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Pédiatrie
/ 07-12-2018
De Pracontal Béatrice
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Le paludisme d’importation est en hausse sur la dernière décennie en France. Selon le centre national de référence, le délai diagnostique reste élevé avec une médiane de 3 jours mais les données spécifiques et récentes restent rares en pédiatrie. L’objectif de notre étude était d’évaluer le délai diagnostique entre les premiers symptômes et la réalisation du diagnostic par frottis sanguin goutte épaisse des patients de moins de 18 ans présentant un paludisme d’importation dans 3 centres hospitaliers universitaires français à Nantes, Rennes et Brest et de rendre compte de la part patient et de la part médecin dans ce délai ainsi que la fréquence du retard diagnostique, défini par un délai total supérieur à un jour. Les objectifs secondaires étaient d’évaluer le délai thérapeutique, l’association entre sévérité et délai diagnostique ainsi que les déterminants généraux du délai médian. Etude épidémiologique, observationnelle, descriptive, multicentrique et rétrospective sur 4 ans de janvier 2014 à décembre 2017. Tous les patients de moins de 18 ans présentant un diagnostic parasitologique de paludisme d’importation à Plasmodium falciparum ont été inclus. Le délai diagnostique médian du paludisme d’importation en pédiatrie était de 2,5 jours [Ecart interquartile -EIQ- 1 ; 5]. Le délai diagnostique patient médian était de 2 jours [EIQ 1 ; 4] et le délai diagnostique médecin médian de moins de 1 jour (0 jour [EIQ 0 ; 1]). Quatre-vingt-quinze pourcents de la population étudiée, soit 59 patients, étaient pris en charge avec un retard diagnostique. Les accès graves concernaient 18% (11/62) des patients. Le délai diagnostique médian total des patients hospitalisés en réanimation était de 6 jours [EIQ 5 ; 14] et de 2 jours [EIQ 1 ; 4] pour ceux hospitalisés dans les autres unités (p=0,02). Le délai diagnostique était significativement plus court lorsque la première consultation était hospitalière (p=0,04). Le délai diagnostique du paludisme d’importation dans notre étude restait long avec une médiane de 2,5 jours principalement du fait d’un délai de recours aux soins trop long. Ce délai était significativement associé à un risque plus élevé d’admission en réanimation. La réduction du délai passe par une meilleure information des familles et par une orientation systématique aux urgences des enfants fébriles en retour de voyage.
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Chirurgie dentaire
/ 06-12-2018
Fossati Clément
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Ce travail a pour but de relater, par une série de questions/réponses, les différents intérêts cliniques et ergonomiques des aides visuelles en odontologie. Il fait référence à de nombreuses études menées au cours des 10 dernières années sur ce dispositif et permet d’en voir les aspects positifs et négatifs. Ce travail est à visée informative auprès des chirurgiens dentistes équipés ou souhaitant l’être.
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Chirurgie dentaire
/ 06-12-2018
Abgrall Hugo
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Ce travail a pour but de relater, par une série de questions/réponses, les différents intérêts cliniques et ergonomiques des aides visuelles en odontologie. Il fait référence à de nombreuses études menées au cours des 10 dernières années sur ce dispositif et permet d’en voir les aspects positifs et négatifs. Ce travail est à visée informative auprès des chirurgiens dentistes équipés ou souhaitant l’être.
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Chirurgie dentaire
/ 04-12-2018
Rauld Lucie
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Objectif - Le but de cette étude est d’évaluer la relation entre la pratique du triathlon et la santé bucco-dentaire chez les triathlètes français. Matériels et méthodes - Cette étude multicentrique observationnelle prospective a été réalisée sur 50 triathlètes français. Les réponses ont été recueillies à l’aide d’un questionnaire auto-administré anonyme et d’un examen bucco-dentaire. Résultats - Sur les 50 sujets, 44 (88%) étaient des hommes et 6 (12%) des femmes. Ces femmes ont significativement (p=0,0244) moins de caries actives que les hommes. L’âge moyen était de 35,9 années et le CAOD augmente avec l’âge du sujet (p=2.544e-5). 82% des sujets se brossent les dents 2 à 3 fois par jour et ont un CAOD significativement (p=0,0087) plus faible que ceux qui se brossent les dents 0 ou 1 fois par jour. Les triathlètes s’entraînent en moyenne pendant 11h46 par semaine. Ceux qui s’entraînent plus de 15 heures par semaine présentent plus de caries que ceux qui s’entraînent moins (p=0,0094). 54% des sujets consomment des produits énergétiques et le CAOD est significativement plus élevé pour ceux qui en prennent (p=0,0441). Il y a peu de triathlètes qui ont consulté un diététicien du sport mais ce fait à un impact positif sur la présence de caries (p=0,0168). Conclusion - Ces triathlètes présentent une consommation de produits sucrés répétée et régulière et peuvent donc être considérés comme étant une population à risque carieux élevé. Les suggestions pour la prévention sont la mise en place de campagnes, impliquant les athlètes, les entraîneurs, les diététiciens et les dentistes afin de rappeler les recommandations d’hygiène bucco-dentaire et d’habitudes alimentaires.
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Chirurgie dentaire
/ 04-12-2018
Poisson Valentin
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Objectif - Le but de cette étude est d’évaluer la relation entre la pratique du triathlon et la santé bucco-dentaire chez les triathlètes français. Matériels et méthodes - Cette étude multicentrique observationnelle prospective a été réalisée sur 50 triathlètes français. Les réponses ont été recueillies à l’aide d’un questionnaire auto-administré anonyme et d’un examen bucco-dentaire. Résultats - Sur les 50 sujets, 44 (88%) étaient des hommes et 6 (12%) des femmes. Ces femmes ont significativement (p=0,0244) moins de caries actives que les hommes. L’âge moyen était de 35,9 années et le CAOD augmente avec l’âge du sujet (p=2.544e-5). 82% des sujets se brossent les dents 2 à 3 fois par jour et ont un CAOD significativement (p=0,0087) plus faible que ceux qui se brossent les dents 0 ou 1 fois par jour. Les triathlètes s’entraînent en moyenne pendant 11h46 par semaine. Ceux qui s’entraînent plus de 15 heures par semaine présentent plus de caries que ceux qui s’entraînent moins (p=0,0094). 54% des sujets consomment des produits énergétiques et le CAOD est significativement plus élevé pour ceux qui en prennent (p=0,0441). Il y a peu de triathlètes qui ont consulté un diététicien du sport mais ce fait à un impact positif sur la présence de caries (p=0,0168). Conclusion - Ces triathlètes présentent une consommation de produits sucrés répétée et régulière et peuvent donc être considérés comme étant une population à risque carieux élevé. Les suggestions pour la prévention sont la mise en place de campagnes, impliquant les athlètes, les entraîneurs, les diététiciens et les dentistes afin de rappeler les recommandations d’hygiène bucco-dentaire et d’habitudes alimentaires.
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Anesthésie-Réanimation
/ 04-12-2018
Losco Xavier
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Rationnel : La duodéno-pancréatectomie céphalique (DPC) est une intervention de chirurgie digestive lourde associée à de fréquentes complications à court et long terme. La principale indication de la DPC est l’adénocarcinome (ADK) du pancréas qui présente un fort taux de récidive. Entre 2010 et 2014, suite à la publication de recommandations sur le monitorage du remplissage vasculaire peropératoire (RV) et sur la réhabilitation rapide après chirurgie (RRAC), la prise en charge anesthésique de la DPC au CHU de Rennes a été modifiée. Objectif : L’objectif de cette étude était d’évaluer la mise en application de ces recommandations et de décrire l’impact des modifications de pratique dans la chirurgie de DPC sur le devenir à court et long terme, notamment pour les patients opérés d’un ADK. Patients et méthode : Nous avons analysé rétrospectivement les dossiers médicaux de tous les patients majeurs opérés d’une DPC au CHU de Rennes du 1er janvier au 31 décembre des années 2010 et 2014. La mortalité et, dans le groupe des ADK, les récidives de cancer, ont été recueillies jusqu’au 1er octobre 2015 pour les patients de 2010, et jusqu’au 1er juillet 2018 pour ceux de 2014. Résultats : Quarante-cinq patients ont été opérés d’une DPC en 2010, et 50 en 2014. Les caractéristiques des 2 populations étaient superposables. Les modifications ont consisté en l’administration de dexaméthasone (DXM), lidocaïne intraveineuse (LI) et l’application d’un monitorage hémodynamique par Doppler œsophagien (DO). Il n’y avait pas de différence significative en termes de complications graves ou de durée de séjour chez les patients traités ou non par DXM et LI. Le monitorage par DO était associé à de plus faibles volumes de colloïdes en peropératoire et une tendance à moins de complications graves (p=0,06). Il n’y avait pas de relation entre DO et durée de séjour. L’application des recommandations était faible, avec, en 2014, la moitié des patients recevant de la DXM et de la LI, et seulement 18 % dont le RV avait été monitoré par DO. A 3 ans, la mortalité et la récidive néoplasique étaient identiques au reste de la population chez les patients recevant de la DXM et/ou de la LI ou bénéficiant d’un monitorage par DO. Conclusion : L’application des recommandations pour la prise en charge peropératoire des patients opérés de DPC au CHU de Rennes peut être améliorée, notamment sur le monitorage du RV peropératoire.
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médecine
/ 04-12-2018
Audouin Giovanni
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Introduction : La modification de la démographie médicale associée au vieillissement de la population est à l’origine de l’évolution du comportement des usagers face aux urgences. De ce fait, nous assistons à une augmentation du nombre de passages aux urgences ainsi que du nombre d’appels au SAMU. Cet accroissement est en partie secondaire à une proportion plus importante des motifs relevant de la médecine générale. Nous avons donc étudié ces appels survenant en dehors des horaires de la permanence des soins sur une durée de 4 mois. Nous avons analysé les motifs de recours, les caractéristiques socio-démographiques, les caractéristiques de la régulation et la décision du régulateur. Méthodes : Etude descriptive, analytique, monocentrique (CHU Rennes), prospective sur 4 mois du 03 Avril au 31 Juillet 2018. Tous les appels dont le motif relevait de la médecine générale, identifiés Hors Secteur de Permanence Des Soins (HSPDS) au SAMU 35 et survenant en dehors des horaires de la permanence des soins soit du Lundi au Vendredi de 8h à 20h et le Samedi de 8h à 12h ont été analysés. Résultats : 4236 appels ont été analysés. La population était jeune (médiane à 36 ans) avec une prédominance féminine (52,6%). Le pic du nombre d’appels était situé à l’âge d’un an (4,3%). Les tranches d’âge les plus représentées étaient entre 0 et 9 ans (20%) et entre 20-29ans (13%). La pathologie traumatique était le motif principal d’appel avec 545 appels (13%) suivie de la douleur (12%). Le 3ème motif était l’inquiétude concernant la santé (5,9%). La tranche horaire la plus chargée était entre 8h et 12h avec 35% des appels. La décision médicale la plus fréquente était le conseil médical dans 56% des cas. Cependant, cette décision variait en fonction de l’âge, du motif d’appel, de l’heure de l’appel ainsi que du flux horaire. 32% des appelants ont déclaré ne pas avoir contacté leur médecin traitant avant d’avoir joint le Centre 15. Cependant, cette donnée est difficilement interprétable du fait d’un manque important de données (67%). Conclusion : Le profil des appelants et les motifs d’appel HSPDS recueillies étaient similaires aux appelants de la PDSA. Cependant, la proportion du conseil médical comme décision était plus faible. Cette différence pourrait s’expliquer par le fait que le régulateur soit un médecin urgentiste et non un généraliste. L’affluence du nombre d’appels par heure entraîne un dépassement du seuil d’efficience pouvant se traduire également par une augmentation de l’envoi d’un moyen. Une réorganisation de la régulation médicale en journée paraît nécessaire pour amortir ce flux d’appels relevant de la médecine générale.
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Pharmacie
/ 30-11-2018
Lenoir Fateata
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Le genre Fusobacterium regroupe des bactéries anaérobies à coloration de Gram négative que l’on retrouve dans les microbiotes bucco-dentaires, intestinal et vaginal et dont les espèces les plus connues sont F. nucleatum et F. necrophorum. Le genre est associée à une grande variété de pathologies allant de l’angine au cancer du Colon en passant par l’infection materno- fœtale. Au CHU de Rennes, 65 patients ayant développé une bactériémie à Fusobacterium spp. ont été répertoriés entre 2011 et 2017. F. nucleatum est l’espèce la plus fréquente (41%), suivi de F. necrophorum (23%). Les hommes (68%) sont plus touchés que les femmes. Les comorbidités associées sont les épisodes cancéreux (42%), le tabagisme (28%), l’alcoolisme (26%) et l’hypertension artérielle (26%). La physiopathologie aboutissant à une infection chez le patient présentant une maladie liée à l’alcool a été approfondi avec une partie dédiée aux conseils à apporter en officine à cette population particulière.
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Pharmacie
/ 28-11-2018
Laignier Emilie
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L’intestin humain, désormais considéré comme la clé de voute de notre santé, est colonisé par de nombreuses bactéries qui composent le microbiote intestinal. Il existe une véritable relation entre le microbiote intestinal et son hôte ; ces deux acteurs s’apportant réciproquement des bénéfices. Le microbiote intestinal permet à l’hôte de mieux se défendre face aux agressions extérieurs (virus, bactéries) notamment grâce à son rôle de barrière et permet ainsi le maintient en bonne santé de l’hôte ; ce dernier quant à lui fourni les nutriments nécessaires au maintient des bactéries constituants le microbiote intestinal. Certains facteurs comme la prise d’antibiotiques, l’alimentation ou le stress peuvent perturber l’équilibre du microbiote intestinal et ainsi créer une dysbiose. Les chercheurs se sont donc penchés sur les probiotiques : micro-organismes vivants qui ont la capacité de restituer l’équilibre du microbiote intestinal, on parle dans ce cas d’eubiose. Les probiotiques peuvent ainsi prévenir certaines pathologies mais également les traiter. Cependant les souches et surtout les doses nécessaires de probiotiques à administrer sont encore, à ce jour, souvent mal définies ; c’est pourquoi de nouvelles études méritent d’être envisagées. Les probiotiques pourraient alors devenir une nouvelle approche thérapeutique pour de nombreuses pathologies.
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Pharmacie
/ 26-11-2018
Le Bellec Vincent
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Le syndrome d'Ehlers Danlos est un groupe de maladies génétiques, systémiques liées à une anomalie du tissu conjonctif.
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