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Titre
Auteur
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Cardiologie
/ 22-12-2017
Hubert Arnaud
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Introduction : Les recommandations actuelles pour l’évaluation non-invasive des pressions de remplissage ventriculaire gauche (PRVG) sont complexes, avec des algorithmes de décisions difficiles à appliquer en pratique quotidienne. Les lignes B sont des artéfacts en échographie pulmonaire qui pourraient être utiles pour l’évaluation des PRVG en pratique clinique, mais leur association avec des données hémodynamiques manquent. L’objectif était d’étudier la précision diagnostique de cet outil pour identifier une pression télédiastolique du ventricule gauche (PTDVG) augmentée. Méthode et résultats : 81 adultes avec un dyspnée significative (NYHA2) ont été analysés prospectivement par échographie pulmonaire dans 4 zones sur chaque hémithorax et par une échocardiographie trans-thoracique complète dans les 4 heures précédent une coronarographie. 28 patients avaient une PTDVG augmentée. Les variables cliniques avaient un C-index de 79% pour identifier une PTDVG augmentée. Le nombre total de lignes B était plus élevé le groupe PTDVG augmentée (1.0 vs 17.0, p<0.0001) et augmentait de façon significative la précision diagnostique (Augmentation du C-index de 15.5%, p=0.004) et l’indice de reclassement net (142 (108.5-175.6, p<0.0001) des variables cliniques seules. A l’opposé, l’algorithme des recommandations n’augmentait ni la précision diagnostique, ni l’indice de reclassement net. Conclusion : Cette étude démontre l’importante capacité diagnostique des lignes B à identifier une PTDVG augmentée, qui apparaissent meilleures que le meilleur algorithme echocardiographique actuel. Cet outil devrait donc être pris en compte dans l’approche mutli-paramétrique des patients en insuffisance cardiaque.
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Médecine générale
/ 22-12-2017
Blanchard Marina
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Introduction : La violence en milieu de santé est un sujet d’actualité dans les secteurs psychiatriques, gériatriques et aux urgences. Méthodes : L’objectif était d’analyser le vécu des soignants confrontés aux violences physiques des personnes âgées institutionnalisées, d’évaluer l’intérêt de leur suivi par le biais des déclarations événements indésirables (DEI), et de préciser les stratégies d’adaptation et les attentes des soignants. L’étude est basée sur le recueil des DEI sur 3 ans des unités d’hébergement du centre hospitalier universitaire de Rennes et sur 20 entretiens semi-dirigés de soignants. Chaque entretien a été codé selon une démarche thématique déductive puis inductive. Résultats : 76 DEI ont été réalisées sur 3 ans principalement par les aides-soignants. Les violences avaient lieu surtout pendant les soins d’hygiène, majoritairement par des hommes. Ces violences étaient sous-déclarées par des soignants qui se sentaient souvent coupables de ne pas avoir su les prévenir et ont excusé ces comportements comme venant de patients jugés irresponsables. Le soutien des collègues était jugé satisfaisant malgré une certaine peur du jugement, celui de la hiérarchie parfois insuffisant. Les soignants ont sollicité un soutien émotionnel (collègues et hiérarchie), informatif (concertation et formations adaptées) et matériel (disponibilité accrue). Les difficultés exprimées par les nouveaux professionnels ont montré la nécessité de renforcer leur accueil et leur suivi. Les DEI, lorsqu’ils sont réalisés par des soignants en situation d’épuisement professionnel, pourraient avoir un rôle d’alerte pour la hiérarchie. Conclusion : Notre étude souligne la complexité de la prévention des violences dans les unités d’hébergement, du fait entre autres de la problématique du manque de personnel. Si des propositions peuvent être formulées pour former et accompagner les soignants, il semble difficile d’en espérer une réelle efficacité sans modifications organisationnelles associées.
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Chirurgie dentaire
/ 22-12-2017
Leroux Eric
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OBJECTIFS: Plusieurs auteurs se sont déjà intéressés au lien entre l’occlusion dentaire et la stabilité posturale des sportifs et en population générale. Cependant, aucune donnée n’est actuellement disponible dans le domaine de l’aviron. La présente étude vise à évaluer l’influence de l’occlusion dentaire sur la posture et les performances sportives de jeunes rameurs de haut niveau. METHODE: Des dispositifs siliconés ont été confectionnés pour perturber artificiellement l’occlusion dentaire. Nous avons évalué l’influence d’une perturbation occlusale artificielle sur l’équilibre du corps, la symétrie de contraction des muscles para vertébraux et la puissance musculaire des jeunes athlètes. Une plateforme stabilométrique et une machine Dyno Concept 2 ont été utilisées pour effectuer les mesures. RESULTATS: Au total, 7 membres du pôle France espoir d’Aviron (âgés de 15 à 17 ans) ont été inclus dans l’étude. Aucun paramètre d’équilibre postural n’était significativement influencé par les dispositifs occlusaux. L’interposition d’une cale siliconée simulant une latérodéviation mandibulaire de 4 millimètres a significativement augmenté de 14.3% à 85.7% (p 0.025) la proportion d’athlètes présentant une contraction asymétrique des muscles paravertébraux et a significativement diminué de 17.7% (p 0.030) la puissance musculaire des rameurs. CONCLUSION: Cette étude montre les effets néfastes de la perturbation de l’occlusion dentaire sur les performances des jeunes rameurs de haut niveau. Le dépistage des troubles de l’occlusion dentaire par un suivi occlusal régulier semble nécessaire dans cette population.
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gynécologie obtétrique
/ 21-12-2017
Bourriquen Maude
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Actuellement, l’infertilité touche 48,5 millions de couples dans le monde dont 8 à 37% sont des infertilités inexpliquées. La réalisation de 4 à 6 cycles d’insémination intra-utérine (IIU) est recommandée en première intention. Le parcours d’infertilité peut être long et difficile pour les couples et l’abandon est une cause importante d’échecs en Assistance Médicale à la Procréation. La réalisation d’IIU répétées peut retarder et épuiser un couple avant un passage en Fécondation in vitro (FIV). L’objectif de l’étude est de rechercher des facteurs prédictifs d’échec en insémination intra-utérine dans l’infertilité inexpliquée. Dans une étude rétrospective monocentrique de Février 2008 à Décembre 2014 au CHU de Rennes, l’ensemble des couples présentant un bilan de fertilité normal étaient inclus. Les IIU, au maximum de six, étaient réalisées avec stimulation ovarienne par gonadotrophines, le déclenchement de l’ovulation par hCG recombinante devant 1 à 3 follicule(s) supérieur(s) à 18 mm. Le critère de jugement principal était la grossesse clinique (activité cardiaque en échographie à 7 SA). 905 cycles d’IIU ont été réalisés sur 251 couples inclus avec 93 grossesses cliniques (10.2% par cycle) obtenues en moyenne après la 2,5ème IIU. Il n’y avait pas de différence concernant les caractéristiques des patients. La dose totale de FSH administrée (404,4 +/- 165,3 versus 332,3 +/- 164,7, p=0,0009) et le nombre de follicules dominants (1,7 +/- 0,7 versus 1,5 +/- 0,7, p=0,0135) étaient significativement plus important dans le groupe grossesse en analyse univariée et multivariée. Une dose de FSH faible et le nombre de follicules dominants <2 constituent des facteurs prédictifs d’échec de l’IIU.
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Chirurgie dentaire
/ 21-12-2017
Remaud Matthieu
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Dans ce travail, nous nous intéresserons tout d'abord à ce qu'est un diastème, à sa prévalence dans la population et à ses différentes étiologies possibles chez l'adulte. Nous nous pencherons ensuite sur l'esthétique en chirurgie dentaire en étudiant l'origine de l'esthétique dans la philosophie, dans l'histoire de la médecine puis en odontologie. Les critères objectifs et subjectifs de l'esthétique dentaire seront décrits. Nous étudierons, au sein de la littérature, la perception esthétique des patients, des chirurgiens-dentistes et des orthodontistes vis-à-vis des diastèmes inter-incisifs. Nous présenterons ensuite les résultats de notre propre enquête de perception esthétique que nous avons mené auprès d'étudiants en odontologie et de patients dans les centre de soins dentaire de Rennes et de Brest. Nous essaierons de décrire au mieux tous les phénomènes psychologiques et culturelles à l’oeuvre lorsque nous regardons un sourire. Dans un dernier temps, nous présenterons les différentes thérapeutiques pouvant être mises en oeuvre pour faire disparaître ces espaces et comment la prise de décision doit s'effectuer entre les différentes alternatives de traitements. Les traitements parodontaux, chirurgicaux, orthodontiques, fonctionnelles et d'odontologie conservatrice seront détaillés. Nous réfléchirons à la gestion de l'espace lorsque nous réhabilitons le secteur antérieur. Enfin, nous évoquerons les conséquences d'une abstention ou de la création d'un diastème inter-dentaire avant de conclure.
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Anatomie et Cytologie Pathologiques
/ 21-12-2017
Thierry Sixte
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Le carcinome rénal inclassé de bas grade à cellules éosinophiles (CRIBGCE) est une entité rarissime de description récente, morphologiquement très proche de l’oncocytome. Son profil phénotypique est mal connu et son profil cytogénétique n’a pas encore été décrit. L’oncocytome peut présenter paradoxalement des critères inquiétants (thrombus vasculaire et infiltration de la graisse) car habituellement rencontrés dans les tumeurs malignes. Nous rapportons un cas de CRIBGCE avec métastase, et le comparons à 3 oncocytomes avec critères atypiques aux niveaux morphologique, phénotypique et cytogénétique. Nos résultats supportent l’hypothèse que le CRIBGE est une entité différente de l’oncocytome. Seules la morphologie et la CK7 permettent de les distinguer. Notre cas est caractérisé principalement par un réarrangement 11q13 que l’on pensait jusqu’à présent être spécifique des oncocytomes, et par des gains et pertes des chromosomes 5 et 8. Il n’a pas été trouvé d’amplification de MET.
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Pharmacie
/ 21-12-2017
Baert Clémentine
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Depuis plusieurs années, la prise en charge des couples infertiles ne cessent d’augmenter, nombreux sont ceux qui ont recours aux techniques d’assistance médicale à la procréation que ce soit par FIV ou ICSI. Nous avons voulu traiter d’un sujet précis de l’AMP qui est les annulations. Ils nous semblaient important de déterminer si un protocole annulait plus les cycles d’AMP qu’un autre. Pour cela, nous avons analysé les données recueillies à l’Hôpital Sud de Rennes, du début des protocoles jusqu’en mars 2017 et ensuite nous les avons comparées à celles retrouvées dans la littérature.
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Médecine
/ 20-12-2017
Radet Caroline
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Objectifs:Les études épidémiologiques montrent que la prévalence de l’insuffisance en vitamine D dans population française est de 80% ce taux variant de 76% à 100% selon les études menées chez les personnes âgées. La Haute Autorité de Santé (HAS) ne recommande pas de réaliser systématiquement un dosage de la vitamine D avant de débuter la supplémentation, mais on manque de données sur la sécurité et l’efficacité de cette attitude. Notre étude a pour objectif de montrer que chez des patients âgés de 65 ans et plus hospitalisés en Gériatrie et naïfs de traitement par vitamine D, le dosage préalable à la supplémentation est superflu. Matériel et Méthodes:Nous avons fait l’hypothèse que dans cette population un taux dans les normes recommandées de vitamine 25(OH)D (>30ng/ml, <150ng/ml) peut être obtenu, sans réaliser ce dosage en suivant un schéma classique de substitution en cas de carence par UVEDOSE 100 000UI tous les 15 jours pour un total de 4 doses. Tous les patients qui étaient hospitalisés dans le service de Gériatrie du Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Rennes et qui ne présentaient pas de critère d’exclusion, pouvaient être potentiellement inclus. Les critères d’exclusion étaient les suivants : hypercalcémie, supplémentation en vitamine D il y a moins d'un an, dosage de vitamine 25(OH) D récent, pathologie médicale ne permettant pas la supplémentation, absence de signature de consentement, patient sous sauvegarde de justice. Pour chaque patient, les caractéristiques suivantes ont été collectées à partir du dossier informatisé : âge ; sexe ; indice de masse corporelle (IMC) ; antécédents principaux ; lieu de vie. Le taux de vitamine 25(OH) D2 + vitamine 25(OH)D3 était dosé 1 semaine après la dernière ampoule.Résultats:Après application du schéma de supplémentation pour 90 patients, 70% des patients inclus [IC95%:61-79] avaient un dosage en vitamine 25(OH)D dans les normes attendues, soit entre 30 et 70ng/ml.Cette supplémentation a permis de corriger les carences en Vitamine 25(OH)D, inférieures à 10ng/ml.La sécurité pour le patient était maintenue car les résultats de dosages les plus élevés dans notre étude se maintenaient loin des doses considérées comme « limites à ne pas dépasser » (le dosage de 25(OH)D était toujours<100ng/ml) et donc loin de la dose considérée comme toxique (150ng/ml).Le seul facteur lié de façon indépendante à un moindre taux final était un IMC élevé (>30).Conclusion:Notre étude mono-centrique et réalisée de façon exploratoire dans le cadre d’une thèse de médecine confirme notre hypothèse malgré quelques faiblesses dont un taux d’inclusion un peu faible. Ainsi, en hospitalisation en Gériatrie un taux dans les normes recommandées de vitamine 25(OH)D (>30ng/ml,<150ng/ml) peut être obtenu, sans réaliser de dosage préalable en suivant un schéma classique de substitution en cas de carence. Nos résultats devraient être confirmés dans une étude multicentrique, en améliorant le taux d’inclusion.
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Chirurgie dentaire
/ 20-12-2017
Poulouin Bénédicte
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Objectifs - Le but de cette étude a été d’identifier les facteurs, et leur association, influençant la conservation ou la perte des dents permanentes expulsées réimplantées. Matériels/méthodes – L’échantillon est composé de 39 patients, soit 45 dents permanentes monoradiculées expulsées et réimplantées. Ils ont été suivis au Pôle d’Odontologie de Rennes entre 1997 et 2016. C’est une étude rétrospective avec recueil de données sur le patient, sur la dent réimplantée, sur les conditions de réimplantation, sur le suivi du LAD, et sur la prise en charge endodontique de la dent. Les facteurs ont été évalués selon les dernières recommandations de l’IADT (International Association of Dental Traumatology). Les dents ont été classées en issue favorable (pas de complication) ou en échec biologique (résorption/ankylose/infection). Les échecs biologiques ont été divisés en échecs relatifs (dent conservée sur arcade malgré des complications) et échecs définitifs (perte de la dent). L’influence des facteurs a été recherchée individuellement, en comparant les dents conservées (issue favorable + échec relatif) et les dents perdues (échec définitif), à l’aide du test du Chi² (et du Chi² corrigé de Yates). L’influence d’associations de facteurs d’échec a ensuite été recherchée avec une analyse factorielle (logiciel SPAD) sur les dents perdues. Résultats – 23/45 dents (51,1%) ont été conservées sur arcade, dont 4 en issue favorable et 19 en échec relatif. Le taux de complication est de 91,1%, et la plus fréquente est l’association résorption/infection (13/45). La guérison du ligament alvéolo-dentaire a un rôle important, puisque les 9 dents concernées sont conservées (9/45 soit 20%). L’association d’une mauvaise conservation de la dent au moment de l’expulsion (milieu de conservation inadapté et/ou temps extra-alvéolaire > 60 minutes) avec une prise en charge endodontique inadaptée, est retrouvée dans 45% des échecs définitifs. Une mauvaise conservation de la dent, associée à un non-respect du protocole de contention, est retrouvée dans 35% des échecs définitifs. Conclusion – Suivre les recommandations de l’IADT concernant la conservation, la réimplantation et le suivi semble diminuer le risque de perte de l’organe dentaire. Cependant, il faut tenter la réimplantation dès que possible, car la dent a également un potentiel de cicatrisation individuel (pulpe, LAD). Le cas échéant, la réimplantation permettra de conserver un volume osseux jusqu’à la fin de la croissance. Le manque de formation des médecins /
personnels d’éducation / parents sur la conduite à tenir en cas d’expulsion est encore très important, et pourrait constituer une voie d’amélioration future.
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Chirurgie dentaire
/ 20-12-2017
Goulard Mathilde
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Objectifs - Le but de cette étude a été d’identifier les facteurs, et leur association, influençant la conservation ou la perte des dents permanentes expulsées réimplantées. Matériels/méthodes – L’échantillon est composé de 39 patients, soit 45 dents permanentes monoradiculées expulsées et réimplantées. Ils ont été suivis au Pôle d’Odontologie de Rennes entre 1997 et 2016. C’est une étude rétrospective avec recueil de données sur le patient, sur la dent réimplantée, sur les conditions de réimplantation, sur le suivi du LAD, et sur la prise en charge endodontique de la dent. Les facteurs ont été évalués selon les dernières recommandations de l’IADT (International Association of Dental Traumatology). Les dents ont été classées en issue favorable (pas de complication) ou en échec biologique (résorption/ankylose/infection). Les échecs biologiques ont été divisés en échecs relatifs (dent conservée sur arcade malgré des complications) et échecs définitifs (perte de la dent). L’influence des facteurs a été recherchée individuellement, en comparant les dents conservées (issue favorable + échec relatif) et les dents perdues (échec définitif), à l’aide du test du Chi² (et
du Chi² corrigé de Yates). L’influence d’associations de facteurs d’échec a ensuite été recherchée avec une analyse factorielle (logiciel SPAD) sur les dents perdues. Résultats – 23/45 dents (51,1%) ont été conservées sur arcade, dont 4 en issue favorable et 19 en échec relatif. Le taux de complication est de 91,1%, et la plus fréquente est l’association résorption/infection (13/45). La guérison du ligament alvéolo-dentaire a un rôle important, puisque les 9 dents concernées sont conservées (9/45 soit 20%). L’association d’une mauvaise conservation de la dent au moment de l’expulsion (milieu de conservation inadapté et/ou temps extra-alvéolaire > 60 minutes) avec une prise en charge endodontique inadaptée, est retrouvée dans 45% des échecs définitifs. Une mauvaise conservation de la dent, associée à un non-respect du protocole de contention, est retrouvée dans 35% des échecs définitifs. Conclusion – Suivre les recommandations de l’IADT concernant la conservation, la réimplantation et le suivi semble diminuer le risque de perte de l’organe dentaire. Cependant, il faut tenter la réimplantation dès que possible, car la dent a également un potentiel de cicatrisation individuel (pulpe, LAD). Le cas échéant, la réimplantation permettra de conserver un volume osseux jusqu’à la fin de la croissance. Le manque de formation des médecins /
personnels d’éducation / parents sur la conduite à tenir en cas d’expulsion est encore très important, et pourrait constituer une voie d’amélioration future.
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