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Médecine générale
/ 24-10-2023
Garnier Emilien
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Introduction : Dans un contexte de faible démographie médicale, les médecins généralistes bretons exerçant dans le Morbihan (56) ainsi que les Côtes d’Armor (22) font face à des difficultés pour obtenir des avis spécialisés en endocrinologie. L’expansion de la téléexpertise se présente de plus en plus comme l’une des clés pour faire face aux inégalités d’accès aux soins. Ainsi, depuis quelques années, cet outil s’est progressivement intégré dans la pratique des généralistes bretons notamment dans l’aide à la prise en charge de pathologies endocriniennes. L’objectif de l’étude était d’évaluer la contribution de la téléexpertise dans la gestion des pathologies endocriniennes par les médecins généralistes en zone sous-dotée. Matériels et méthodes : Etude qualitative par entretiens individuels semi-dirigés auprès de seize médecins généralistes utilisateurs de téléexpertise pour des pathologies endocriniennes dans le Morbihan et les Côtes d’Armor. Les entretiens ont été réalisés de novembre 2022 à février 2023 jusqu’à saturation des données. L’analyse est inspirée de la théorisation ancrée. Résultats : La télé-expertise semble rompre le sentiment d’isolement exprimé par le médecin généraliste concernant l’accès aux soins en endocrinologie. A travers ce dispositif, l’accès à l’endocrinologue semble facilité, tout comme la communication et la gestion de l’information médicale. L’expertise de l’endocrinologue, entrainant une réassurance du généraliste, participerait à sa formation continue, aboutissant à terme à une autonomisation de ce dernier. Malgré de nombreux points positifs, la crainte de surcharger l’endocrinologue et la perception de déshumaniser la médecine ont été exprimées. A l’avenir, l’intégration des paramédicaux dans les échanges est souhaitée de même que l’optimisation de l’interopérabilité entre l’outil de téléexpertise et le logiciel du généraliste. Discussion – Conclusion : Pour la majorité des médecins généralistes de l’étude, la téléexpertise apparait comme un outil fondamental pour améliorer la prise en charge des patients et optimiser la gestion des pathologies endocriniennes. Le point de vue des endocrinologues serait intéressant à recueillir par une étude qualitative complémentaire. Il est fort probable que la télé-expertise poursuive son développement dans les prochaines années en endocrinologie, comme dans d’autres spécialités.
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Médecine
/ 24-10-2023
Frémont Clément
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Introduction : Une femme sur trois dans le monde est victime de violence physique ou sexuelle. Ces violences peuvent avoir de lourdes conséquences sur la santé des femmes victimes, notamment sur leur santé gynécologique. Ainsi selon certaines études, les femmes victimes de violences réaliseraient 2.5 fois plus d’IVG que les autres femmes. Un dépistage systématique rapide a alors été instauré au CIVG du CHU de Rennes en 2018, mais le nombre de femmes victimes pourrait encore être sous-estimé. Une Maison des femmes hospitalière et associative ouvrira fin 2023 au CHU de Rennes et comprendra une unité de prise en charge des femmes victimes de toutes violences mais également le centre de santé sexuelle ainsi que l’unité de centre IVG, porte d’entrée pour les femmes victimes de violences. Ainsi, l’objectif principal de notre étude est d’évaluer la prévalence des femmes victimes de violences sexuelles ou conjugales dans les 12 derniers mois précédant leur IVG au CHU de Rennes, et qui pourraient bénéficier d’une prise en charge spécifique à la Maison des femmes. Matériel et Méthode: Étude épidémiologique observationnelle descriptive, transversale et monocentrique, réalisée au CIVG du CHU de Rennes. Un auto- questionnaire écrit a été distribué à toute femme mineure ou majeure réalisant une IVG chirurgicale ou médicamenteuse pendant la période du 20 juin 2022 au 21 novembre 2022. Résultats : 500 questionnaires ont été distribués sur cette période dont 388 complétés et analysés. La prévalence des violences sexuelles ou conjugales au cours des 12 derniers mois précédant notre étude s’élève à 33.2% et la prévalence des violences sexuelles dans la vie entière à 61.3%. Les violences verbales à caractère sexuel sont le type de violence prédominant dans notre étude, avec une prévalence à 53.6% sur la vie entière, suivi des agressions sexuelles à type de frotteurisme ou d’attouchements à 37.1%. 35% des femmes interrogées seraient intéressées pour parler des violences subies au sein d’une structure de type Maison des femmes et 12% des femmes victimes considèrent qu’il existe un lien entre les violences subies et leur IVG. Le dépistage oral systématique lors de l’entretien pré-IVG a repéré uniquement 12.6% des patientes comme victimes de violences. Conclusion : Les prévalences des violences retrouvées au sein de notre étude sont supérieures à celles de la population générale. Les patientes ayant recours à l’IVG semblent donc plus à risque d’avoir vécues des violences sexuelles et conjugales et près d’1 femme sur 8 déclare que la situation de violence a un lien avec la demande d’IVG. De plus, les femmes semblent intéressées par une prise en charge dans une structure type Maison des femmes. Le dépistage des violences par des professionnels formés est donc primordial lors de leur venue au centre d’IVG afin de pouvoir leur proposer des soins et limiter les conséquences sur leur santé. L’intégration de Centres IVG au sein de structures hospitalières de prise en charge sanitaire des violences faîtes aux femmes, comme des Maisons des femmes, est donc pertinente et permettrait de faciliter l’accès aux soins aux femmes victimes de violences.
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Chirurgie dentaire
/ 24-10-2023
Chapuis Julien
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Les inlay-cores ou restaurations corono-radiculaires indirectes (RCRI) restent toujours d’actualité au-delà des progrès réalisés dans le domaine des reconstitutions corono-radiculaires directes (RCRD). Cette revue narrative a pour intérêt d’exposer les différentes techniques d’empreinte pour inlay-core en 2023. Après une brève présentation de l’inlay-core, deux méthodes d’empreinte spécifiques sont décrites : la méthode conventionnelle et la méthode numérique. Parmi celles-ci, plusieurs techniques se distinguent. Chacune d’elles est détaillée dans un catalogue précisant leurs avantages et inconvénients ainsi que leurs indications relatives. Cette revue se conclut par une illustration clinique permettant de comparer les deux méthodes d’empreinte (conventionnelle et numérique).
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Pharmacie
/ 24-10-2023
Passard Tiphaine
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Chaque année, environ mille personnes s’intoxiquent avec des champignons. En effet, des confusions sont possibles entre champignons comestibles et non-comestibles. En découle alors un syndrome d’intoxication rapide ou long, pouvant provoquer la mort dans certains cas. Avant toute consommation, il est nécessaire de faire contrôler sa récolte à une personne expérimentée, comme un pharmacien. La reconnaissance des champignons à l’officine fait partie intégrante du métier de pharmacien.ne. Au travers de cette thèse, une enquête a été réalisée pour permettre de faire un état des lieux des connaissances en mycologie chez les pharmacien.nes et préparateur.ices en pharmacie. Pour une reconnaissance efficace et en toute sécurité, une formation continue tout au long de la carrière professionnelle parait indispensable.
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Pharmacie
/ 23-10-2023
Richet Anaëlle
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Les intoxications dues aux champignons ne cessent d’augmenter depuis plusieurs années devenant un problème de santé publique. Il est donc important que les cueilleurs puissent se tourner vers des personnes ayant de bonnes connaissances dans le domaine de la mycologie, comme les mycologues ou les pharmaciens. En effet les pharmaciens, sont les seuls à avoir des enseignements sur la mycologie durant leur cursus universitaire. Le centre Finistère est une région disposant de nombreuses forêts propices à l’évolution des champignons. Ce qui amène certaines personnes à venir demander des informations complémentaires sur leurs cueillettes dans les pharmacies aux alentours. Grâce à l’enquête menée dans les 16 pharmacies sélectionnées du centre Finistère, nous allons pouvoir évaluer les connaissances des pharmaciens ainsi que la confiance des cueilleurs envers notre profession sur ce domaine.
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Pharmacie
/ 23-10-2023
Cadudal Aliénor
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La toxoplasmose est une parasitose provoquée par Toxoplasma gondii, un protozoaire intracellulaire obligatoire. Chez l’adulte immunocompétent, incluant la femme enceinte, elle est asymptomatique dans 80% des cas, en revanche, l’infection du fœtus, appelée toxoplasmose congénitale, peut avoir de lourdes conséquences allant jusqu’à sa mort. C’est à l’occasion d’une primo-infection maternelle au cours de la grossesse que le fœtus peut être touché. En France, depuis 1985 la sérologie visant à détecter la toxoplasmose est demandée chez les femmes enceintes lors de la 1ère visite médicale. Face à la diminution de la séroprévalence en France, passant de 55% en 1995 à 27% en 2020, la prévention joue un rôle central dans la lutte contre la toxoplasmose congénitale. L’accessibilité à l’information pour tout le monde est primordiale dans la prévention. Ainsi, il faut s’adapter aux conditions de chacun, illettrisme, barrière de la langue, handicap. C’est pourquoi j’ai élaboré une fiche patient dépourvue de texte. En attendant la mise au point d’un vaccin utilisable chez l’homme, les règles hygiéno-diététiques restent de mise.
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Pharmacie
/ 20-10-2023
Guilleux Thomas
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Sondage des pharmacies officine de Bretagne sur la gestion de la crise Covid sur l’année 2021, la vaccination, les test antigéniques, PCR, autotest sous la supervision d’un professionnel de santé. Mise en évidence les difficultés rencontrés, analyse des chiffres, gestion du personnel et du matériel, utilisation des outils informatique, relation entre les officines et les autorités de santé.
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Médecine - spécialité psychiatrie
/ 20-10-2023
Souadet Clémentine
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La stigmatisation dans le soin des patients souffrant d’un trouble psychiatrique a été richement explorée dans la littérature par l’analyse du vécu de stigmatisation des patients mais peu par l’analyse du vécu des soignants pouvant être auteurs de stigmatisation. L’objectif de l’étude est d’analyser les mécanismes interactionnels entre soignants non-psychiatres et patients psychiatriques sous-tendant des phénomènes de stigmatisation ainsi que l’impact du statut de soignant dans la survenue de conduites stigmatisantes. La méthode est qualitative par analyse phénoménologique interprétative. Les participants sont des soignants non-psychiatres travaillant dans des services de soins somatiques et prenant en charge des patients psychiatriques adultes lors de leur recours à des soins somatiques. Dix entretiens semi-dirigés ont été menés pour atteindre la suffisance des données. Les résultats montrent que la stigmatisation est un phénomène paradoxal. La stigmatisation engendre des conséquences négatives pour le patient psychiatrique mais permet au soignant non-psychiatre de se protéger contre la perte idéologique de son statut de soignant. Cependant le fait que les soignants non-psychiatres repèrent le patient psychiatrique comme étant « différent » leurs permet aussi de mettre en place des conduites d’adaptation favorables au patient dans ses besoins spécifiques. La mise en lumière de ce paradoxe concernant la stigmatisation ouvre des pistes de réflexion pour aider les soignants non-psychiatres à enrayer leurs conduites stigmatisantes néfastes pour les patients psychiatriques tout en préservant leurs capacités d’adaptation bénéfiques.
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Pharmacie
/ 20-10-2023
Le Bouëdec Diane
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Le chemsex, ou « sexe sous drogues », désigne la pratique sexuelle sous l’influence de substances psychoactives. Pratiqué majoritairement par les hommes ayant des relations sexuelles avec les hommes (HSH), le chemsex s’est répandu depuis les années 2000 de façon contemporaine à l’émergence des nouveaux produits de synthèse (NPS) qui sont très souvent consommés. Les individus pratiquant le chemsex s’exposent à des risques pouvant entraîner des conséquences potentiellement graves sur le plan somatique (addictions, intoxications aux substances, infections sexuellement transmissibles) et sur le plan psychologique (isolement social, troubles anxieux, dépression). La polyconsommation de substances psychoactives est fréquente, et les drogues associées le plus souvent au chemsex et identifiées au laboratoire sont le GHB (acide gamma- hydroxybutyrique) et les cathinones de synthèse, mais aussi la cocaïne, la méthamphétamine, l’ecstasy ou encore la kétamine. La prise de poppers et de médicaments de la dysfonction érectile accompagne généralement la prise de drogues pour le chemsex. Ce document fait la synthèse sur la pratique du chemsex et ses complications d’une part, puis sur les produits consommés ainsi que leurs méthodes de détection en toxicologie analytique.
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Médecine
/ 20-10-2023
Gnanou Marie
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Introduction : Le syndrome de Mayer- Rokitansky-Hauser (MRKH) est une maladie rare, qui touche les femmes, caractérisé par une aplasie congénitale de l’utérus et des 2/3 supérieur du vagin. La découverte se fait habituellement à l’adolescence et peut être source d’altération de la santé psychologique, psychique et sexuelle. L’objectif principale de notre étude est d’étudie la qualité de vie globale et sexuelle des patientes atteintes de MRKH qui consultent dans notre service pour des informations sur la greffe utérine. Matériel et méthode : Des questionnaires ont été remis aux patientes en consultation de façon systématique. Pour évaluer la qualité de vie, le questionnaire WHOQOL BREF élaboré par l’OMS a été choisi. Nous avons choisi d’utiliser le questionnaire ISF W pour évaluer la qualité de vie sexuelle. Les résultats ont été comparés à la population générale française. Une analyse en sous-groupe a été réalisée pour comparer les patientes opérées et celle n’ayant pas été opérées. Résultats : Notre population est composée de 15 patientes. Il existe une différence significative entre nos patientes et la population générale en terme de qualité de vie, en faveur de nos patientes et ce pour les 3 domaines étudiés. Il n’y a pas de différence significative entre nos patientes et la population générale concernant la qualité de vie sexuelle. IL n’existe pas non plus de différence entre les patientes MRKH opérées et celles non opérées. Conclusion : Les patientes MRKH ne semblent pas avoir d’altération de leur qualité de vie globale et sexuelle dans notre population. Cependant l’effectif est faible et non patientes sont très sélectionnées, il est donc difficile d’avoir une interprétation fiable de ces résultats.
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