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Pharmacie
/ 23-09-2021
Adoum Anissa
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Les troubles musculosquelettiques (TMS) sont des pathologies multifactorielles à composante professionnelle. Leur prévalence chez les préparateurs en pharmacie hospitalière (PPH) dans les Unités de Reconstitution Centralisée des Cytotoxiques (URCC) est alarmante et constitue un véritable problème de santé publique. Depuis quelques années, les TMS font l’objet de nombreuses plaintes dans notre URCC, nous avons donc analysé cette problématique de TMS dans le but d’optimiser les conditions de travail des PPH et de sécuriser le maillon humain dans le circuit des cytotoxiques. Ce travail se décompose en 4 grandes parties. Une première partie rappelle des généralités sur les TMS et les enjeux de leur prévention au sein des URCC. Une deuxième partie porte sur la méthodologie de l’étude de prévalence et des facteurs de risques de survenue de TMS dans les URCC en France et DOM-TOM. La troisième partie présente la méthodologie de la mise en place de la démarche de prévention des TMS dans l’URCC de notre établissement. La quatrième partie rapporte les résultats de l’étude de prévalence et de notre démarche de prévention et développe quelques perspectives pour la faire évoluer.
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Chirurgie dentaire
/ 21-06-2021
Agricole Kilian
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L'objectif de notre étude est de mesurer l'impact qu'ont eu les aides mises en place pour pallier à 2 mois d'inactivité des cabinets dentaires de Bretagne lors du premier confinement en France. Pour cela un questionnaire a été diffusé par l'intermédiaire de l'URPS aux chirurgiens dentistes exerçant en Bretagne. L'étude a montré que les chirurgiens dentistes avaient réalisé un résultat moyen de - 33 239€ sur la période Mars-Octobre 2020 après paiement de leurs charges reportées par rapport à l’année précédente. Les aides financières reçues ont permis de compenser 41,63% du manque à gagner lié à 2 mois d’inactivité. L'étude a pu mettre en lumière une tendance :la reprise d’activité semble avoir été moins dure d’un point de vue financier pour les praticiens avec moins d’ancienneté. Les aides financières ont également eu un effet bénéfique sur le moral des chirurgiens dentistes bretons. A l’heure où nous rédigeons cet article la France entre dans son troisième confinement. L’impact réel qu’aura eu la COVID-19 sur les cabinets dentaires ne pourra être estimé qu’à la sortie définitive de cette pandémie.
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Chirurgie dentaire
/ 28-01-2021
Ahmed Affandi Nadia
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Le masque de réalité virtuelle est une technique de distraction mise au point dans le milieu dentaire au début de années 2000. Il permet de soigner avec sérénité des enfants anxieux lors des soins dentaires conventionnels. Une recherche a été réalisée sur PubMed entre 2005 et mars 2020. Un total de douze articles a été retenu pour analyse. Les soins dentaires réalisés avec le port du masque de réalité virtuelle chez les enfants montrent une diminution de l'anxiété, de la sensation douloureuse et une amélioration du comportement de l'enfant lors des soins. Le port du masque de réalité virtuelle diminue l'anxiété chez l'enfant lors des soins dentaires. Des études complémentaires sont toutefois indispensables pour confirmer ce résultat.
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Chirurgie dentaire
/ 09-07-2021
Alaterre Lou
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Introduction : En orthodontie, le nombre de patients adultes présentant des prothèses est en constante augmentation. Par conséquent, les collages de brackets sur de la céramique sont de plus en plus fréquents. L’objectif principal était de caractériser la rugosité de surface observée aux différentes étapes de collage et après dépose en torsion de brackets métalliques collés selon trois protocoles sur trois types de céramiques : disilicate de lithium stratifié (DSLS), disilicate de lithium pressé (DSLP), feldspathique stratifié (FS). L’objectif secondaire était de quantifier les valeurs d’adhérence aux différents types de céramiques. Matériels et méthodes : les 90 échantillons glacés ont été répartis en trois groupes selon le matériau. Tous les échantillons étaient sablés à l’oxyde d’aluminium 50 micromètres. Chaque groupe était divisé en sous-groupes selon la durée du mordançage à l’acide fluorhydrique 9% : 10s, 30s, 60s. Un bracket métallique était collé à l’aide du composite de collage Transbond XT. Un thermocyclage de 7000 cycles a été effectué. L’acquisition de l’état de surface était pratiquée à chaque étape clef du collage et après la dépose. Le bracket était déposé lors d’un test en torsion. L’analyse de variance (ANOVA), le test post hoc de Tukey ou de Dunn ont été utilisés. Résultats : le sablage altère l’état de surface de la céramique, la rugosité moyenne des échantillons DSLP, DSLS et FS était significativement différente. Le mordançage ne modifiait que faiblement l’état de surface. Un mordançage long (60s) assurait un état de surface moins rugueux que 30s. Pour autant, tous les échantillons collés avec un temps de mordançage supérieur à 30s présentaient des valeurs de cisaillement à la dépose au-delà de 7MPa, compatibles avec un traitement orthodontique.
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Anesthésie-Réanimation
/ 15-01-2021
Alsabbagh Emissia
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Les chirurgies complexes du rachis sont pourvoyeuses d’importantes douleurs en période post- opératoire. Une prise en charge adaptée de cette douleur est corrélée avec la réduction des délais de déambulation et de sortie d’hospitalisation. Notre objectif était d’évaluer la littérature existante à ce sujet et de développer des recommandations concernant la prise en charge optimale de la douleur après chirurgie complexe du rachis. Une revue systématique de la littérature a été entreprise selon la méthodologie PROSPECT (PROcedure-SPECific postoperative pain managemenT). Les essais randomisés contrôlés et les revues systématiques publiés en anglais entre janvier 2008 et avril 2020, évaluant la douleur post-opératoire après chirurgie complexe du rachis et ayant pour objet une intervention chirurgicale, analgésique ou anesthésique, ont été identifiés via les bases de données MEDLINE, EMBASE et Cochrane. Parmi les 111 études éligibles, 31 essais randomisés contrôlés et 4 revues systématiques réunissaient les critères d’inclusion. Les interventions pré- et per-opératoires améliorant la douleur post-opératoire sont le paracétamol, les inhibiteurs de cyclo-oxygénase (COX)-2 ou les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS), la kétamine par voie intraveineuse et les techniques d’anesthésie loco-régionale telles que l’analgésie péridurale utilisant des anesthésiques locaux, avec ou sans morphiniques. Les preuves sont limitées concernant l’infiltration de cicatrice, les opioïdes seuls par voie intrathécale ou péridurale, le bloc des érecteurs du rachis, le bloc thoraco- lombaire, la lidocaine intraveineuse, la dexmedétomidine et la gabapentine. L’analgésie après chirurgie complexe du rachis devrait donc comprendre le paracétamol pré- ou per-opératoire, des inhibiteurs de COX-2 ou des AINS, ainsi que des morphiniques utilisés comme analgésiques de secours. Les recommandations portent également sur l’utilisation de la kétamine per-opératoire et l’anesthésie péridurale au moyen d’anesthésiques locaux avec ou sans opioïdes. Bien que notre méthodologie montre des preuves en faveur de l’utilisation de la méthadone, celle-ci n’est pas recommandée car les données concernant sa sécurité sont limitées. D’autres études randomisées contrôlées sont donc nécessaires pour confirmer l’efficacité et la sécurité de ces antalgiques recommandés pour le traitement de la douleur après chirurgie complexe du rachis.
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Médecine générale
/ 09-11-2021
Alvarez Julie
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Introduction : En 2019, Handiaccès 35, un dispositif de consultations dédiées aux patients en situation de handicap complexe en Ille-et-Vilaine, a été inauguré au Pôle de Médecine Physique et de Réadaptation Saint-Hélier à Rennes. Depuis son lancement, plus d’une centaine de patients a pu en bénéficier. Quelles sont les représentations du handicap complexe des médecins généralistes et quelles sont leurs difficultés et besoins en pratique face à ces situations ? Quelle aide leur apporte Handiaccès 35 ? Méthode : Douze entretiens individuels semi-dirigés qualitatifs ont été conduits entre les mois de novembre 2020 et avril 2021, auprès d’un échantillon volontaire de médecins généralistes d’Ille-et-Vilaine, référencés comme médecins traitants d’au moins un patient passé par Handiaccès 35, entre les mois de septembre 2019 et septembre 2020. Résultats : Pour les participants, la complexité du handicap réside fréquemment dans l’association de plusieurs handicaps chez un même patient, dont souvent un handicap mental ou psychique, entrainant des difficultés dans sa prise en charge médicale et sociale en soins primaire et dans la coordination pluridisciplinaire des soins. Les difficultés évoquées se retrouvent dans tous les rôles et missions classiques du métier de médecin généraliste. Les participants reconnaissent unanimement l’intérêt d’Handiaccès 35 pour leurs patients, même s’ils concèdent majoritairement le méconnaître. Ils évoquent principalement trois pistes d’amélioration du dispositif, que sont le développement d’une communication plus ciblée auprès des médecins généralistes, l’ajout d’un volet social et la diversification des spécialités médicales proposées. Conclusion : Les médecins généralistes ont une place centrale dans le parcours de soins de leurs patients. Cependant, face aux situations de handicap complexe, les médecins interrogés se retrouvent parfois en échec de soins. Ils reconnaissent l’utilité de Handiaccès 35 dans ces situations, mais sont peu nombreux à le connaître et à l’utiliser. Cette étude permet à ses participants de mieux connaître et utiliser Handiaccès 35. Elle contribue également à le perfectionner, pour répondre aux attentes des généralistes dans la prise en charge de leurs patients en situation de handicap complexe.
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Médecine Générale
/ 16-12-2021
Ambard Anaëlle
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Contexte : Compte tenu de la baisse du nombre de gynécologues et du suivi non optimal des femmes, les médecins généralistes jouent un rôle important en gynécologie de premier recours. Pourtant, l’examen peut être vécu comme inconfortable notamment par les hommes. Cette difficulté apparaît dès le début de la formation en gynécologie. Objectifs : Nous nous intéressons donc au ressenti des internes masculins lors de l’examen gynécologique puis à leurs attentes sur leur formation en gynécologie. Matériel et méthode : Étude qualitative inspirée de la théorisation ancrée à visée phénoménologique. L’analyse a porté sur dix entretiens semi-directifs auprès d’internes de Rennes ayant fait leur stage de gynécologie et leur SASPAS. Résultats : Le ressenti résulte de l’intrication de leurs représentations et des connaissances théoriques et pratiques mises en application lors de la relation particulière avec la patiente. L’encadrement pédagogique joue un rôle important. Le vécu durant leur formation conditionnerait leur intention de pratiquer la gynécologie plus tard. Ils attendent une formation professionnalisante, basée sur des objectifs d’acquisition de compétence : le savoir-faire et le savoir-être à l’aide d’un encadrement adapté à chaque niveau de maîtrise. Conclusion : Le vécu de l’examen gynécologique par les étudiants masculins dépend de plusieurs facteurs et pourrait conditionner leur pratique future. Une formation adaptée à la pratique de la gynécologie en médecine générale est donc nécessaire.
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DIPLÔME D'ÉTAT DE DOCTEUR EN MEDECINE
/ 20-10-2021
Arkhis Safya
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Introduction. Les transplantés cardiaques constituent une population à risque de diverses infections opportunistes, dont la toxoplasmose, qui peut être acquise via le greffon transplanté ou résulter de la réactivation d’une infection ancienne. C’est pourquoi ces patients font l’objet d’une attention particulière, avec notamment le dépistage sérologique obligatoire en France, des donneurs et receveurs de greffon cardiaque. L’objectif de cette étude était d’analyser les différents facteurs pouvant expliquer la survenue d’une réactivation toxoplasmique ou d’une toxoplasmose acquise, par le biais d’une analyse multivariée, ainsi que la survie des receveurs en fonction de leur sérologie toxoplasmose préopératoire. Matériels et Méthodes. L’étude a porté sur la cohorte de transplantés cardiaques du CHU de Rennes entre 2010 et 2020. Les données cliniques et diagnostiques ont été extraites à partir de la base de données de l’Unité des Suivis de greffe cardiaque et du Système de gestion du Laboratoire de Parasitologie. Une régression logistique a été utilisée, pour identifier les différents facteurs de risque de réactivation ou de séroconversion toxoplasmique. L’analyse de survie a été menée par le biais d’une courbe de Kaplan Meier. Résultats. Parmi les 230 transplantés cardiaques sur la période 2010-2020, 197 patients ont été inclus et 33 patients décédés de façon précoce ont été exclus. Soixante-quatre % des receveurs inclus dans l’étude étaient séropositifs à T. gondii (n=126), contre 36% de receveurs séronégatifs à T. gondii (n=71). Au cours de la période d’étude, 17% des patients R-/D+ ont fait une séroconversion toxoplasmique (n=8), avec une médiane d’apparition de 22 mois (12, 64), et 11% des receveurs séropositifs ont fait une réactivation sérologique de la toxoplasmose (n=14), avec une médiane d’apparition de 9 mois (3, 98). Le délai de suivi minimum (transplantés de 2020) était de 10 mois. Aucune différence statistiquement significative n’a été observée, entre les patients avec séroconversion et sans séroconversion, chez les R-/D+ ; en ce qui concerne l’âge), le sexe, l’association de traitements immunosuppresseurs ou la survenue d’un rejet aigu. Par contre, chez les patients séropositifs, l’analyse multivariée a montré que les hommes étaient moins à risque de faire une réactivation sérologique que les femmes (M, OR=0.25 ; 95%CI [0.06-0.99] ; p=0.043). Durant la période de notre cohorte de 2010 à 2020, Il n’a pas été constaté de différence significative concernant la survie entre les receveurs séropositifs R+ et séronégatifs R- et entre les différents profils sérologiques des receveurs versus donneurs. Conclusion. Aucun facteur de risque de séroconversion n’a pu être démontré au cours de notre étude. Néanmoins, le sexe semble être un facteur de risque de réactivation toxoplasmique. Le statut sérologique préopératoire de toxoplasmose des receveurs et des donneurs n’affecte pas la survie des transplantés cardiaques.
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Chirurgie dentaire
/ 28-01-2021
Arnaud Marie-Pierre
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Introduction : L’ostéonécrose des maxillaires (ONM) constitue un évènement indésirable de l’exposition aux inhibiteurs de la résorption osseuse (IRO). Notre étude a pour but d’évaluer les connaissances des chirurgiens-dentistes français concernant les IROs, leurs indications, les facteurs de risque de l’ONM et de déterminer leurs attitudes de prise en charge face aux patients concernés par ces thérapeutiques. Matériels et Méthode : Nous avons réalisé une étude transversale via un questionnaire anonyme. 358 chirurgiens-dentistes ont participé à cette enquête. Nous avons réalisé une analyse statistique descriptive. Les proportions ont été comparées par test de Z. L’indépendance des variables comparées a été testée par test χ2. L’association des variables a été considérée comme significative lorsque la p-valeur<0,05. Le niveau de connaissance des praticiens a été déterminé en attribuant un score en fonction des réponses au questionnaire. Les scores ont été comparés en fonction de différents paramètres (sexe, âge, année d’obtention du diplôme en chirurgie dentaire, zone géographique d’exercice) par test non paramétrique de Mann-Whitney en considérant les différences observées comme significatives lorsque p-valeur<0,05. Résultats : Notre étude met en évidence des lacunes concernant les connaissances des chirurgiens-dentistes français sur la thématique. Si 84 % des praticiens recherchent via le questionnaire médical une prise ou un antécédent de prise d’IRO, nous notons tout de même des contradictions : moins de la moitié des praticiens reconnaissent les noms commerciaux des molécules ainsi que leurs indications, 51 % des participants ne savent pas que les IROs sont indiqués dans le traitement des métastases osseuses. Par ailleurs, 50 % des praticiens ne savent pas qu’une ONM peut être spontanée, les facteurs de risque tels que les médications concomitantes aux IROs (corticostéroïde, anti-angiogénique, thérapies ciblées) sont peu connus et seuls 43,2% des praticiens identifient la pose/le port de prothèse amovible comme une facteur de risque local d’ONM. Nous n’observons aucune influence du sexe du praticien et de la zone géographique d’exercice sur le niveau de connaissance. En revanche, les praticiens âgés de moins de 30 ans et les praticiens diplômés depuis moins de 10 ans ont obtenu un score significativement plus élevé, soulignant ainsi que la principale source d’informations sur le sujet reste le cursus universitaire. Conclusion : Il existe un consensus dans littérature quant au manque de connaissances des chirurgiens-dentistes sur les IROs, le risque d’ONM et les mesures prophylactiques à mettre en place chez les patients concernés par ces thérapeutiques. Les résultats de notre enquête vont dans ce sens et soulignent la nécessité de renforcer la formation initiale et continue.
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Chirurgie dentaire
/ 06-10-2021
Audoin Louise
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La santé bucco-dentaire doit être prise en compte dès le plus jeune âge. Cette étude à pour but de décrire la patientèle suivie dans l’unité fonctionnelle (UF) d’Odontologie pédiatrique du Centre de Soins Dentaire de Rennes (CSD), d’évaluer les habitudes de l’enfant en matière de brossage et d’alimentation et de décrire sa situation. Ces données seront comparées avec les données relevées en 2014 dans le service d’Odontologie de l’hôpital Charles Foix à Ivry sur Seine. Cette étude vise également à évaluer la prise en charge de l’enfant au CSD. Des questionnaires ont été mis à disposition des externes dans les UF d’Odontologie Pédiatrique et d’Accueil Urgence. Ces questionnaires concernent les patients qui viennent pour la première fois au CSD. Les enfants seront revus à 3 mois et un autre questionnaire sera alors rempli. 181 patients ont été inclus dans l’étude avec 181 questionnaires de première consultation remplis. Grâce à ses données, des résultats intéressants ont pu être mis en lumière. Tout d’abord, il est important de noter que la catégorie socioprofessionnelle de la mère et la présence ou absence de carie chez l’enfant sont des variables dépendantes. Un enfant vivant chez sa mère seule présente en moyenne, dans notre échantillon, plus de caries qu’un enfant vivant chez ses deux parents. L’aide au brossage par les parents n’influe pas sur la diminution du nombre de caries. De plus, les enfants ayant une bonne expérience chez le dentiste ont statistiquement moins de caries que ceux ayant un mauvais souvenir du dentiste. Les motifs de consultations et leur proportion sont les mêmes à Rennes et à Ivry sur Seine. L’évaluation du suivi n’a pu être réalisée car trop peu de questionnaires à 3 mois ont été remplis. Ainsi, le cadre de vie de l'enfant a un impact sur sa santé bucco-dentaire. De plus, il faut accentuer l’apprentissage du brossage de l’enfant par les parents également pour que leur aide soit un réel bénéfice. Concernant le suivi sur le long terme de l’enfant, il est plus réalisé à Ivry sur Seine qu’à Rennes
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