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Chirurgie dentaire
/ 19-12-2018
gallais Antoine
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L'irrigation est l'un des principaux facteurs de réussite du traitement endodontique. Il est possible d'activer cette irrigation pour en augmenter l'efficacité. De nombreuses méthodes sont décrites pour réaliser cette activation et des matériels très variés sont commercialisés à cette fin. Certains très simples et d'autres complexes et parfois plus coûteux. Objectif: Ce travail a pour objectif de comparer l'efficacité théorique et clinique des différents systèmes d'activation actuellement commercialisés. Une analyse critique de la littérature et une comparaison des différents matériels existants seront réalisées. La recherche documentaire s’est faite de manière informatique à l’aide du site Pubmed. Les critères d’inclusion et d’exclusion ont permis in fine de sélectionner 8 revues et 7 recherches in vivo. Conclusion: Les articles sélectionnés, montrent que les systèmes ultrasoniques ( PUI ) semblent avoir un réel impact sur l’amélioration de la propreté canalaire avec une présence réduite de débris canalaires ou de smear layer. Le système de pression négative “endovac” semble permettre d’extruder peu de débris et de produit à travers l’apex. Comme le soulignent les revues étudiées, il semble nécessaire de mettre en perspective certains résultats. En effet, on remarque un manque de standardisation au niveau des études; un grand nombre de paramètres fluctuent à travers les travaux. Seule une rigueur protocolaire accrue avec de véritables standards permettra d’avoir des conclusions plus justes avec potentiellement des améliorations des dispositifs, une démocratisation de certains systèmes d’activation dans la pratique.
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Médecine Générale
/ 18-12-2018
Pinochet Rose-Marie
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Contexte : La prise en charge des douleurs chroniques de l’enfant et de l’adolescent est souvent complexe et peut conduire le médecin généraliste à orienter son patient vers une consultation spécialisée. Objectif : Mettre en évidence les difficultés et attentes des médecins généralistes qui adressent un patient au CETD pédiatrique. Méthode : Étude qualitative par entretiens semi-dirigés auprès de médecins généralistes ayant adressé un patient au CETD pédiatrique du CHU de Rennes. Résultats : 15 médecins généralistes ont été interrogés d’octobre 2017 à mai 2018. Ils avaient adressé des enfants et adolescents âgés de 4 à 17 ans qui présentaient des céphalées et des douleurs ostéoarticulaires chroniques. Les médecins ont souligné le contexte psychologique, social et familial complexe de ces douleurs. Les difficultés d’ordre diagnostique étaient sous-tendues par la peur d’omettre une pathologie grave, et l’absence de substrat organique objectivable. Ils ont éprouvé des difficultés à aborder la part psychologique des douleurs, de peur de rompre la relation de confiance au sein de la triade médecin généraliste-enfant-parent. Ils ont adressé leur patient lorsqu’il persistait une incertitude diagnostique malgré un bilan exhaustif, et au vu des attentes parentales et du retentissement important des douleurs sur le quotidien de l’enfant. Ils attendaient tous un regard extérieur et une aide en terme de communication. La plupart des médecins méconnaissaient le CETD pédiatrique et pensaient avoir adressé leur patient à un autre spécialiste, pour une approche centrée sur la pathologie. Trois médecins avaient ciblé le CETD pour une prise en charge centrée sur la douleur, un accès à des thérapeutiques spécifiques (hypnose) et une prise en charge en équipe. Conclusion : Bien qu’ils fassent appel à leurs multiples compétences scientifiques et relationnelles, les médecins généralistes sont mis en difficulté dans ces situations complexes de douleurs chroniques chez l’enfant et l’adolescent. En adressant leur patient, ils recherchent avant tout un regard et un discours extérieurs à la relation médecin généraliste-enfant-parents. Le CETD pédiatrique du CHU de Rennes, par les prises en charge spécifiques qu’il propose, mériterait d’être connu des médecins généralistes.
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Neurochirurgie
/ 18-12-2018
Bretonnier Maxime
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Objectif : Les fistules artérioveineuses durales rachidiennes (SDAVFs) sont des malformations vasculaires rares de la moelle spinale. Le traitement chirurgical semble être supérieur au traitement endovasculaire avec un meilleur taux d’occlusion initial et un taux de récidive plus faible. Cependant, l’évolution neurologique en fonction du traitement réalisé est inconnue. L’objectif de cette étude était de comparer le devenir clinique des patients selon la modalité de traitement. Méthodes : 63 patients avec une SDAVFs pris en charge dans 4 centres de Neurochirurgie entre 2000 et 2017 ont été inclus de manière rétrospective. Les statuts neurologiques pré-traitement et à la dernière visite ont été évalués par l’échelle Aminoff- Logue (ALS), comprenant l’évaluation des troubles de la marche et des mictions. Le taux d’occlusion initial, le taux de récidive tardive et le taux de complications ont été recueillis. Résultats : Les patients traités par chirurgie et embolisation ont été amélioré cliniquement sur l’ALS (P = 0.0009) mais il n’y avait pas de différences significatives entre les deux techniques. L’analyse des sous-groupes a mis en évidence que les patients traités par chirurgie et embolisation sans récidive étaient améliorés sur l’ALS (P < 0.0001 and P = 0.0334 respectivement) et que les patients qui avaient eu une récidive après une intervention chirurgicale ou une embolisation n’étaient pas améliorés. Le taux d’occlusion initial après une procédure chirurgicale était supérieur à celui après une embolisation, 91.3 % versus 70 % (P = 0.050). Le taux de récidive était plus élevé après une embolisation, 21.4 % versus 9.1 % après une intervention chirurgicale (pas de différence significative, P = 0.28). Conclusions : Un échec initial d’embolisation ou une récidive tardive après une embolisation pourraient causer un délai entre le diagnostic et l’occlusion définitive de la SDAVF et dégrader le pronostic neurologique des patients. Nous suggérons de considérer la chirurgie en première intention dans le traitement des SDAVFs.
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Medecine
/ 18-12-2018
Hervé-Buard Annabelle
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Le diabète de type 2 est une maladie grave provoquant de nombreuses complications pouvant être évitées grâce à une bonne observance des traitements et du suivi médical. Ainsi, de nombreuses solutions numériques de santé voient le jour afin d’aider le patient à gérer sa maladie au quotidien. Ces services peuvent inclure le médecin traitant entraînant des évolutions dans la pratique de la médecine. Les innovations thérapeutiques et technologiques sont nombreuses, mais cette thèse se concentrera sur le dispositif FreeStyle Libre, les pompes à insuline, les applications mobiles et la télémédecine. Elle reviendra également sur la création du site internet Diabétoclic, en réalisant un état des lieux de son intérêt, deux ans après sa création. Un questionnaire sera également envoyé aux médecins généralistes de l’Ille et Vilaine pour évaluer leur intérêt pour ces nouvelles technologies.
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Pharmacie
/ 18-12-2018
Pépin Aurélie
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La prévalence des allergies alimentaires a augmenté durant ces dernières années, et notamment l’allergie aux protéines de lait de vache (PLV). L’allergie aux PLV est à différencier de l’intolérance, et notamment de l’intolérance au lactose, dont les mécanismes sont distincts. L’objectif de ce travail de thèse est de définir ces pathologies, avant de faire le point sur leurs mécanismes physio-pathologiques et leur diagnostic. Le traitement de ces maladies repose sur l’éviction des PLV ou du lactose, des laits de substitution sont proposés afin d’éviter de développer des carences nutritionnelles. La majorité des enfants APLV développe naturellement une tolérance vers l’âge de 2 à 3 ans. Mais une immunothérapie orale peut être mise en place chez les patients présentant une allergie sévère. Enfin, dans le cadre de l’éducation thérapeutique du patient, le pharmacien d’officine joue un rôle important dans l’accompagnement et la prise en charge du patient allergique ou intolérant aux PLV.
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Chirurgie dentaire
/ 18-12-2018
Le Floch Caroline
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Objectifs: Mesurer la dose moyenne d’irradiation reçue au niveau du pouce, de l’index et du cristallin sur une période de trois mois. Conclure sur la dose efficace moyenne estimée pour un seul cliché radiographique intra-oral. Méthodes: L'étude s'est déroulée dans les services d’Odontologie Pédiatrique et de Soins Adaptés de l'Hôpital Universitaire de Rennes. Les praticiens ont été invités, pendant trois mois, à porter deux bagues dosimètres et un dosimètre cristallin à chaque fois qu'ils devaient tenir le capteur pour un examen radiographique. La dose totale enregistrée nous a permis de conclure sur la dose de rayonnement d’un seul cliché radiographique. Résultats: Les dosimètres ont été utilisés 109 fois pour des radiographies intra-orales au cours desquelles l'opérateur tenait le capteur radiographique avec ses doigts. Pour un seul cliché radiographique, la dose équivalente était de 0.75 mSv sur le pouce, 0.74 mSv sur l'index et en dessous du seuil de détection pour le cristallin. Le facteur de pondération du rayonnement X sur les tissus cutanés étant de 0.01, la dose efficace estimée pour une radiographie est donc de 0.0075 mSv au niveau des doigts. Conclusions: Nos valeurs sont cohérentes avec les résultats des études précédentes dans la littérature. Les étudiants dentistes ne doivent pas effectuer plus de 1 radiographie, en tenant le capteur avec les doigts, par semaine (en considérant 40 semaines de travail par an) pour éviter une exposition des mains supérieure à la limite de dose « population » de 50 mSv. Compte tenu de ces résultats, il apparaît que l'exposition des mains des étudiants et des dentistes travaillant principalement avec des enfants et des patients handicapés devrait faire l'objet d'une surveillance plus étroite.
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Chirurgie dentaire
/ 18-12-2018
Haute Élise
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Objectifs: Mesurer la dose moyenne d’irradiation reçue au niveau du pouce, de l’index et du cristallin sur une période de trois mois. Conclure sur la dose efficace moyenne estimée pour un seul cliché radiographique intra-oral. Méthodes: L'étude s'est déroulée dans les services d’Odontologie Pédiatrique et de Soins Adaptés de l'Hôpital Universitaire de Rennes. Les praticiens ont été invités, pendant trois mois, à porter deux bagues dosimètres et un dosimètre cristallin à chaque fois qu'ils devaient tenir le capteur pour un examen radiographique. La dose totale enregistrée nous a permis de conclure sur la dose de rayonnement d’un seul cliché radiographique. Résultats: Les dosimètres ont été utilisés 109 fois pour des radiographies intra-orales au cours desquelles l'opérateur tenait le capteur radiographique avec ses doigts. Pour un seul cliché radiographique, la dose équivalente était de 0.75 mSv sur le pouce, 0.74 mSv sur l'index et en dessous du seuil de détection pour le cristallin. Le facteur de pondération du rayonnement X sur les tissus cutanés étant de 0.01, la dose efficace estimée pour une radiographie est donc de 0.0075 mSv au niveau des doigts. Conclusions: Nos valeurs sont cohérentes avec les résultats des études précédentes dans la littérature. Les étudiants dentistes ne doivent pas effectuer plus de 1 radiographie, en tenant le capteur avec les doigts, par semaine (en considérant 40 semaines de travail par an) pour éviter une exposition des mains supérieure à la limite de dose « population » de 50 mSv. Compte tenu de ces résultats, il apparaît que l'exposition des mains des étudiants et des dentistes travaillant principalement avec des enfants et des patients handicapés devrait faire l'objet d'une surveillance plus étroite.
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Pharmacie
/ 17-12-2018
De Kervasdoué Camille
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Les statines sont des médicaments qui agissent en inhibant la biosynthèse du cholestérol. Ils sont indiqués dans la prévention des événements cardiovasculaires et de l’hypercholestérolémie et sont très largement prescrits en France et à travers le monde. Si les études cliniques permettent de détecter les principaux effets indésirables des médicaments, une surveillance post-commercialisation est indispensable pour garantir la sécurité d’emploi d’un médicament dans la population générale et détecter de nouveaux effets indésirables. Cette surveillance se traduit notamment par l’évaluation des rapports périodiques de sécurité déposés par les titulaires d’Autorisations de Mise sur le Marché (AMM), la mise en place d’études épidémiologiques, l’analyse de la littérature scientifique, la collecte et l’analyse de cas de pharmacovigilance. Ces cas sont regroupés dans des bases contenant l’ensemble des notifications spontanées d’évènements indésirables ou encore la détection de signaux de sécurité à l’aide. Récemment, un signal potentiel de dépressions a été identifié. Les connaissances concernant ce risque étant limitées et contradictoires, une investigation approfondie de ce signal par une analyse de disproportionnalité apparaît fondamentale. Cette thèse traite donc de l’évaluation des signaux de dépression liés à l’utilisation des statines après un état des lieux de leur utilisation ainsi qu’un point sur les dépressions en tant que pathologie et comme effet indésirable.
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Chirurgie dentaire
/ 14-12-2018
Jehanin Thomas
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La présence de taches blanches au niveau des surfaces lisses dentaires peut occasionner chez certains patients une gêne esthétique importante. Autrefois traitées par des techniques invasives de fraisage et/ou par facettes, ces taches peuvent désormais être masquées par effet optique grâce à la technique d’érosion/infiltration résineuse. Ce travail de thèse a pour objectif de proposer une iconographie de plusieurs cas cliniques traités au centre de soins dentaires de Rennes. Les quatre patients sélectionnés pour cette étude ont pu être traités par cette technique non invasive. Bien que les patients furent ravis du résultat esthétique immédiat obtenu, un recul clinique de plusieurs années serait intéressant afin d’obtenir une base scientifique solide sur l’évolution esthétique et mécanique de cette thérapeutique avec le temps.
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Chirurgie dentaire
/ 14-12-2018
Bourges Paul
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La présence de taches blanches au niveau des surfaces lisses dentaires peut occasionner chez certains patients une gêne esthétique importante. Autrefois traitées par des techniques invasives de fraisage et/ou par facettes, ces taches peuvent désormais être masquées par effet optique grâce à la technique d’érosion/infiltration résineuse. Ce travail de thèse a pour objectif de proposer une iconographie de plusieurs cas cliniques traités au centre de soins dentaires de Rennes. Les quatre patients sélectionnés pour cette étude ont pu être traités par cette technique non invasive. Bien que les patients furent ravis du résultat esthétique immédiat obtenu, un recul clinique de plusieurs années serait intéressant afin d’obtenir une base scientifique solide sur l’évolution esthétique et mécanique de cette thérapeutique avec le temps.
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