30-05-2023
Bédier Romane
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Le sommeil est une fonction vitale de l'organisme et il a un rôle important pour de nombreuses fonctions biologiques. Cependant, de nombreuses personnes souffrent de troubles du sommeil dont majoritairement d'insomnie. Ces troubles ont des répercussions humaines, sociales et économiques. Cependant, lors de sa prise en charge, ces traitements sont prescrits sur plusieurs années. Cet usage au long court entraîne des effets délétères. Il est observé une dépendance psychique, une dépendance physique et un phénomène de tolérance apparaît. Le pharmacien a un rôle primordial en voyant le patient régulièrement à l'officine. Il peut lui rappeler les règles d'hygiène de vie et donner également quelques conseils.
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Chirurgie dentaire
/ 18-10-2023
Beghin Salomé
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Placer un implant dans une crête osseuse trop réduite dans le sens transversal, ou verticalement sous le sinus maxillaire, oblige parfois à réaliser une chirurgie pré ou per-implantaire. L’intérêt de ce travail est de faire le point par une revue de la littérature, sur le protocole Densah Versah®. Ces forets, qui peuvent s’utiliser avec toutes les types d’implants du marché, ont la particularité́ de travailler dans le sens anti- horaire. Leurs lames n’ont pas une action d’extraction d’os mais de densification de l’os alvéolaire en périphérie. Il se produit donc une expansion des parois dans le sens transversal dans une crête fine et une densification dans un os de type 3 ou 4. Dans le cas d’une crête alvéolaire fine en regard du sinus maxillaire, la même action va pouvoir « souffler » le bas fond sinusien et augmenter la profondeur de l’alvéole. Cette revue de la littérature confirme ces éléments et l’amélioration de la stabilité́ primaire des implants placés avec ce système.
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