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Médecine générale
/ 18-02-2021
Prévalet-Corridor Clémence
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Introduction : Ces dernières années, on note une vraie dynamique de la population de fumeurs à vouloir arrêter le tabac. Le recours à l’acupuncture est de plus en plus populaire auprès des patients. L’objectif de cette étude est donc de connaitre les représentations que les patients ont de l’acupuncture, les raisons du choix de cette technique et le vécu de leur séance dans le cadre du sevrage tabagique. Matériel et méthodes : Etude qualitative avec réalisation d’entretiens semi- dirigés auprès de patients recrutés par le biais de deux cabinets de médecins généralistes acupuncteurs de la région rennaise. Résultats : 14 entretiens semi-dirigés ont été réalisés. Le choix de se tourner vers l’acupuncture reposait surtout sur la volonté de ne pas avoir recours à la médecine allopathique notamment aux TNS mais aussi parce qu’ils avaient eu de cette technique un écho positif. Les entretiens ont mis en évidence le manque de connaissances des patients sur le fonctionnement de l’acupuncture. L’acupuncture est considérée soit comme une médecine à part entière au même titre que la médecine conventionnelle soit comme une médecine alternative. Le vécu de la séance est, pour la plupart, positif, qu’ils aient ou non arrêté de fumer par la suite. Leur vision actuelle de l’acupuncture est également plutôt positive mais faite de divers questionnements sur l’impact exact de l’acupuncture sur leur sevrage tabagique. Conclusion : L’expérience de l’acupuncture chez les patients est globalement positive. Les patients y voient une technique qui apporte d’autres possibilités pour se soigner en complément. La recherche d’une technique efficace pour arrêter le tabac est souvent le plus important. Un des axes de réflexion est la place des médecins généralistes dans le lien entre les patients et l’acupuncture et la nécessité de formation de ceux-ci pour leur permettre un meilleur aiguillage des patients dans leur parcours de soins.
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Medecine
/ 18-02-2021
Lelandais Antoine
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Introduction : La prise en charge chirurgicale de la fracture de l’extrémité supérieure du fémur (FESH) est l’intervention la plus fréquente chez la personne âgée. Ses conséquences sont dramatiques en termes de morbi-mortalité. Nous avons évalué l’impact d’une mise en place d’une Unité d’Ortho-Gériatrie chez ces patients au CHU de Rennes. Méthodes et résultats : En novembre 2019, est créé au CHU de Rennes une Unité d’Ortho-Gériatrie (UOG) comprenant 10 lits dont la prise en charge médicale est assurée par un gériatre. Nous avons comparé les données des patients de plus de 75 ans opérés d’une fracture du col du fémur durant les 6 mois précédents (cohorte Orthopédique) aux 6 premiers mois après l’ouverture du service (cohorte Ortho-Gériatrique). Nous avons inclus 81 patients dans la cohorte Orthopédique et 50 patients dans celle d’Ortho-Gériatrie. Le score ASA était similaire dans les 2 groupes (2,6 ± 0,6 vs 2,6 ± 0,5 ; p=0,5023). Il n’a pas été observé de différence significative concernant : la durée moyenne de séjour (9,3 ± 4,0 vs 11,2 ± 6,1 jours ; p=0,0687), la mortalité intra-hospitalière et la mortalité à 6 mois (23,5% vs 30,0% ; p=0,4066). La prise d’anticoagulant était un facteur indépendant de décès à 6 mois [HR 2,51 / IC 95% (1,26 ; 4,98) ; p=0,0086]. Chez les patients vivant à domicile au moment de la fracture du col du fémur, le taux d’institutionnalisation à 6 mois était plus faible dans le groupe ortho-gériatrique [2 (9,5%) vs 12 (36,4%) ; p=0,0282]. L’hospitalisation en UOG apparaissait ainsi comme un facteur protecteur indépendant de nouvelle institutionnalisation [OR 0,04 / IC 95% (0,00 ; 0,54) ; p=0,0149]. Conclusion : L’hospitalisation en Unité d’Ortho-Gériatrie a diminué le risque d’admission dans un Établissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes chez les patients qui vivaient à domicile lors de leur FESH.
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Physique moléculaire
/ 18-02-2021
Grira Asma
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Les composés organiques volatils oxygénés (COVO), principalement émis par des sources biogènes, jouent un rôle majeur dans la chimie de l'atmosphère, le changement climatique, l'environnement et la santé. Il a été récemment démontré que ces émissions augmentent en cas de stress biotique et/ou abiotique. Les COVO biogéniques peuvent subir une variété de réactions, tant chimiques que photolytiques, et ils sont impliqués dans la formation d'Aérosols Organiques Secondaires (AOS). Ces composés ont été détectés dans diverses régions, mais il y a très peu d’informations sur leurs processus de dégradation sous conditions troposphériques. La compréhension des mécanismes d'oxydation de ces espèces est d'un intérêt fondamental et fournit des données cruciales pour les modèles atmosphériques qui sont utilisés par les responsables politiques pour formuler et décider des stratégies d'amélioration de la qualité de l'air. Cette thèse vise à améliorer les connaissances actuelles sur le comportement de ces COVO, pour une meilleure compréhension de leur impact sur la chimie atmosphérique. Dans ce travail, nous avons présenté une étude détaillée de la dégradation atmosphérique des aldéhydes insaturés en C5-C7 et des alcools insaturés en C5-C8 par ozone, l’atome Cl et le radical OH. Les principaux objectifs étaient de mieux comprendre le mécanisme de réaction et de mettre en évidence leur potentiel à former des AOS. Pour atteindre ces objectifs, nous nous sommes concentrés sur quatres volets : (i) détermination du spectre IR et UV des aldéhydes insaturés en C5-C7, (ii) détermination de la constante de vitesse pour les systèmes COVO + Oxydant étudiés à température ambiante, (iii) identification et quantification des produits en phase gazeuse, (iv) détermination des rendements en AOS. Les études sur les produits ont été menées avec et sans ajout d'un piégeur des radicaux OH. Les expériences ont été réalisées dans huit réacteurs différents, statiques (chambres) ou dynamiques (flux), et diverses techniques analytiques ont été utilisées pour étudier les produits de réaction (FTIR, GC-FID/MS, SPME-GC/MS, HPLC, PTR-ToF-MS, SIFT-MS, PLP-LIF) et la formation de SOA (SMPS, FMPS).
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Ophtalmologie
/ 17-02-2021
Rodriguez Thomas
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Introduction : L’endophtalmie est une inflammation intra-oculaire secondaire à une infection dont le pronostic visuel est sévère. L’objectif principal de cette étude est d’évaluer, sur une période de 5 ans, la prise en charge des patients atteints d’endophtalmies aiguës exogènes au centre hospitalier universitaire de Rennes. Matériel et méthodes : Nous avons réalisé une étude descriptive, monocentrique, rétrospective, portant sur l’analyse de la prise en charge des endophtalmies aiguës exogènes des patients hospitalisés au CHU de Rennes entre mai 2015 et avril 2020. Résultats : 72 endophtalmies exogènes aiguës ont été incluses chez 72 patients. L’étiologie post-opératoire est la plus fréquente représentant 44.4% des endophtalmies. Un germe est identifié chez 29.2% des patients. Une antibiothérapie systémique est prescrite chez 91.7% des patients. Les injections intravitréennes sont utilisées dans 100% des cas. La vitrectomie en urgence est réalisée dans seulement 6.9% des endophtalmies. Une acuité visuelle initiale basse et une endophtalmie par contiguïté sont les 2 facteurs pronostics indépendants de mauvaise acuité visuelle finale. Discussion : Au regard de la littérature, plusieurs adaptations ont été faites dans la prise en charge des endophtalmies exogènes aiguës de notre service. La prescription d’une antibiothérapie systémique n’est plus systématique. Les corticoïdes ne sont plus utilisés dans les injections intravitréennes. A l’avenir des améliorations devront être apportées pour améliorer notre rendement dans l’identification du germe en cause. La place de la vitrectomie en urgence reste à définir.
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Photonique
/ 17-02-2021
Slim Joseph
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Bien que l’avantage principal des communications optiques est de permettre la transmission des capacités élevées en multiplexant les longueurs d’onde, le traitement des données, par exemple en vue de régénération ou de routage, doit être effectué dans le domaine électrique, nécessitant ainsi des conversions optique-électrique-optique. Cependant, certaines fonctions de traitement pourraient être effectuées plus efficacement directement dans le domaine optique, ce qui est connu par le traitement de signal tout-optique. Comme des nouvelles techniques exploitant la dimension spatiale dans les fibres multimodes ont été proposées afin d'augmenter la capacité de transmission, une meilleure compréhension des effets non linéaires associés aux interactions multimodes est donc souhaitable. Cette thèse visait à explorer le traitement du signal tout-optique dans le multiplexage modal. En particulier, l'objectif était de démontrer comment les effets non linéaires dans les fibres multimodes pouvaient être utilisés pour manipuler les propriétés des signaux, de manière indépendante ou dépendante du mode. Deux types de fibres ont été conçus. La première permet de réaliser certaines fonctions de traitement de signal tout-optique pour tous les modes de la fibre individuellement et simultanément, en utilisant l'effet non linéaire mélange à quatre ondes intramodal. La deuxième fibre a été conçue de manière à réaliser du traitement de signal tout-optique entre différents modes de la fibre, en utilisant le mélange à quatre ondes intermodal.
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Médecine générale
/ 12-02-2021
Nédélec Perrine
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Contexte : La difficulté d’accès aux soins primaires est un problème majeur de santé publique de ces dernières années, en France comme dans de nombreux pays. Selon un rapport réalisé par la DREES en 2008, si aucune mesure n’était prise pour lutter contre ces disparités territoriales, le nombre de médecins généralistes en France diminuerait de 20% dans les espaces ruraux entre 2006 et 2030. Les différentes aides mises en place ne semblent pas efficaces. Objectif : Cette étude a pour objectif de mettre en évidence un profil de médecin généraliste qui serait plus à même d’aller s’installer en zone rurale. L’hypothèse principale est que le lieu de résidence en milieu rural durant l’enfance du médecin aurait un impact sur le fait de s’y installer plus tard. Les hypothèses secondaires sont que les parcours personnels, familiaux, universitaires et professionnels influencent également ce choix. Méthode : Étude cas-témoin analytique et observationnelle, par envois de questionnaires en ligne et de courriers postaux adressés aux médecins généralistes installés en Bretagne ayant un exercice libéral. Résultats : Il a été obtenu 341 réponses : 146 des médecins ruraux et 195 des médecins urbains. Le lieu de résidence pendant la scolarité primaire et secondaire était le critère de jugement principal. Les résultats montrent une différence significative avec un OR de 2,35 (p=0,032). Des critères de jugement secondaire sont également significatifs en analyse univariée : le lieu de domicile actuel, le lieu de résidence à la fin de l’internat, le lieu de résidence dans l’enfance du conjoint ou sa commune d’exercice, le fait d’avoir réalisé au moins un stage de médecine générale en milieu rural durant l’externat et le fait d’avoir réalisé un remplacement supérieur à trois mois en zone rurale. Conclusion : Cette étude permet de mettre en évidence qu’il existe un profil particulier de médecin généraliste exerçant en zone rurale en Bretagne, tant sur le plan personnel que professionnel. Parmi les déterminants retrouvés, certains pourraient être la cible de nouvelles politiques de santé publique : utiliser l’origine rurale des étudiants à l’entrée des études de médecine, obliger la réalisation d’un stage en milieu rural durant le cursus universitaire et favoriser les remplacements dans ces zones.
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Médecine générale
/ 12-02-2021
Beviere Laurélie
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Contexte : La difficulté d’accès aux soins primaires est un problème majeur de santé publique de ces dernières années, en France comme dans de nombreux pays. Selon un rapport réalisé par la DREES en 2008, si aucune mesure n’était prise pour lutter contre ces disparités territoriales, le nombre de médecins généralistes en France diminuerait de 20% dans les espaces ruraux entre 2006 et 2030. Les différentes aides mises en place ne semblent pas efficaces. Objectif : Cette étude a pour objectif de mettre en évidence un profil de médecin généraliste qui serait plus à même d’aller s’installer en zone rurale. L’hypothèse principale est que le lieu de résidence en milieu rural durant l’enfance du médecin aurait un impact sur le fait de s’y installer plus tard. Les hypothèses secondaires sont que les parcours personnels, familiaux, universitaires et professionnels influencent également ce choix. Méthode : Étude cas-témoin analytique et observationnelle, par envois de questionnaires en ligne et de courriers postaux adressés aux médecins généralistes installés en Bretagne ayant un exercice libéral. Résultats : Il a été obtenu 341 réponses : 146 des médecins ruraux et 195 des médecins urbains. Le lieu de résidence pendant la scolarité primaire et secondaire était le critère de jugement principal. Les résultats montrent une différence significative avec un OR de 2,35 (p=0,032). Des critères de jugement secondaire sont également significatifs en analyse univariée : le lieu de domicile actuel, le lieu de résidence à la fin de l’internat, le lieu de résidence dans l’enfance du conjoint ou sa commune d’exercice, le fait d’avoir réalisé au moins un stage de médecine générale en milieu rural durant l’externat et le fait d’avoir réalisé un remplacement supérieur à trois mois en zone rurale. Conclusion : Cette étude permet de mettre en évidence qu’il existe un profil particulier de médecin généraliste exerçant en zone rurale en Bretagne, tant sur le plan personnel que professionnel. Parmi les déterminants retrouvés, certains pourraient être la cible de nouvelles politiques de santé publique : utiliser l’origine rurale des étudiants à l’entrée des études de médecine, obliger la réalisation d’un stage en milieu rural durant le cursus universitaire et favoriser les remplacements dans ces zones.
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Médecine générale
/ 11-02-2021
Conchis Louise
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Contexte: Suite au développement des AAD du VHC, l’OMS vise l’éradication du virus de l’hépatite C en 2030. En France, pour permettre un accès à ces traitements au plus grand nombre, leur prescription est autorisée aux médecins généralistes depuis mars 2019 dans le cadre du parcours simplifié. Objectif : déterminer la proportion des médecins généralistes d’Ille-et-Vilaine acceptant de se former à la prescription du traitement antiviral de l’hépatite C dans le cadre du parcours simplifié. Méthode: Etude quantitative descriptive, réalisée par auto-questionnaire en ligne auprès des médecins généralistes d’Ille-et-Vilaine. 117 réponses ont été analysées. Résultat: Les médecins généralistes suivent en moyenne 2,3 patients atteints du VHC. 67,5% (n=79/117) des médecins interrogés n’étaient pas au courant de l’ouverture de la prescription des antiviraux du VHC aux médecins généralistes. Aucun des participants n’avait prescrit ce traitement. Seulement 32,5% (n=38/117) des médecins étaient intéressés pour l’intégrer à leur pratique. Cependant, la majorité des médecins 86% (n=101/117) acceptaient d’assister à une formation. Discussion: Les principaux obstacles, relevés par les médecins généralistes, dans la mise en place du parcours simplifié, étaient leur inexpérience et la faible prévalence du VHC dans leur patientèle. L’interprétation des examens quantifiant la fibrose hépatique était également un frein. Conclusion: Une plus large communication auprès des médecins généralistes sur l’ouverture de la prescription des AAD semble nécessaire. Une formation sur les traitements et sur les mesures non invasives de la fibrose hépatique est attendue par les médecins généralistes.
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médecine générale
/ 11-02-2021
Gautreault Aurore
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Objectifs : Explorer le ressenti de généralistes quant à leur gestion des situations complexes. Secondairement recueillir les ressources mobilisées et les éventuels besoins d’aide à la réflexion éthique. Méthodes : Étude qualitative basée sur 20 entretiens semi-dirigés, réalisés auprès de généralistes installés dans le territoire de santé 4. Résultats : Face à des situations complexes, leur ressenti était souvent ambivalent, certains évoquaient une discussion enrichissante si l’on savait se faire confiance, mais d’autres les redoutaient, se culpabilisant et doutant de leurs compétences. Même s’ils s’appuyaient sur l’entourage du patient ou leurs collègues, ils se sentaient souvent isolés et en manque de formation dans le domaine. Discussion : Le ressenti des participants et les situations complexes étaient cohérents avec la littérature actuelle. L’étude suggère qu’on pourrait optimiser la formation. Il serait également intéressant d’étudier l’impact d’une structure type Hotline éthique.
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Cancérologie
/ 10-02-2021
Ouzaid Idir
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Résumé : Objectif : L’objectif de cette étude était d’explorer les facteurs biologiques prédictifs de la progression après néphrectomie pour carcinome des cellules rénales (CCR) à haut risque non métastatique en utilisant les tumeurs collectées des patients inclus en France dans l'essai randomisé S-TRAC (NCT00375674). Patients et méthodes : Nous avons analysé les tumeurs de la cohorte française du STRAC qui comprenait 44 cas de CCR qui ont été recueillis dans six centres. l'objectif principal était d'explorer les facteurs biologiques prédictifs de la progression (définis comme SSP) au sunitinib. L'analyse à large spectre, y compris l'immunohistochimie, la fluorescence in situ d'hybridation (FISH), d'hybridation génomique comparative (CGH) et de transcriptomique des analyses ont été effectuées sur les tumeurs. Résultats : L'analyse de la densité vasculaire a montré un stroma vasculaire de type 1 correspondant à une densité vasculaire élevée a été associée à une progression (p < 0,034). La perte de poly bromo-1 a montré un profil distinct : une tumeur agressive hautement avec un profil angiogénique marqué (surexpression du facteur de croissance endothélial vasculaire et stroma vasculaire immature de type 2), pas d'expression PD1 ou PDL1, et statut de type sauvage (WT)du gène VHL. Il y avait 27 régions chromosomiques gagnées chez les patients présentant une progression (sur les chromosomes 7 et 16, et dans une moindre mesure 8, 12, 17, 19, 20 correspondant à 605 gènes associés) et 10 régions perdues chez ces mêmes patients sur les chromosomes 8 et 9, et dans une moindre mesure 2 et 21 correspondant à 25 gènes associés. Conclusion : Nous avons constaté qu'un phénotype angiogénique défini par une forte densité vasculaire avec un stroma vasculaire de type 2 était un facteur prédictif de la résistance au sunitinib. Quel que soit le traitement reçu (sunitinib ou placebo) les gains et de pertes chromosomiques et d'altérations génomiques, y compris la perte de PBRM1 étaient associées à un plus mauvais pronostic.
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