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Chirurgie dentaire
/ 07-03-2019
Chesneau Erwan
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La réhabilitation esthétique d’un sourire est un objectif thérapeutique parfois complexe à atteindre. En effet, de nombreux critères esthétiques, objectifs et subjectifs, doivent être respectés. Des facteurs généraux sont également à prendre en compte comme l’âge, le sexe et la personnalité afin d’obtenir un sourire adapté au patient. Le logiciel VisagiSmile utilise le principe du visagisme afin de réaliser un sourire qui s’harmonise non seulement avec l’apparence physique mais aussi avec la personnalité grâce à l’analyse du visage et à un questionnaire évaluant le tempérament du patient. Le logiciel propose ainsi un « smile design » qui serait adapté au tempérament du patient. L’objectif de cette thèse est de comprendre comment la personnalité peut être intégrée, ou non, dans l’esthétique du sourire grâce à l’utilisation de ce logiciel.
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Médecine générale
/ 07-03-2019
Michel Bénédicte
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Introduction : Les médecins généralistes et autres spécialistes sont amenés à collaborer ensemble dans la prise en charge du patient. Objectif : Comprendre comment sont perçus les médecins généralistes par leurs confrères. Méthode : Étude qualitative à partir d’entretiens semi-dirigés réalisés auprès de médecins spécialistes portant sur leurs représentations des généralistes. Résultats : Les 11 spécialistes interrogés avaient une bonne image des médecins généralistes avec qui ils travaillaient et une certaine admiration pour l’étendue des connaissances à avoir dans cette profession. Ils décrivaient de bonnes relations avec les généralistes et notamment avec ceux des jeunes générations ayant passé l’internat et s’appuyant sur les recommandations de bonne pratique. Enfin, les spécialistes souhaitaient développer la collaboration et s’investir davantage dans la formation des généralistes. Conclusion : Les médecins généralistes renvoient une image positive à leurs confrères spécialistes, et ce d’autant plus depuis l’avènement de la spécialité de médecine générale.
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Médecine générale
/ 07-03-2019
Decroi Laurie
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Contexte. Les écrans sont de plus en plus présents dans le quotidien des jeunes enfants. Les risques sur leur santé, leur comportement et développement liés à une utilisation massive sont connus. Les assistantes maternelles sont le deuxième mode de garde des enfants de moins de 3 ans après les parents. Objectif. L’objectif de l’étude était d’explorer les représentations et utilisations des écrans par les assistantes maternelles dans le cadre de leur activité. Méthode. Une étude qualitative par entretiens semi-dirigés a été réalisée auprès de 12 assistantes maternelles agréées en Ille-et-Vilaine entre mars et septembre 2018. Le recrutement a été effectué par mail ou téléphone sur la base du volontariat principalement via des associations d’assistantes maternelles. Les entretiens ont été analysés par plusieurs chercheurs selon le principe de la théorie ancrée. Résultats La majorité des assistantes maternelles interrogées critiquait l’exposition des enfants aux écrans bien qu’elles les utilisent parfois dans leur activité. Elles déclaraient connaitre les recommandations délivrées par le conseil départemental. Elles étaient sensibilisées à l’existence de risques liés aux écrans mais sans en connaitre les réels impacts. Elles avaient peu de difficultés à gérer les écrans dans le cadre de leur travail. Elles l’expliquaient par des règles strictes, mises en application dès le premier accueil de l’enfant et une disponibilité pour d’autres activités. L’utilisation des écrans n’était cependant abordée avec les parents que lors de l’entretien initial à l’accueil de l’enfant. Des freins à cette discussion étaient évoqués. Conclusion. Les assistantes maternelles s’intéressent au problème posé par les écrans. Une information plus simple et concrète lors de leurs formations pourrait améliorer leurs connaissances des impacts chez l’enfant. Encourager le dialogue entre parents et professionnels de la petite enfance autour des écrans et développer des outils de communication semble indispensable dans l’intérêt de l’enfant.
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Pédiatrie
/ 07-03-2019
Cousin Elie
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L'hyperplasie ganglionnaire angiofolliculaire ou maladie de Castleman (MC) dans sa forme pédiatrique est une pathologie peu fréquente et mal comprise du ganglion lymphatique. Les atteintes rénales associées à la MC ont déjà été rapportées chez l'adulte mais n'ont jamais été décrites précisément chez l'enfant. Nous rapportons quatre cas français d'enfants avec polyadénopathie, organomégalie, anasarque, hypertension artérielle et insuffisance rénale aiguë évoquant une MC dans sa forme multicentrique (MCM) avec atteinte rénale. Pour tous les cas, l'étude anatomo-pathologique des biopsies rénales montrait une microangiopathie thrombotique diffuse (MAT) et le diagnostic de MCM était confirmé par l’examen histologique d'une adénopathie. Le traitement par corticothérapie et/ou rituximab a été rapidement efficace et a permis une amélioration rapide de la fonction rénale sans rechute à ce jour dans tous les cas. Les objectifs de ce travail étaient de décrire les lésions rénales associées à la maladie de Castleman et de déterminer après étude bibliographique, une conduite thérapeutique.
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Informatique
/ 06-03-2019
Kenmogne Fokam Ide Flore
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Dans cette thèse, on cherche à caractériser un domaine de pose pour la localisation de drones, en utilisant des méthodes ensemblistes par intervalles. Cette caractérisation a pour but de quantifier l'incertitude de localisation. En absence ou défaillance du GPS, en milieux contraints et intérieurs, une alternative est d'utiliser la caméra. Les mesures dans l'image et celles provenant des capteurs du drone ainsi que les paramètres des modèles sont très souvent entachés d'erreurs. Les méthodes classiques d'estimation de fournir une estimation ponctuelle de la pose (position et orientation) du drone, en modélisant les erreurs par leur distribution de probabilité. Toutefois, il est parfois difficile, voire impossible, de décrire précisément les lois de probabilité de ces perturbations. Dans le cadre ensembliste, on peut représenter ces erreurs par des intervalles. L'utilisation de l'analyse par intervalles permet de propager de manière garantie les incertitudes, même en présence de données aberrantes. Ces travaux proposent une méthode de localisation ensembliste par intervalles basée sur l'observation d'amers géoréférencés ; l'élimination de quantificateur pour la prise en compte des incertitudes sur les positions des amers ; et une méthode pour résoudre le problème de localisation coopérative ensembliste. Chacune d'elles a été testée en simulation et sur des données réelles acquises dans un environnement intérieur, rendant possible leurs comparaisons aux méthodes classiques existantes.
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Médecine Générale
/ 05-03-2019
Roger Samuel
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Introduction. Les thérapies ciblées (TC) prennent une place croissante dans le traitement des cancers. L’accompagnement des patients par des infirmières cliniciennes (IC) doit leur permettre de mieux prendre en charge en ambulatoire les effets indésirables (EI) rencontrés sous TC. L’objectif était de décrire la gestion ambulatoire des EI sous TC par les patients. Patients et méthodes. Etude prospective pendant 12 mois, proposée à tous les patients débutant une TC en 2017–2018 dans un centre de lutte contre le cancer (CLCC). Un auto-questionnaire 2 mois après l’inclusion était complété par les patients. En cas de survenue d’EI le patient indiquait le professionnel de santé contacté en premier recours et cotait le grade d’EI, comparé à la cotation par l’IC. Analyses descriptives et comparatives. Résultats. Sur 247 patients éligibles 144 questionnaires complets ont été analysés dont 46,6% de traitement par palbociclib. Les EI les plus fréquents étaient l’asthénie, l’anorexie et la dyspnée. La cotation des grades d’EI par les patients était plus élevée que par l’IC (p<0,001). En cas d’EI les patients contactaient le CLCC (35,5% l’IC et 14,9% l’oncologue), 15,6% contactaient leur médecin traitant. 20% des patients ne communiquait leur EI à aucun professionnel de santé. Conclusion. Les échelles actuelles de recueil des EI par les IC sous-estiment le ressenti des patients. Les patients se tournent peu vers les professionnels de premiers recours en cas d’EI. Une meilleure connaissance de la gestion ambulatoire des EI par les patients permettrait une meilleure efficience dans le parcours de soins.
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Diplôme d'état de docteur en médecine
/ 05-03-2019
Blanchard Adeline
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Dans la maison de santé pluriprofessionnelle (MSP) de Questembert, une équipe de cinq professionnels de santé (PDS) (médecin, pharmacienne, diététicienne, infirmière, sophrologue) propose un programme d’éducation thérapeutique du patient (ETP). La réalisation d’un programme d’ETP nécessite une collaboration forte entre les différents membres de l’équipe. L’objectif principal de cette étude était d’explorer les représentations des patients sur la collaboration interprofessionnelle (CIP) développée par une équipe de professionnels d’une MSP dans le cadre d’un programme d’ETP collectif ambulatoire. Une étude qualitative a été menée par entretiens individuels auprès d’usagers de la MSP ayant participé à un programme d’ETP collectif. Une analyse thématique a été menée selon une perspective de théorisation ancrée. Douze entretiens semi-directifs ont été réalisés auprès de seize patients. Les patients reconnaissaient des pratiques collaboratives au sein de leur équipe formatrice. Ce travail collectif était valorisé et perçu comme moderne. Les notions de complémentarité entre les professionnels et de facilité de communication étaient particulièrement soulignées. Devant le constat d’une formation de qualité, la confiance était accordée à l’ensemble de l’équipe et le partage des informations médicales était accepté. Les patients découvraient une proximité relationnelle avec les PDS, notamment avec leurs médecins. Le caractère pluriprofessionnel de la formation permettait une sensibilisation à différentes dimensions du soin et la création d’un réseau de soin, sécurisant les patients. L’accès aux soins semblait alors facilité par la reconnaissance d’un plus grand nombre d’acteurs du réseau de soins primaires local. La CIP exprimée au travers d’un programme d’ETP en soins primaires semble modifier en profondeur les représentations du patient vis-à-vis du système de santé local en permettant une meilleure identification de l’équipe, une meilleure communication avec elle et une meilleure autonomie du patient dans son parcours de santé.
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Médecine Générale
/ 05-03-2019
Capelle Valérian
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La stratégie de détection précoce du cancer de la prostate (CaP) fait l’objet de controverses. L’objectif de ce travail était d’étudier l’évolution en France du primo-dosage du PSA dans le cadre du dépistage du CaP, chez les hommes de 50 à 52 ans sur la période 2011-2017. Une étude rétrospective a été menée à partir de l’Échantillon Généraliste de Bénéficiaires. Les années 2011, 2014 et 2017 ont été ciblées pour identifier les hommes de 50 à 52 ans, sans CaP connu ni dosage de PSA dans les 5 ans avant chaque année d’analyse. En 2011, 2014 et 2017, respectivement, 5275, 5792 et 5887 hommes ont été identifiés. En 2011, 829 hommes (15,7%) ont eu un primo-dosage de PSA, 766 (13,2%) en 2014 (p<0,001) et 731 (12,4%) en 2017 (p=0,19), soit une diminution significative du primo-dosage entre 2011 et 2017 (p<0,001). Cette analyse de l’EGB montre une diminution statistiquement significative du primo-dosage du PSA en France pour le dépistage du CaP chez les hommes de 50-52 ans entre 2011 et 2017.
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Informatique
/ 04-03-2019
Palisse Aurélien
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La thèse s'intéresse aux logiciels de rançon, présente une plateforme d'analyse automatique et propose des contre-mesures. Nos contre-mesures sont conçues pour être temps réel et déployées sur une machine, c'est-à-dire ''End-Hosts''. En 2013 les logiciels de rançon font de nouveau parler d'eux, pour finalement devenir une des menaces les plus sérieuses à partir de 2015. Un état de l'art détaillé des contre-mesures existantes est fourni. On peut ainsi situer les contributions de cette thèse par rapport à la littérature. Nous présentons également une plateforme d'analyse automatique de logiciels malveillants composée de machines nues. L'objectif est de ne pas altérer le comportement des échantillons analysés. Une première contre-mesure basée sur l'utilisation d'une librairie cryptographique par les logiciels de rançon est proposée. Celle-ci peut être facilement contournée. Nous proposons donc une seconde contre-mesure générique et agnostique. Cette fois, des indicateurs de compromission sont utilisés pour analyser le comportement des processus sur le système de fichiers. Nous détaillons comment de manière empirique nous avons paramétré cette contre-mesure pour la rendre~: utilisable et efficace. Un des challenges de cette thèse étant de faire concilier performance, taux de détection et un faible taux de faux positifs. Enfin, les résultats d'une expérience utilisateur sont présentés. Cette expérience analyse le comportement des utilisateurs face à une menace. En dernière partie, nous proposons des améliorations à nos contributions mais aussi des pistes à explorer.
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Médecine Générale
/ 01-03-2019
Buet Manuel
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Introduction : La consultation de non contre-indication à la pratique sportive permet de réaliser du dépistage et de la prévention. Malgré ça plus de 1000 sportifs décèdent d’une mort subite tous les ans devant témoins dans des enceintes sportives. Nous voulions évaluer la faisabilité et l’acceptabilité d’un conseil minimal aux gestes qui sauvent (GMGQS) chez les patients consultant pour l’obtention d’un certificat de sport en médecine générale. Méthode : Nous avons recruté 49 médecins volontaires pour cette étude exploratoire utilisant une méthode mixte. Cela lors d’une opération évènementielle « SAVTEMBER » durant le mois de septembre 2018. Deux rendez-vous ont été effectués auprès des médecins, avant et après le recrutement des patients. Durant un mois, ces médecins ont sensibilisé tous les patients aux gestes qui sauvent lors de la consultation du certificat de sport. Ces derniers étaient ensuite classés en trois catégories selon leurs réponses. Des entretiens qualitatifs ont été réalisés avec les médecins après l’intervention. Les patients ont été recontactés trois mois plus tard pour mesurer l’impact de l’intervention. Les sports ont été regroupés en fonction de leur intensité en MET. Résultats : Environ 95% des patients consultant pour un certificat de sport ont bénéficié d’un conseil minimal soit 929 patients. Parmi eux 56% des patients se déclaraient déjà formés, 7% n’étaient pas intéressés, et 37% ont reçu un flyer de sensibilisation. Trois quarts des patients pratiquaient un sport à MET intense. Tous les médecins ont jugé cette intervention faisable et acceptable lors de cette consultation spécifique. L’intervention durait moins de trois minutes pour 80% des médecins. Les retours des patients étaient positifs.
4,1% des patients ayant reçu un flyer se sont formés aux gestes qui sauvent dans les 3 mois suivant l’intervention. Conclusion : L’évaluation du conseil minimal aux gestes qui sauvent doit maintenant passer par une étude prospective. La coordination des différents acteurs (média, médecins, associations) permettrait probablement de sensibiliser efficacement la population.
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