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Medecine
/ 23-11-2018
Crampet Charlotte
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Introduction : Les progrès anesthésiques et chirurgicaux autorisent la réalisation d’arthroplasties totales de hanche en ambulatoire. L’objectif de cette étude est d’en montrer la faisabilité dans une population sélectionnée par comparaison à un groupe en hospitalisation traditionnelle en analysant la durée d’hospitalisation cumulée, les complications et les ré-hospitalisations. Matériel et méthode : Il s'agit d'une étude rétrospective, mono-opérateur, continue menée entre octobre 2016 et mai 2018, incluant des prothèses totales de hanche (PTH) de première intention implantées chez des patients majeurs dont l’état de santé et le niveau de compréhension permettaient aussi bien la prise en charge en ambulatoire qu’en hospitalisation. Deux groupes ont été constitués. Les patients ambulatoires bénéficiaient d’une séance d’éducation thérapeutique pré-opératoire. Le protocole d’anesthésie et la technique chirurgicale étaient identiques dans les deux groupes. Résultats : Cinquante patients ambulatoires ont été comparés à 77 patients hospitalisés. Dans le groupe ambulatoire les patients étaient significativement plus jeunes, avaient un périmètre de marche plus important et le sexe masculin prédominait. Les groupes étaient comparables sur des critères médicaux et fonctionnels. La durée moyenne d’hospitalisation cumulée était de 1,2 jours dans le groupe ambulatoire avec un échec de sortie pour nausées et vomissements, contre 5,1 jours dans le groupe hospitalisation (p<0,0001). On relevait 3 complications dans chaque groupe (p=1,00). Il y a eu 3 ré-hospitalisations dans le groupe ambulatoire et 4 dans le groupe hospitalisation (p=1,00) pour des durées de séjour comparables (p = 0,86). Le nombre moyen de consultations sur cette période ne différait pas entre les 2 groupes. Conclusion et discussion : La pose de PTH en ambulatoire peut être réalisée de façon fiable et sûre en France chez une population rigoureusement sélectionnée sans augmentation des taux de complications ou de ré-hospitalisations. Le développement de cette activité implique la mise en place de protocoles anesthésiques, chirurgicaux et d’un accompagnement péri-opératoire rigoureux permettant une meilleure gestion du risque.
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Neurologie
/ 22-11-2018
Vallée Claire
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Objectifs : La survenue d’un syndrome dépressif chez les patients souffrant d’épilepsie est deux fois plus fréquente qu'au sein de la population générale. Cette étude avait pour objectif d’évaluer l’épidémiologie et les facteurs associés à cette comorbidité parmi les patients du centre d’épileptologie de Rennes. Méthodes et Résultats : Les sujets ont été inclus prospectivement et de manière consécutive dans l’étude. Les informations concernant le statut socio-économique, les caractéristiques de l’épilepsie, l’autoévaluation par échelles validées de dépression (NDDI-E), anxiété (GAD-7) et qualité de vie (QOLIE-10) étaient recueillies. 322 patients ont été reçus dans le service entre le 17 juin et le 9 septembre 2016, parmi lesquels 223 ont été inclus dans l’étude. Un syndrome dépressif était retrouvé chez 22,6% des patients selon le NDDI-E. Parmi les patients du groupe déprimés, 82% ne prenaient pas de traitement antidépresseur. En analyse multivariée, les facteurs significativement associés au syndrome dépressif étaient la présence de troubles anxieux (OR : 8.86 [3.00 ; 26.19] p=0.0001), d’idéations suicidaires (OR : 7.43 [2.93 ; 18.81] p<0.0001), le traitement par benzodiazépines anticonvulsivantes (OR : 3.31 [1.16 ; 9.49] p=0.0255), la qualité de vie moindre (1.09 [1.02 ; 1.17] p=0.0087). Le type d’épilepsie généralisée était un facteur protecteur (OR : 0.34 [0.11 ; 1.00] p=0.0492). Conclusions : Cette étude montre que plus de 20% des patients souffrant d’épilepsie suivis à Rennes durant la période d’inclusion présentaient un syndrome dépressif selon le NDDI-E et que parmi eux, moins d’un patient sur cinq semblait avoir une prise en charge psychiatrique associée.
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Chirurgie dentaire
/ 22-11-2018
Quere Alexia
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Avec 300 000 nouveaux cas recensés par an dans le Monde et un taux de survie de seulement 40 % à 5 ans, les cancers oraux sont, encore aujourd’hui, pris en charge trop tardivement. Afin d’en améliorer la détection précoce nous avons donc convenu de proposer un protocole d’examen standardisé simple, rapide, non invasif et à faible coût. Un poster rassemblant les principales informations a ensuite été réalisé afin de faciliter l’apprentissage auprès des étudiants en chirurgie dentaire. Une synthèse de données à été réalisée à partir de 20 documents issus de la littérature. Aucun matériel spécifique n’est nécessaire en dehors de celui présent dans un cabinet d’omnipratique classique. Le protocole comprend l’examen visuel exo-buccal, l’examen endo-buccal (inspection visuelle et palpation) et la palpation des aires ganglionnaires cervico-faciales. L’ensemble des structures anatomiques de la cavité buccale est ainsi observable. Il n’existe à l’heure actuelle aucune méthode permettant de faire cliniquement la différence entre les lésions bénignes, malignes ou potentiellement malignes. Ce protocole vise principalement à encourager l’inspection complète des muqueuses afin d’orienter précocement les patients concernés vers un spécialiste.
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Chirurgie dentaire
/ 22-11-2018
Pansart Charly
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Avec 300 000 nouveaux cas recensés par an dans le Monde et un taux de survie de seulement 40 % à 5 ans, les cancers oraux sont, encore aujourd’hui, pris en charge trop tardivement. Afin d’en améliorer la détection précoce nous avons donc convenu de proposer un protocole d’examen standardisé simple, rapide, non invasif et à faible coût. Un poster rassemblant les principales informations a ensuite été réalisé afin de faciliter l’apprentissage auprès des étudiants en chirurgie dentaire. Une synthèse de données à été réalisée à partir de 20 documents issus de la littérature. Aucun matériel spécifique n’est nécessaire en dehors de celui présent dans un cabinet d’omnipratique classique. Le protocole comprend l’examen visuel exo-buccal, l’examen endo-buccal (inspection visuelle et palpation) et la palpation des aires ganglionnaires cervico-faciales. L’ensemble des structures anatomiques de la cavité buccale est ainsi observable. Il n’existe à l’heure actuelle aucune méthode permettant de faire cliniquement la différence entre les lésions bénignes, malignes ou potentiellement malignes. Ce protocole vise principalement à encourager l’inspection complète des muqueuses afin d’orienter précocement les patients concernés vers un spécialiste.
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Chirurgie dentaire
/ 21-11-2018
Vannson Léa
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L’orthodontie pré-prothétique est préconisée chez les patients ne présentant pas des espaces inter et intra-arcades favorables au traitement implantaire. Cependant, la difficulté liée à la gestion de l’ancrage orthodontique, déficient voire absent en cas d’édentements, peut être contournée par l’utilisation de l’implant comme ancrage absolu. Celui-ci assure donc un rôle mixte d’ancrage et de pilier prothétique. Son utilisation nécessite au préalable des examens complémentaires. Le projet prothétique établi lors d’une concertation pluridisciplinaire doit confirmer la pertinence de cette séquence thérapeutique chez le patient et guider les praticiens lors de la réalisation de celle-ci.
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Medecine Générale
/ 20-11-2018
Chevrier Charly
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Contexte : L’apprentissage en médecine générale est basé sur six compétences génériques transversales. Les Unités d’Accueil et de Soins pour personnes Sourdes (UASS) n’étant pas accessibles à tous les patients Sourds, le médecin généraliste non signant reste le premier accès aux soins primaires. Il existe une frustration et une carence en soins de la population Sourde malgré la satisfaction des médecins généralistes sur les soins délivrés, reflétant une problématique de santé. Objectif : Déterminer comment améliorer les compétences des internes de médecine générale à la problématique de la consultation avec le patient Sourd. Méthode : Méthode qualitative par entretiens semi-dirigés auprès de médecins généralistes signants exerçant en UASS et/ou en cabinet de médecine générale libéral et d’intermédiateurs sourds. Résultats : Dix neufs entretiens ont été réalisés au sein de six UASS et d’un cabinet libéral en 2017. Le patient Sourd « expert linguistique » représente une autre approche de la surdité. Il offre l’occasion de réaliser des mises en situation, de prendre conscience des limites des moyens de communications et de s’initier au langage visuo-gestuel. Présenter les missions des UASS est indispensable. Conclusion : Une formation des médecins généralistes aux besoins spécifiques des personnes sourdes en matière d’accès aux soins semble indispensable. La collaboration avec le public Sourd est essentielle pour ce type de formation.
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Pharmacie
/ 19-11-2018
Le Neindre Killian
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E. faecium est un pathogène majeur multi-résistant impliqué dans les infections liées aux soins. Récemment, les premiers petits ARN ont été découverts chez E. faecium. Les petits ARN sont considérés comme des acteurs clés dans l’adaptation bactérienne. L’un d’entre eux, srn0030, est associé génomiquement au gène de résistance aux tétracyclines : tet(M). Les premières caractérisations structurelles de srn0030 sont donc ainsi décrites. Le lien entre srn0030 et la tétracycline est également démontré mais nécessite de plus ample approfondissement. De plus, srn0030 semble avoir une caractéristique à confirmer ultérieurement qui est la capacité d’auto-catalyse étant à ce jour unique pour un petit ARN bactérien. L’étude des ARN régulateurs est primordiale pour permettre à terme d’élucider les mécanismes d’adaptation et de résistance bactérienne.
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Pharmacie
/ 16-11-2018
Le Daré Brendan
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La consommation d'alcool est considérée comme la troisième cause de décès aux États-Unis. Cependant, en plus de sa toxicité directe, l’éthanol possède deux effets distincts sur le système immunitaire : il inhibe l’inflammasome NLRP3 lors d’une courte exposition tandis qu’une exposition prolongée active cet inflammasome. L’inflammasome NLRP3 est un complexe de l’immunité innée, permettant la sécrétion de cytokines pro-inflammatoires tels que l’Interleukine 1β et l’interleukine 18, en réponse à des motifs de pathogènes ou des signaux de danger. Les récepteurs purinergiques (notamment le récepteur P2X7) sont des récepteurs aux nucléotides extracellulaires, pouvant activer l'inflammasome NLRP3 et sont impliqués dans de nombreuses maladies liées à l'éthanol (telles que la goutte, la fibrose pulmonaire, la stéatohépatite alcoolique et certains cancers). Dans ce contexte, notre équipe a émis l’hypothèse que l’éthanol pouvait réguler les récepteurs purinergiques et moduler ainsi l’activité de l’inflammasome NLRP3. Dans des expériences sur des macrophages dérivés de monocytes humains, nous avons constaté que la sécrétion d'interleukine 1β était inhibée après 7 heures d'exposition (mais pas 48 heures d'exposition) à l'éthanol. La disparition de l'effet inhibiteur de l'éthanol sur la sécrétion d'IL-1β après 48 h n'était pas médiée par une augmentation de la production des interleukines (IL-1α, IL-6 et IL-1β) ou des composants de l’inflammasome (protéine NLRP3, ASC et Caspase 1). Par ailleurs, l’éthanol induisait l’expression protéique du récepteur P2X7. Les résultats des expériences suggèrent que l'éthanol induirait l'activation de l'inflammasome NLRP3 en régulant positivement le récepteur P2X7. Cette observation pourrait représenter un nouveau mécanisme d'inflammation dans les maladies liées à l'éthanol, et positionnerait ainsi les récepteurs purinergiques comme nouvelle cible des médicaments anti-inflammatoires dans ces pathologies.
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Pharmacie
/ 16-11-2018
Artault Marion
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L ́industrie du médicament est un secteur tiraillé entre science, profit et éthique. De par le nombre de concurrents sur le marché, l’arrivée des génériques et la baisse des prix qui s’en suit, les entreprises pharmaceutiques n’ont pas d’autres choix que de justifier l’intérêt d’achat de leurs produits aux prix onéreux. Si l ́on prend l ́exemple de Plerixafor, médicament indiqué pour la mobilisation des cellules souches hématopoïétiques dans le sang périphérique avant leur collecte en vue d ́une autogreffe chez les patients atteints de lymphome non Hodgkinien et de myélome multiple, sa problématique est qu ́en dépit de sa haute performance et de son efficacité il est perçu comme onéreux et d ́acquisition difficile et souffre également de son absence sur le marché public. Si on regarde les ventes en détail on peut noter que seulement 20% d ́entre-elles se font sur le marché public or 70% des transplantations de moelle osseuse se font dans les hôpitaux publics. Afin de contrer ceci, Sanofi a décidé d ́effectuer une étude de coût efficacité pour prouver que Plerixafor peut être une stratégie efficiente pour les hôpitaux. Cependant la création de valeur autour de Plerixafor pourrait être plus importante. En effet, son entrée dans le marché public est une opportunité à évaluer sérieusement. La création de nouveaux partenariats innovants ou encore la mise en place d ́une stratégie d ́offre globale associée au produit sont également des actions qui seraient intéressantes à mettre en place. L’enjeu est donc de réussir à créer de la valeur à son produit afin de convaincre les différents acteurs de l’intérêt de l’achat du produit, mais il est également primordial de garder en tête la propre rentabilité de son produit. Pour dominer un marché il ne faut pas se contenter de vendre un produit, il faut être un véritable acteur dans le système de santé et être au plus proche des personnes clés que sont les médecins et les patients. Le but est de se positionner comme un partenaire quotidien de santé.
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Pharmacie
/ 16-11-2018
L'Amoulen Soazig
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Les médecines alternatives et complémentaires intéressent de plus en plus les français qui se tournent vers des traitements plus doux et plus naturels ainsi que vers des prises en charge plus globales. Le fruit de Phyllanthus emblica L. entre dans la composition de nombreuses préparations de la médecine ayurvédique et ses bienfaits commencent à s’exporter dans le monde occidental. En effet, il est dorénavant autorisé à entrer dans la composition des compléments alimentaires français. Etant encore méconnu en France, ce travail a pour but de dresser l’état des lieux des connaissances sur ce fruit pour favoriser sa bonne utilisation. De nombreuses études, dont des études cliniques, ont été menées et démontrent à ce fruit des qualités en tant qu’antioxydant, anti-inflammatoire, hépatoprotecteur ou encore protecteur face au cancer.
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