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Chirurgie dentaire
/ 04-01-2022
Ferri Lucas
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L’avulsion de l’organe dentaire entraîne une résorption de la corticale vestibulaire traduite par l’apparition d’une dépression vestibulaire en regard de la dent extraite. Le remplacement de la dent manquante par un implant nécessite le comblement de cette concavité pour assurer la pérennité du traitement implanto-prothétique. L’apparition de nouveaux biomatériaux, tels que le Fibro-Gide® (Geistlich Pharma), permettent de s’affranchir d’un site donneur et propose une cicatrisation plus rapide que les techniques de conjonctifs enfouis et de régénérations osseuses guidées habituelles. Cette étude rétrospective de 3 cas cliniques réalisée au Centre de Soins Dentaires du CHU de Rennes a pour but de tester l’intérêt de ces nouvelles technologies dans une pratique courante. Elle pourra servir de prélude à une étude plus conséquente et à plus long terme.
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Chirurgie dentaire
/ 05-01-2022
Bléas Vianney
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L’objectif est de comparer l’étanchéité des restaurations réalisées avec une technique d’obturation conventionnelle et l’étanchéité des restaurations réalisées par injection de composite fluide et compact. 48 dents extraites ne présentant ni soin ni carie ni fracture ont été sélectionnées. Des cavités aux dimensions standardisées ont été réalisées sur chaque face proximale puis ont été obturées à l’aide de composite de type bulk fill. Les dents ont été préparées, trempées dans un colorant puis incluses dans de la résine. Elles ont été coupées afin d’observer l’étanchéité périphérique au niveau du joint de l’obturation. Les tranches ont ensuite été polies à l’aide de disques de polissage de différentes granulométries. Une fois les coupes devenues propres à l’observation, celles-ci ont été étudiées à l’aide d’une loupe binoculaire. La profondeur de pénétration a été évaluée pour les deux groupes d’échantillons, et relevée dans un tableau. Cette étude a été réalisée au sein du laboratoire de l’Institut National de Sciences Appliquées (INSA), équipé d’une micro-tronçonneuse Accutom-5 ainsi que d’une loupe binoculaire. Au sein du premier groupe, correspondant à la technique conventionnelle, 17 obturations sur les 48 ne présentaient aucune infiltration. Au sein du second groupe, correspondant à la technique de co- photopolymérisation, 50% des obturations ne présentaient aucune infiltration. Un test du χ2 a été réalisé avec comme hypothèse nulle que les pourcentages de dents étanches pour chaque population dont étaient extraits les échantillons étaient égaux. Le résultat suivant a été obtenu : χ2 = 1,657. A l’issue du test du χ2, le calcul du degré de significativité p (ou p-value) a permis d’accepter l’hypothèse H0 au risque de première espèce 5%. Ce degré calculé donnait p = 0,149, ce qui ne permettait pas d’émettre une quelconque présomption contre H0, ni d’accepter l’hypothèse alternative H1. Il n’existe pas de différence significative entre les deux techniques d’obturation des cavités proximales (p-value = 0,149), cependant il n’est pas possible d’affirmer avec cette seule étude que la technique de co-photopolymérisation est équivalente à la technique classique. Le pourcentage de dents étanches est supérieur (50% contre 35%) mais cela ne suffit pas à affirmer avec certitude que l’étanchéité est meilleure ou au moins équivalente.
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Chirurgie dentaire
/ 05-01-2022
Pecchia Antoine
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L’objectif est de comparer l’étanchéité des restaurations réalisées avec une technique d’obturation conventionnelle et l’étanchéité des restaurations réalisées par injection de composite fluide et compact. 48 dents extraites ne présentant ni soin ni carie ni fracture ont été sélectionnées. Des cavités aux dimensions standardisées ont été réalisées sur chaque face proximale puis ont été obturées à l’aide de composite de type bulk fill. Les dents ont été préparées, trempées dans un colorant puis incluses dans de la résine. Elles ont été coupées afin d’observer l’étanchéité périphérique au niveau du joint de l’obturation. Les tranches ont ensuite été polies à l’aide de disques de polissage de différentes granulométries. Une fois les coupes devenues propres à l’observation, celles-ci ont été étudiées à l’aide d’une loupe binoculaire. La profondeur de pénétration a été évaluée pour les deux groupes d’échantillons, et relevée dans un tableau. Cette étude a été réalisée au sein du laboratoire de l’Institut National de Sciences Appliquées (INSA), équipé d’une micro-tronçonneuse Accutom-5 ainsi que d’une loupe binoculaire. Au sein du premier groupe, correspondant à la technique conventionnelle, 17 obturations sur les 48 ne présentaient aucune infiltration. Au sein du second groupe, correspondant à la technique de co- photopolymérisation, 50% des obturations ne présentaient aucune infiltration. Un test du χ2 a été réalisé avec comme hypothèse nulle que les pourcentages de dents étanches pour chaque population dont étaient extraits les échantillons étaient égaux. Le résultat suivant a été obtenu : χ2 = 1,657. A l’issue du test du χ2, le calcul du degré de significativité p (ou p-value) a permis d’accepter l’hypothèse H0 au risque de première espèce 5%. Ce degré calculé donnait p = 0,149, ce qui ne permettait pas d’émettre une quelconque présomption contre H0, ni d’accepter l’hypothèse alternative H1. Il n’existe pas de différence significative entre les deux techniques d’obturation des cavités proximales (p-value = 0,149), cependant il n’est pas possible d’affirmer avec cette seule étude que la technique de co-photopolymérisation est équivalente à la technique classique. Le pourcentage de dents étanches est supérieur (50% contre 35%) mais cela ne suffit pas à affirmer avec certitude que l’étanchéité est meilleure ou au moins équivalente.
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Chirurgie dentaire
/ 05-01-2022
Piquet Boris
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Objectif : L’objet de cette revue systématique et méta-analyse est d’évaluer l’effet de plusieurs interventions pour accélérer le mouvement dentaire en complément d’un traitement orthodontique. Contexte : Depuis plusieurs décennies, plusieurs études ont été conduites pour évaluer l’efficacité des nouvelles techniques d’accélération du mouvement dentaire en orthodontie, malgré cela il n’y a pas de recommandation disponible à ce jour. Matériel et méthode : Une recherche électronique a été réalisée à l’aide de PubMed, Cochrane, Embase et Web of Science du 12 février 2021 au 13 mars 2021. Uniquement des études contrôlées randomisées et des essais cliniques contrôlées ont été sélectionnées. Leurs objectifs principaux sont d’évaluer l’effet des interventions pour accélérer le mouvement dentaire sur des personnes en bonne santé. La recherche bibliographique et la sélection ont été réalisées par deux auteurs (BP et EC) indépendamment. Résultats : Quarante-quatre études évaluant la photobiomodulation, la microvibration, la micro-pstéoperforation(MOP),la corticomie, la piezocision et le concentré plaquettaire riche en fibrine (PRF) ont été incluses dans l’analyse qualitative. Une méta analyse a été réalisée pour 3 méthodes: la photobiomodulation, la microvibration et la micro-osteoperforation. Elles ont montré une augmentation significative de la vitesse de déplacement dentaire pour la micro-ostéoperforation mais pas pour la photobiomodulation ni pour la microvibration. Les six études incluses concernant la piezocision relèvent toutes une augmentation significative de la vitesse de déplacement dentaire, concernant la corticotomie, trois études sur quatre montrent une augmentation significative. Quant au PRF la revue systématique ne montre pas d’augmentation significative. Conclusion: Sur la base des informations actuellement disponible, de faibles preuves montrent que la micro-ostéoperforation, la piezocision et la corticotomie augmentent la vitesse de déplacement dentaire, en revanche la photobiomodulation, la microvibration et le PRF ne semble pas l’augmenter. D’autres essais contrôlés randomisés devront être réalisé pour déterminer l’effet sur le long terme ainsi qu’un protocole optimal pour ces interventions.
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Chirurgie dentaire
/ 05-01-2022
Caër Erwan
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Objectif : L’objet de cette revue systématique et méta-analyse est d’évaluer l’effet de plusieurs interventions pour accélérer le mouvement dentaire en complément d’un traitement orthodontique. Contexte : Depuis plusieurs décennies, plusieurs études ont été conduites pour évaluer l’efficacité des nouvelles techniques d’accélération du mouvement dentaire en orthodontie, malgré cela il n’y a pas de recommandation disponible à ce jour. Matériel et méthode : Une recherche électronique a été réalisée à l’aide de PubMed, Cochrane, Embase et Web of Science du 12 février 2021 au 13 mars 2021. Uniquement des études contrôlées randomisées et des essais cliniques contrôlées ont été sélectionnées. Leurs objectifs principaux sont d’évaluer l’effet des interventions pour accélérer le mouvement dentaire sur des personnes en bonne santé. La recherche bibliographique et la sélection ont été réalisées par deux auteurs (BP et EC) indépendamment. Résultats : Quarante-quatre études évaluant la photobiomodulation, la microvibration, la micro-pstéoperforation(MOP),la corticomie, la piezocision et le concentré plaquettaire riche en fibrine (PRF) ont été incluses dans l’analyse qualitative. Une méta analyse a été réalisée pour 3 méthodes: la photobiomodulation, la microvibration et la micro-osteoperforation. Elles ont montré une augmentation significative de la vitesse de déplacement dentaire pour la micro-ostéoperforation mais pas pour la photobiomodulation ni pour la microvibration. Les six études incluses concernant la piezocision relèvent toutes une augmentation significative de la vitesse de déplacement dentaire, concernant la corticotomie, trois études sur quatre montrent une augmentation significative. Quant au PRF la revue systématique ne montre pas d’augmentation significative. Conclusion: Sur la base des informations actuellement disponible, de faibles preuves montrent que la micro-ostéoperforation, la piezocision et la corticotomie augmentent la vitesse de déplacement dentaire, en revanche la photobiomodulation, la microvibration et le PRF ne semble pas l’augmenter. D’autres essais contrôlés randomisés devront être réalisé pour déterminer l’effet sur le long terme ainsi qu’un protocole optimal pour ces interventions.
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Chirurgie dentaire
/ 06-01-2022
Oummal Yassine
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Parmi les thérapeutiques orthodontiques actuelles, deux systèmes sont principalement mis en œuvre : un système amovible, les aligneurs (gouttières amovibles) et un système fixe, le multi-attaches. Cette revue de littérature vise à comparer les effets iatrogènes de ces différents systèmes d’un point de vue dentaire et parodontale. Les articles retenus ont été répartis en trois catégories d’effets iatrogènes :les résorptions radiculaires, les modifications du microbiote intrabuccal et leurs conséquences sur la santé bucco-dentaire et les inconforts divers. Les points suivants ont été observés. Les gouttières ne provoquent pas plus de résorptions radiculaires que les multi-attaches et pourraient s’avérer même moins iatrogènes à ce niveau. Le microbiote subit des modifications quel que soit le système orthodontique. Cependant ces modifications et leurs conséquences sur la santé dento-parodontale sont plus limitées en cas de traitement par amovible. Enfin, les inconforts provoqués sont perçus de façon équivalente. Il a également été noté que la littérature actuelle présente une limite, tant en terme qualitatif que quantitatif, concernant les effets iatrogènes des systèmes orthodontiques.
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Chirurgie dentaire
/ 06-01-2022
Lemoine Victor
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Parmi les thérapeutiques orthodontiques actuelles, deux systèmes sont principalement mis en œuvre : un système amovible, les aligneurs (gouttières amovibles) et un système fixe, le multi-attaches. Cette revue de littérature vise à comparer les effets iatrogènes de ces différents systèmes d’un point de vue dentaire et parodontale. Les articles retenus ont été répartis en trois catégories d’effets iatrogènes :les résorptions radiculaires, les modifications du microbiote intrabuccal et leurs conséquences sur la santé bucco-dentaire et les inconforts divers. Les points suivants ont été observés. Les gouttières ne provoquent pas plus de résorptions radiculaires que les multi-attaches et pourraient s’avérer même moins iatrogènes à ce niveau. Le microbiote subit des modifications quel que soit le système orthodontique. Cependant ces modifications et leurs conséquences sur la santé dento-parodontale sont plus limitées en cas de traitement par amovible. Enfin, les inconforts provoqués sont perçus de façon équivalente. Il a également été noté que la littérature actuelle présente une limite, tant en terme qualitatif que quantitatif, concernant les effets iatrogènes des systèmes orthodontiques.
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Pharmacie
/ 07-01-2022
Quéré Manon
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La consommation des médecines alternatives et complémentaires (MAC) dont la phytothérapie est en pleine expansion chez les patients sous traitement contre le cancer. Ce type de pratique apparait comme une solution pour ces patients, parfois désemparés, afin de soulager les effets indésirables provoqués par les traitements et d’améliorer leur qualité de vie. Pour la majorité, ils classent la phytothérapie comme « naturel » et donc dénuée d’effets indésirables ou d’interactions médicamenteuses. De plus en plus d’études sont publiées dans la littérature scientifique prouvant l’efficacité des plantes, cependant, nous remarquons un manque de données sur les études cliniques permettant de valider les hypothèses des études précliniques et donc de garantir une consommation de la phytothérapie en toute sécurité. Nous avons donc construit un entretien spécialisé en phytothérapie afin de répondre aux attentes des patients, demandeurs d’informations et de les conseiller, les corriger et les sensibiliser sur ce type de pratique
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Chirurgie dentaire
/ 10-01-2022
Aïfa Adam
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Introduction : L’objectif de cette étude est de comparer, à partir d’une revue de la littérature, l’efficacité à court et à long terme de la correction de l’infraclusie antérieure chez l’adulte hyperdivergent par orthodontie associée à l’ingression molaire maxillaire à l’aide d’ancrages osseux (groupe A), versus l’impac- tion chi- rurgicale maxillaire (groupe B). Matériels et méthodes : Les articles sont extraits de cinq bases de données (dernière mise à jour en mai 2020). La sélection et l’extraction des données sont faites indépendamment par deux évaluateurs, puis validées et rassemblées après consensus pour limiter les biais. Résultats : Douze études de faible à moyen niveau de preuve répondent aux critères d’inclusion, dont deux consacrées à la chirurgie d’impaction maxillaire.Toutes les études ont analysé les changements dento-squelettiques à court terme, six ont évalué la stabilité à long terme jusqu’à 3,5 ans pour le groupe B et 4 ans pour le groupe A. Les deux groupes objectivent une diminution de la hauteur faciale antérieure et une fermeture de l’infraclusie antérieure par autorotation mandibulaire. Les résultats s’avèrent stables à long terme pour les deux groupes. Conclusion : La solution orthodontique d’ingression molaire associée aux ancrages osseux est une alternative à la solution chirurgicale des infraclusies peu sévères d’origine squelettique de l’adulte. Des essais cliniques randomisés comparatifs avec groupes contrôles sont indispensables pour aboutir à des conclusions fiables.
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médecine générale
/ 11-01-2022
Froeyen Gauthier
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L’alcoolisation fœtale est la première cause de retard mental dans d’origine non génétique dans le monde et elle est responsable d’une pléthore de complications allant des malformations aux troubles neurodéveloppementaux. Ces manifestations sont évitables et c’est pour cette raison que l’ensemble des professionnels de santé se doit d’alerter les femmes en âge de procréer des risques de l’alcool sur la grossesse. Selon certaines études, l’alcool pourrait également se révéler dangereux dans les tous premiers stades de la grossesse, ce qui pourrait mettre en danger les bébés d’un certain nombre de femmes sexuellement actives sans contraception ou avec un projet de conception et qui pourraient maintenir une consommation d’alcool avant de découvrir leur grossesse. L’objectif principal de notre étude était d’évaluer les connaissances d’une population de femmes en âge de procréer en région Bretagne sur le risque d’une consommation d’alcool pendant la grossesse et également d’évaluer leurs connaissances du risque d’une consommation d’alcool en période périconceptionnelle. L’objectif secondaire était de déterminer s’il existait un ou plusieurs sous-groupes de femmes moins informés des recommandations actuelles. Dans notre étude, la majorité des participantes semblent connaître les recommandations de santé publique au sujet de l’alcool pendant la grossesse, ainsi 8 femmes sur 10 (80%) savent qu’il n’y pas de consommation sans risque pendant la grossesse. Elles sont une majorité (86% des participantes) à savoir que même une consommation occasionnelle d’alcool pendant la grossesse peut représenter un risque pour l’enfant. En ce qui concerne les fausses croyances sur l’alcool pendant la grossesse, la plupart des participantes (86%) semblent bien informées sur le risque d’une consommation de bière pendant l’allaitement. Il en est de même pour le risque d’une consommation occasionnelle de vin pendant la grossesse (95% de bonnes réponses).Le risque d’une consommation d’alcool en période périconceptionnelle semble moins perçu des participantes que le risque d’une consommation d’alcool pendant la grossesse, car 1 femme sur 2 (53%) pense que l’alcool doit être arrêté à la découverte d’un test de grossesse positif, contre 42% qui estiment que l’arrêt des boissons alcoolisées doit se faire dès le désir de grossesse et l’arrêt de la contraception. De surcroît 1 femme sur 3 parmi les participantes qui ont déjà eu des enfants, aurait consommé de l’alcool dans les 15 jours qui ont précédé la découverte de leur grossesse. Dans notre étude, nous n’avons pas retrouvé de différences significatives dans le pourcentage de bonnes réponses à notre questionnaire en fonction des sous-groupes d'intérêt (âge, maternité, département…).
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