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Chirurgie dentaire
/ 06-01-2021
Carmouët Marie
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Un volume suffisant de tissus mous péri-implantaires est nécessaire pour la pérennité des implants dentaires ainsi que pour la conservation de la santé gingivale. Cette revue de la littérature porte sur la comparaison entre les matrices collagéniques xénogènes et les greffes de tissu conjonctif autogènes. Les matrices collagéniques permettent une augmentation de l’épaisseur et du volume des tissus mous péri-implantaires ainsi qu’une une stabilité dans le temps comparables à celles permises par les greffes conjonctives enfouies. La technique chirurgicale de greffon conjonctif ou de matrice enfouis sous un lambeau ne permet pas d’augmenter la hauteur de tissu kératinisée. Les matrices collagéniques se révèlent être des substituts sûrs et efficaces pour l’augmentation des tissus mous péri-implantaires.
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Chirurgie dentaire
/ 06-01-2021
de Boisboissel Isaure
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Un volume suffisant de tissus mous péri-implantaires est nécessaire pour la pérennité des implants dentaires ainsi que pour la conservation de la santé gingivale. Cette revue de la littérature porte sur la comparaison entre les matrices collagéniques xénogènes et les greffes de tissu conjonctif autogènes. Les matrices collagéniques permettent une augmentation de l’épaisseur et du volume des tissus mous péri-implantaires ainsi qu’une une stabilité dans le temps comparables à celles permises par les greffes conjonctives enfouies. La technique chirurgicale de greffon conjonctif ou de matrice enfouis sous un lambeau ne permet pas d’augmenter la hauteur de tissu kératinisée. Les matrices collagéniques se révèlent être des substituts sûrs et efficaces pour l’augmentation des tissus mous péri-implantaires.
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Chirurgie dentaire
/ 07-01-2021
Delourmel Justine
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La maladie de Parkinson, deuxième affection neurodégénérative la plus répandue, se caractérise par la perte irréversible des neurones dopaminergiques et amène des symptômes à la fois moteurs et non moteurs. Une enquête par interview téléphoniques s’appuyant sur un questionnaire a été menée dans les cabinets libéraux de la périphérie rennaise et a permis de recueillir les expériences de 35 chirurgiens-dentistes ayant réalisé des soins dentaires chez des patients parkinsoniens. Le manque d’information des chirurgiens-dentistes sur cette pathologie ainsi que la symptomatologie motrice des patients parkinsoniens se sont montrés être les obstacles principaux à la prise en charge dentaire. Les témoignages des chirurgiens-dentistes interrogés ont relevé leur perception d’un déficit d’hygiène et d’une altération de l’état bucco-dentaire supérieure à la population générale. Un bon suivi bucco-dentaire de ces patients apparaît pourtant capital, à la fois dans le maintien d’une bonne santé orale mais aussi dans la prévention de complications liées à la maladie et à un état bucco-dentaire dégradé. Il constitue un enjeu majeur de santé publique et la collaboration interprofessionnelle (neurologue / médecin généraliste / pharmacien / nutritionniste / chirurgien-dentiste) doit se placer au cœur de la prise en charge.
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Psychiatrie
/ 08-01-2021
Desquiens Margot
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L’apathie chez la personne âgée est associée à des symptômes thymiques sévères, des troubles neurocognitifs multiples, elle augmente le risque de conversion démentielle et le taux de mortalité. Son évaluation est à ce jour non consensuelle. L’actimétrie est un outil prometteur d’évaluation de l’activité motrice utilisable chez le sujet âgé. Nous avons examiné les données d’accélérométrie diurnes de 12 patients âgés apathiques et non apathiques grâce à l’analyse en composante principales fonctionnelles et recherché les corrélations entre les composantes retrouvées et l’apathie. Nos résultats montrent qu'il semble exister une association entre la fPC2 portant sur l’activité matinale et les scores d’AES et de MADRS. Ces résultats mettent en évidence une composante d’actimétrie montrant un déficit important d’activité en matinée et une activité motrice augmentée en soirée qui semble être associée à la sévérité de l’apathie et de la dépression.
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Pharmacie
/ 12-01-2021
Ropert Alexandre
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L’objectif de cette thèse est de mieux cerner les acquis des sportifs en matière de conduites dopantes et de dopage (médicaments, compléments alimentaires, procédures…). Cela a été rendu possible grâce aux réponses de cent trente et un sportifs de tout niveau à un questionnaire composé de dix questions. Ensuite, il est effectué un état des lieux de ce qui est fait et ce qui pourrait être fait afin de sensibiliser les sportifs et les encadrants.
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Chirurgie dentaire
/ 12-01-2021
Kerorgant Victor
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Objectif : L’insuffisance de croissance sagittale de la mandibule engendre une diminution du calibre des voies aérifères supérieures. Notre étude souhaite comparer l’évolution de la dimension des voies aérifères supérieures après traitement orthopédique par activateur monobloc ou bielles de Herbst. Matériel et Méthodes : Nous avons réalisé une étude céphalométrique rétrospective au CHU de Rennes de 2013 à 2019. Les patients inclus avaient un diagnostic de classe II, et étaient traités par bielles de Herbst ou par activateur monobloc. Ils devaient avoir eu des téléradiographies de profil de bonne qualité, faire preuve de coopération, et avoir porté leur appareil pendant au moins 6 mois. Le critère de jugement principal était la mesure de la McNamara’s Upper Pharynx Dimension. Résultats : 65 patients ont été inclus : 43 dans le groupe « bielles de Herbst », et 23 dans le groupe « activateur monobloc ». Les échantillons étaient comparables en genre et concernant leurs stades de maturation vertébrale. Le résultat sur le critère de jugement principal montrait une évolution significative de 0,96 1,64 mm dans le groupe « bielles de Herbst », et une évolution significative de 1,13 2,43 mm dans le groupe « activateur monobloc ». La comparaison de l’évolution de ces deux appareils ne montrait pas de différence significative (p = 0,734). Les résultats sur les critères de jugement secondaires montraient notamment une réduction du surplomb plus importante dans le groupe « bielles de Herbst » que dans le groupe « activateur monobloc » (p = 0,038). Les autres critères de jugement secondaires étaient non-significatifs. Conclusion : Cette étude ne montre pas de différence entre l’utilisation de bielles de Herbst ou d’activateur monobloc concernant l’influence sur la dimension des voies aérifères supérieures.
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Médecine Générale
/ 12-01-2021
Delalande Emilie
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Le taux de mortalité par suicide chez les agriculteurs est supérieur à toutes les catégories socio professionnelles actives. Leur dépense en santé ambulatoire est la plus faible et le recours en médecine générale pour souffrance psychologique serait rare. Ce paradoxe trouve peu d’explications dans la littérature. OBJECTIF : Explorer les connaissances et les ressentis des agriculteurs sur l’accompagnement en cas de risque suicidaire. MÉTHODE : Entre décembre 2018 et mars 2020, une recherche qualitative par entretiens individuels semi-directifs a été conduite auprès d’un échantillon d’éleveurs bovins en Ille-et-Vilaine, recrutés par vagues successives, en variation maximale. L’analyse a été réalisée en double codage par théorisation ancrée. RÉSULTATS : 26 entretiens ont été réalisés. Beaucoup d’agriculteurs en cas de difficulté préfèreraient ne pas consulter, prendre sur eux et ne pas compter sur les aides extérieures. Certains agriculteurs en informeraient leurs proches. Le recours au médecin généraliste n’était pas unanime et dépendait de la relation médecin-patient préexistante. Ils avaient peu de connaissances sur les dispositifs existants dont ceux de la MSA.
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Médecine générale
/ 12-01-2021
Priour Anne
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Introduction : Les agriculteurs constituent une catégorie socio-professionnelle bien différenciée, avec des inégalités en santé. Le taux de mortalité par suicide chez les agriculteurs est supérieur à toutes les catégories socio-professionnelles actives. Objectif : Explorer les connaissances et les ressentis des agriculteurs sur le suicide. Méthode : Entre décembre 2018 et mars 2020, une recherche qualitative par entretiens individuels semi-directifs a été conduite auprès d’un échantillon d’éleveurs bovins en Ille et Vilaine. Ils ont été recrutés par vagues successives, en variation maximale. L’analyse a été réalisée en double codage par théorisation ancrée. Résultats : 26 entretiens ont été réalisés. De nombreux agriculteurs interrogés comprenaient qu’on puisse se suicider et ne se sentaient pas à l’abri. Ils avaient une très bonne connaissance des signes de crise suicidaire, notamment comme témoins de crise suicidaire d’un proche. Ils ont souffert du manque de reconnaissance, de l’intrication vie privée-vie professionnelle, du suicide d’un proche, des évolutions de leur métier.
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Médecine
/ 12-01-2021
Marlière Bastien
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Introduction : Les médecins généralistes Français portent un intérêt croissant à un outil pour le moment assez peu présent dans les cabinets : l’échographie. Cette étude a eu pour objet d’évaluer chez les médecins généralistes bretons qui pratiquent l’échographie, la confiance qu’ils placent au doppler veineux des membres inférieurs, s’ils le réalisent en cas de suspicion de thrombose veineuse profonde. Méthode : Un questionnaire en ligne a été envoyé par l’intermédiaire des 4 conseils départementaux bretons de l’ordre des médecins, ainsi qu’aux diplômés du DU d’échographie de la Faculté de Brest. Les critères d’inclusion étaient d’être médecin généraliste breton et de pratiquer régulièrement mais non exclusivement l’échographie. Résultats : 52 réponses complètes ont été recueillies, 40 ont pu être incluses. 21 médecins réalisent habituellement l’échographie doppler des membres inférieurs mais adressent ensuite la plupart du temps à l’angiologue, 14 la réalisent sans contrôle demandé au spécialiste et enfin, 5 ne réalisent pas ce type d‘échographie. Le test de Khi2 montre une différence statistiquement significative (p=0,04) ; par ailleurs, il n’a pas été mis en évidence de corrélation franche entre un recours éventuel au spécialiste et les données sociodémographiques ainsi que la formation initiale en échographie des participants. Le recours aux examens complémentaires ne semble pas non plus être modifié dans l’un des trois groupes. Conclusion : Cet important recours au spécialiste est un reflet du manque de confiance des médecins généralistes dans leurs échographies. La formation et la pratique devraient solutionner cela à l’avenir, on ne peut qu’encourager les médecins généralistes à persévérer pour mieux se former, dont la Bretagne pourrait devenir un centre de formation privilégié en France.
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Anesthésie-Réanimation
/ 15-01-2021
Alsabbagh Emissia
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Les chirurgies complexes du rachis sont pourvoyeuses d’importantes douleurs en période post- opératoire. Une prise en charge adaptée de cette douleur est corrélée avec la réduction des délais de déambulation et de sortie d’hospitalisation. Notre objectif était d’évaluer la littérature existante à ce sujet et de développer des recommandations concernant la prise en charge optimale de la douleur après chirurgie complexe du rachis. Une revue systématique de la littérature a été entreprise selon la méthodologie PROSPECT (PROcedure-SPECific postoperative pain managemenT). Les essais randomisés contrôlés et les revues systématiques publiés en anglais entre janvier 2008 et avril 2020, évaluant la douleur post-opératoire après chirurgie complexe du rachis et ayant pour objet une intervention chirurgicale, analgésique ou anesthésique, ont été identifiés via les bases de données MEDLINE, EMBASE et Cochrane. Parmi les 111 études éligibles, 31 essais randomisés contrôlés et 4 revues systématiques réunissaient les critères d’inclusion. Les interventions pré- et per-opératoires améliorant la douleur post-opératoire sont le paracétamol, les inhibiteurs de cyclo-oxygénase (COX)-2 ou les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS), la kétamine par voie intraveineuse et les techniques d’anesthésie loco-régionale telles que l’analgésie péridurale utilisant des anesthésiques locaux, avec ou sans morphiniques. Les preuves sont limitées concernant l’infiltration de cicatrice, les opioïdes seuls par voie intrathécale ou péridurale, le bloc des érecteurs du rachis, le bloc thoraco- lombaire, la lidocaine intraveineuse, la dexmedétomidine et la gabapentine. L’analgésie après chirurgie complexe du rachis devrait donc comprendre le paracétamol pré- ou per-opératoire, des inhibiteurs de COX-2 ou des AINS, ainsi que des morphiniques utilisés comme analgésiques de secours. Les recommandations portent également sur l’utilisation de la kétamine per-opératoire et l’anesthésie péridurale au moyen d’anesthésiques locaux avec ou sans opioïdes. Bien que notre méthodologie montre des preuves en faveur de l’utilisation de la méthadone, celle-ci n’est pas recommandée car les données concernant sa sécurité sont limitées. D’autres études randomisées contrôlées sont donc nécessaires pour confirmer l’efficacité et la sécurité de ces antalgiques recommandés pour le traitement de la douleur après chirurgie complexe du rachis.
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