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Droit privé
/ 04-01-2022
Limeul Anne-Claire
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Bien qu’étant une notion fondamentale du droit de la responsabilité civile, le dommage est encore assez méconnu et les études portant sur le sujet se limitent à l’examen de sa matérialité au détriment de sa temporalité. Pourtant, le dommage possède une dimension temporelle certaine qui, rarement réduite à un instantané par la norme juridique, traduit son existence et influe sur sa consistance.
La durée du dommage, qui s’entend de l’étendue temporelle identifiée par deux instants fondateurs et reconnue par la norme juridique de l’atteinte subie par la victime, appartient au temps juridique. A ce titre, elle est marquée par une distanciation entre ses règles de mesure et celles de la durée existante dans le temps mathématique de l’Horloge. Cette lecture de la durée par le droit se répercute sur la caractérisation même du dommage. En tant que composant de l’atteinte, la durée du dommage permet alors d’en identifier le comportement temporel.
Participant à la détermination de la consistance de l’atteinte, la durée du dommage constitue également un élément d’évaluation du montant de l’indemnité accordée à la victime. Cependant, la réparation accordée au titre de l’élément temporel de l’atteinte est trop souvent implicite et parfois
partielle. Par ailleurs, l’incertitude entourant la caractérisation de l’étendue temporelle de certaines
atteintes, ajoutée à l’imprécision des règles d’évaluation, met en exergue les difficultés pour la victime d’obtenir une pleine réparation de son dommage.
La durée du dommage revêt ainsi plusieurs intérêts que ce soit pour la définition du dommage que pour sa réparation. Toutefois, les difficultés présentées par la notion invitent à s’intéresser à l’identification de ses caractéristiques et à son régime de réparation.
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Chirurgie dentaire
/ 04-01-2022
Ferri Lucas
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L’avulsion de l’organe dentaire entraîne une résorption de la corticale vestibulaire traduite par l’apparition d’une dépression vestibulaire en regard de la dent extraite. Le remplacement de la dent manquante par un implant nécessite le comblement de cette concavité pour assurer la pérennité du traitement implanto-prothétique. L’apparition de nouveaux biomatériaux, tels que le Fibro-Gide® (Geistlich Pharma), permettent de s’affranchir d’un site donneur et propose une cicatrisation plus rapide que les techniques de conjonctifs enfouis et de régénérations osseuses guidées habituelles. Cette étude rétrospective de 3 cas cliniques réalisée au Centre de Soins Dentaires du CHU de Rennes a pour but de tester l’intérêt de ces nouvelles technologies dans une pratique courante. Elle pourra servir de prélude à une étude plus conséquente et à plus long terme.
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Physique
/ 05-01-2022
Mortada Ahmad
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La compréhension des mécanismes régissant la formation des molécules organiques complexes dans le milieu interstellaire et les atmosphères planétaires froides repose notamment sur l’exploration de processus ioniques en conditions extrêmes. Le dispositif expérimental CRESU-SIS, développé pour étudier les réactions ion-neutres en phase gazeuse à basse températures, est en mesure de répondre à ce défi. Cet instrument unique, qui combine une source d’ions sélective (SIS) au réacteur CRESU qui génère un écoulement supersonique uniforme de très basse température, permet de mesurer les coefficients de vitesse de réactions entre des ions et des molécules neutres et de déterminer les rapports de branchement entre les différentes voies de sortie. La réactivité des ions N2+, Ar+, et CH2CN+ avec des hydrocarbures (e.g CH4, C2H4…) a été étudiée expérimentalement et analysée à l’aide de calculs quantiques. La réaction entre N2+ et les isomères linéaires de C3H4 (allene et propyne) a été incluse dans un modèle photochimique pour l’atmosphère de Titan.
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Chirurgie dentaire
/ 05-01-2022
Bléas Vianney
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L’objectif est de comparer l’étanchéité des restaurations réalisées avec une technique d’obturation conventionnelle et l’étanchéité des restaurations réalisées par injection de composite fluide et compact. 48 dents extraites ne présentant ni soin ni carie ni fracture ont été sélectionnées. Des cavités aux dimensions standardisées ont été réalisées sur chaque face proximale puis ont été obturées à l’aide de composite de type bulk fill. Les dents ont été préparées, trempées dans un colorant puis incluses dans de la résine. Elles ont été coupées afin d’observer l’étanchéité périphérique au niveau du joint de l’obturation. Les tranches ont ensuite été polies à l’aide de disques de polissage de différentes granulométries. Une fois les coupes devenues propres à l’observation, celles-ci ont été étudiées à l’aide d’une loupe binoculaire. La profondeur de pénétration a été évaluée pour les deux groupes d’échantillons, et relevée dans un tableau. Cette étude a été réalisée au sein du laboratoire de l’Institut National de Sciences Appliquées (INSA), équipé d’une micro-tronçonneuse Accutom-5 ainsi que d’une loupe binoculaire. Au sein du premier groupe, correspondant à la technique conventionnelle, 17 obturations sur les 48 ne présentaient aucune infiltration. Au sein du second groupe, correspondant à la technique de co- photopolymérisation, 50% des obturations ne présentaient aucune infiltration. Un test du χ2 a été réalisé avec comme hypothèse nulle que les pourcentages de dents étanches pour chaque population dont étaient extraits les échantillons étaient égaux. Le résultat suivant a été obtenu : χ2 = 1,657. A l’issue du test du χ2, le calcul du degré de significativité p (ou p-value) a permis d’accepter l’hypothèse H0 au risque de première espèce 5%. Ce degré calculé donnait p = 0,149, ce qui ne permettait pas d’émettre une quelconque présomption contre H0, ni d’accepter l’hypothèse alternative H1. Il n’existe pas de différence significative entre les deux techniques d’obturation des cavités proximales (p-value = 0,149), cependant il n’est pas possible d’affirmer avec cette seule étude que la technique de co-photopolymérisation est équivalente à la technique classique. Le pourcentage de dents étanches est supérieur (50% contre 35%) mais cela ne suffit pas à affirmer avec certitude que l’étanchéité est meilleure ou au moins équivalente.
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Chirurgie dentaire
/ 05-01-2022
Pecchia Antoine
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L’objectif est de comparer l’étanchéité des restaurations réalisées avec une technique d’obturation conventionnelle et l’étanchéité des restaurations réalisées par injection de composite fluide et compact. 48 dents extraites ne présentant ni soin ni carie ni fracture ont été sélectionnées. Des cavités aux dimensions standardisées ont été réalisées sur chaque face proximale puis ont été obturées à l’aide de composite de type bulk fill. Les dents ont été préparées, trempées dans un colorant puis incluses dans de la résine. Elles ont été coupées afin d’observer l’étanchéité périphérique au niveau du joint de l’obturation. Les tranches ont ensuite été polies à l’aide de disques de polissage de différentes granulométries. Une fois les coupes devenues propres à l’observation, celles-ci ont été étudiées à l’aide d’une loupe binoculaire. La profondeur de pénétration a été évaluée pour les deux groupes d’échantillons, et relevée dans un tableau. Cette étude a été réalisée au sein du laboratoire de l’Institut National de Sciences Appliquées (INSA), équipé d’une micro-tronçonneuse Accutom-5 ainsi que d’une loupe binoculaire. Au sein du premier groupe, correspondant à la technique conventionnelle, 17 obturations sur les 48 ne présentaient aucune infiltration. Au sein du second groupe, correspondant à la technique de co- photopolymérisation, 50% des obturations ne présentaient aucune infiltration. Un test du χ2 a été réalisé avec comme hypothèse nulle que les pourcentages de dents étanches pour chaque population dont étaient extraits les échantillons étaient égaux. Le résultat suivant a été obtenu : χ2 = 1,657. A l’issue du test du χ2, le calcul du degré de significativité p (ou p-value) a permis d’accepter l’hypothèse H0 au risque de première espèce 5%. Ce degré calculé donnait p = 0,149, ce qui ne permettait pas d’émettre une quelconque présomption contre H0, ni d’accepter l’hypothèse alternative H1. Il n’existe pas de différence significative entre les deux techniques d’obturation des cavités proximales (p-value = 0,149), cependant il n’est pas possible d’affirmer avec cette seule étude que la technique de co-photopolymérisation est équivalente à la technique classique. Le pourcentage de dents étanches est supérieur (50% contre 35%) mais cela ne suffit pas à affirmer avec certitude que l’étanchéité est meilleure ou au moins équivalente.
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Chirurgie dentaire
/ 05-01-2022
Piquet Boris
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Objectif : L’objet de cette revue systématique et méta-analyse est d’évaluer l’effet de plusieurs interventions pour accélérer le mouvement dentaire en complément d’un traitement orthodontique. Contexte : Depuis plusieurs décennies, plusieurs études ont été conduites pour évaluer l’efficacité des nouvelles techniques d’accélération du mouvement dentaire en orthodontie, malgré cela il n’y a pas de recommandation disponible à ce jour. Matériel et méthode : Une recherche électronique a été réalisée à l’aide de PubMed, Cochrane, Embase et Web of Science du 12 février 2021 au 13 mars 2021. Uniquement des études contrôlées randomisées et des essais cliniques contrôlées ont été sélectionnées. Leurs objectifs principaux sont d’évaluer l’effet des interventions pour accélérer le mouvement dentaire sur des personnes en bonne santé. La recherche bibliographique et la sélection ont été réalisées par deux auteurs (BP et EC) indépendamment. Résultats : Quarante-quatre études évaluant la photobiomodulation, la microvibration, la micro-pstéoperforation(MOP),la corticomie, la piezocision et le concentré plaquettaire riche en fibrine (PRF) ont été incluses dans l’analyse qualitative. Une méta analyse a été réalisée pour 3 méthodes: la photobiomodulation, la microvibration et la micro-osteoperforation. Elles ont montré une augmentation significative de la vitesse de déplacement dentaire pour la micro-ostéoperforation mais pas pour la photobiomodulation ni pour la microvibration. Les six études incluses concernant la piezocision relèvent toutes une augmentation significative de la vitesse de déplacement dentaire, concernant la corticotomie, trois études sur quatre montrent une augmentation significative. Quant au PRF la revue systématique ne montre pas d’augmentation significative. Conclusion: Sur la base des informations actuellement disponible, de faibles preuves montrent que la micro-ostéoperforation, la piezocision et la corticotomie augmentent la vitesse de déplacement dentaire, en revanche la photobiomodulation, la microvibration et le PRF ne semble pas l’augmenter. D’autres essais contrôlés randomisés devront être réalisé pour déterminer l’effet sur le long terme ainsi qu’un protocole optimal pour ces interventions.
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Chirurgie dentaire
/ 05-01-2022
Caër Erwan
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Objectif : L’objet de cette revue systématique et méta-analyse est d’évaluer l’effet de plusieurs interventions pour accélérer le mouvement dentaire en complément d’un traitement orthodontique. Contexte : Depuis plusieurs décennies, plusieurs études ont été conduites pour évaluer l’efficacité des nouvelles techniques d’accélération du mouvement dentaire en orthodontie, malgré cela il n’y a pas de recommandation disponible à ce jour. Matériel et méthode : Une recherche électronique a été réalisée à l’aide de PubMed, Cochrane, Embase et Web of Science du 12 février 2021 au 13 mars 2021. Uniquement des études contrôlées randomisées et des essais cliniques contrôlées ont été sélectionnées. Leurs objectifs principaux sont d’évaluer l’effet des interventions pour accélérer le mouvement dentaire sur des personnes en bonne santé. La recherche bibliographique et la sélection ont été réalisées par deux auteurs (BP et EC) indépendamment. Résultats : Quarante-quatre études évaluant la photobiomodulation, la microvibration, la micro-pstéoperforation(MOP),la corticomie, la piezocision et le concentré plaquettaire riche en fibrine (PRF) ont été incluses dans l’analyse qualitative. Une méta analyse a été réalisée pour 3 méthodes: la photobiomodulation, la microvibration et la micro-osteoperforation. Elles ont montré une augmentation significative de la vitesse de déplacement dentaire pour la micro-ostéoperforation mais pas pour la photobiomodulation ni pour la microvibration. Les six études incluses concernant la piezocision relèvent toutes une augmentation significative de la vitesse de déplacement dentaire, concernant la corticotomie, trois études sur quatre montrent une augmentation significative. Quant au PRF la revue systématique ne montre pas d’augmentation significative. Conclusion: Sur la base des informations actuellement disponible, de faibles preuves montrent que la micro-ostéoperforation, la piezocision et la corticotomie augmentent la vitesse de déplacement dentaire, en revanche la photobiomodulation, la microvibration et le PRF ne semble pas l’augmenter. D’autres essais contrôlés randomisés devront être réalisé pour déterminer l’effet sur le long terme ainsi qu’un protocole optimal pour ces interventions.
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Télécommunications
/ 06-01-2022
Lavaud Corentin
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Les canaux auxiliaires correspondent à la déviation d'une information de son chemin légitime par l'intermédiaire d'un ou plusieurs phénomènes physiques. Ces fuites sont capables de contourner certaines sécurités et d'impacter les systèmes de communication sécurisés. Dans cette thèse, nous étudions les différents canaux auxiliaires existants et analysons leurs principales caractéristiques. Les fuites d'information sous forme d'ondes électromagnétiques apparaissent clairement comme les plus difficiles à percevoir et nous nous intéressons ici plus particulièrement aux canaux auxiliaires impactant les communications à saut de fréquence. Cette étude mène à la création d'un système d'interception de ces signaux en temps réel et large bande. L'utilisation de radio logicielle combinée au langage Julia a permis la réalisation et la validation du système d'interception qui par la suite a été utilisé pour confirmer la présence de canaux auxiliaires télécom sur des transmissions Bluetooth. Des compromissions ont ainsi été mises en évidence sur des composants sur puce à base de microcontrôleurs.
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Chirurgie dentaire
/ 06-01-2022
Oummal Yassine
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Parmi les thérapeutiques orthodontiques actuelles, deux systèmes sont principalement mis en œuvre : un système amovible, les aligneurs (gouttières amovibles) et un système fixe, le multi-attaches. Cette revue de littérature vise à comparer les effets iatrogènes de ces différents systèmes d’un point de vue dentaire et parodontale. Les articles retenus ont été répartis en trois catégories d’effets iatrogènes :les résorptions radiculaires, les modifications du microbiote intrabuccal et leurs conséquences sur la santé bucco-dentaire et les inconforts divers. Les points suivants ont été observés. Les gouttières ne provoquent pas plus de résorptions radiculaires que les multi-attaches et pourraient s’avérer même moins iatrogènes à ce niveau. Le microbiote subit des modifications quel que soit le système orthodontique. Cependant ces modifications et leurs conséquences sur la santé dento-parodontale sont plus limitées en cas de traitement par amovible. Enfin, les inconforts provoqués sont perçus de façon équivalente. Il a également été noté que la littérature actuelle présente une limite, tant en terme qualitatif que quantitatif, concernant les effets iatrogènes des systèmes orthodontiques.
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Chirurgie dentaire
/ 06-01-2022
Lemoine Victor
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Parmi les thérapeutiques orthodontiques actuelles, deux systèmes sont principalement mis en œuvre : un système amovible, les aligneurs (gouttières amovibles) et un système fixe, le multi-attaches. Cette revue de littérature vise à comparer les effets iatrogènes de ces différents systèmes d’un point de vue dentaire et parodontale. Les articles retenus ont été répartis en trois catégories d’effets iatrogènes :les résorptions radiculaires, les modifications du microbiote intrabuccal et leurs conséquences sur la santé bucco-dentaire et les inconforts divers. Les points suivants ont été observés. Les gouttières ne provoquent pas plus de résorptions radiculaires que les multi-attaches et pourraient s’avérer même moins iatrogènes à ce niveau. Le microbiote subit des modifications quel que soit le système orthodontique. Cependant ces modifications et leurs conséquences sur la santé dento-parodontale sont plus limitées en cas de traitement par amovible. Enfin, les inconforts provoqués sont perçus de façon équivalente. Il a également été noté que la littérature actuelle présente une limite, tant en terme qualitatif que quantitatif, concernant les effets iatrogènes des systèmes orthodontiques.
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