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Chirurgie dentaire
/ 06-01-2020
Brisorgueil Chloé
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Aujourd’hui, face aux charges de fonctionnement du cabinet dentaire, au prix du matériel qui ne cesse d’augmenter et à une technicité de la dentisterie moderne en plein essor, une réorganisation structurale du cabinet dentaire s’impose afin de mettre en commun des capacités diagnostiques et financières pour assurer une meilleure prise en charge du patient. En tant qu’étudiants en dernière année d’odontologie et donc futurs gestionnaires de cabinet, il nous a paru opportun de nous interroger sur la manière dont les chirurgiens-dentistes déjà installés organisent leur vie professionnelle. A l’aide d’un questionnaire, nous avons donc cherché à recueillir les détails sur le mode d’exercice de tous les chirurgiens-dentistes inscrits au tableau de l’Ordre d’Ille et Vilaine pour en faire ressortir la tendance actuelle en 2019. Ce travail a mis en évidence le fait que les jeunes chirurgiens-dentistes récemment diplômés s’orientent vers un exercice de groupe, principalement en zone urbaine en tant que collaborateur libéral soumis au régime réglementé des BNC. Puis, après quelques années de collaboration, ils intègrent en tant qu’associés des cabinets organisés en SCM. En effet, celles-ci restent le premier choix d’association actuellement grâce à sa facilité de mise en place et ses nombreux avantages. Les SELARL, quant à elles, pâtissent de nombreux obstacles notamment celui d’un formalisme rébarbatif. Néanmoins des praticiens plutôt jeunes s’orientent vers ce choix d’exercice de groupe leur permettant une meilleure gestion de leurs cotisations et une visibilité à long terme.
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Chirurgie dentaire
/ 06-01-2020
Benzakour Ali
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Aujourd’hui, face aux charges de fonctionnement du cabinet dentaire, au prix du matériel qui ne cesse d’augmenter et à une technicité de la dentisterie moderne en plein essor, une réorganisation structurale du cabinet dentaire s’impose afin de mettre en commun des capacités diagnostiques et financières pour assurer une meilleure prise en charge du patient. En tant qu’étudiants en dernière année d’odontologie et donc futurs gestionnaires de cabinet, il nous a paru opportun de nous interroger sur la manière dont les chirurgiens-dentistes déjà installés organisent leur vie professionnelle. A l’aide d’un questionnaire, nous avons donc cherché à recueillir les détails sur le mode d’exercice de tous les chirurgiens-dentistes inscrits au tableau de l’Ordre d’Ille et Vilaine pour en faire ressortir la tendance actuelle en 2019. Ce travail a mis en évidence le fait que les jeunes chirurgiens-dentistes récemment diplômés s’orientent vers un exercice de groupe, principalement en zone urbaine en tant que collaborateur libéral soumis au régime réglementé des BNC. Puis, après quelques années de collaboration, ils intègrent en tant qu’associés des cabinets organisés en SCM. En effet, celles-ci restent le premier choix d’association actuellement grâce à sa facilité de mise en place et ses nombreux avantages. Les SELARL, quant à elles, pâtissent de nombreux obstacles notamment celui d’un formalisme rébarbatif. Néanmoins des praticiens plutôt jeunes s’orientent vers ce choix d’exercice de groupe leur permettant une meilleure gestion de leurs cotisations et une visibilité à long terme.
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Ophtalmologie
/ 06-01-2020
Marchand Marie-Alexia
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OBJECTIF: Evaluer la répercussion de l’état nutritionnel du donneur sur la qualité cellulaire endothéliale du greffon cornéen au moyen de paramètres facilement accessibles dans le dossier médical. MATERIEL ET METHODE: Inclusion des cornées prélevées du 1er janvier 2017 au 1er août 2019 aux CHU de Rennes et Rouen. Réalisation de test T pour les paramètres poids, taille, IMC, durée du séjour, albuminémie, pré-albuminémie et protidémie. Après sélection des variables ayant un P value < 0,2, réalisation d’une régression logistique binaire. RESULTATS: 240 patients ont été inclus. L’âge, la durée du séjour, l’IMC et la protidémie ont présenté un p<0,20 au test de student. Après ajustement des variables, seul l’âge était significativement associé à la variation de densité cellulaire (OR=0,97(0,94-0,99) p<0,05). CONCLUSION: Dans notre étude, l’état nutritionnel n’a pas influencé la qualité du greffon cornéen. Cependant, l’albuminémie corrigée et la variation de poids n’ont pas pu être analysées.
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