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Chirurgie dentaire
/ 16-11-2018
Primois Mathilde
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La prothèse maxillo-faciale a pour but de rétablir les fonctions oro-faciales des patients atteints de pertes de substance maxillaires et/ou mandibulaires afin d’améliorer leur qualité de vie. Cependant, dans les cas de traumatologie et d’oncologie, les pertes de substance peuvent souvent être étendues et la réhabilitation prothétique par prothèse amovible ou obturateurs n’est alors plus suffisante. Le recours à l’implantologie permet d’améliorer considérablement la rétention des prothèses et le confort du patient. De nombreux types d’implants et protocoles de mise en place existent mais ils présentent certaines limites et nécessitent une collaboration étroite entre les différents professionnels de santé.
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Chirurgie dentaire
/ 16-11-2018
Plusquellec Thibault
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La prothèse maxillo-faciale a pour but de rétablir les fonctions oro-faciales des patients atteints de pertes de substance maxillaires et/ou mandibulaires afin d’améliorer leur qualité de vie. Cependant, dans les cas de traumatologie et d’oncologie, les pertes de substance peuvent souvent être étendues et la réhabilitation prothétique par prothèse amovible ou obturateurs n’est alors plus suffisante. Le recours à l’implantologie permet d’améliorer considérablement la rétention des prothèses et le confort du patient. De nombreux types d’implants et protocoles de mise en place existent mais ils présentent certaines limites et nécessitent une collaboration étroite entre les différents professionnels de santé.
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Médecine
/ 15-11-2018
Anceaux Camille
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Introduction : Depuis 2015, une nouvelle réglementation encadre le temps de travail des internes. Il est limité à 48 heures hebdomadaires avec en moyenne 8 demi-journées de formation en stage et 2 hors stage (une universitaire et une en autonomie) par semaine. Pour le suivi du temps de travail, sont instaurés sous la responsabilité des praticiens responsables, des tableaux de services prévisionnels ainsi que des relevés trimestriels. Objectif : Évaluer le respect de la réglementation relative au temps de travail chez les internes de médecine générale de Rennes plus de deux ans après son entrée en vigueur. Méthode : Étude de la réalisation des tableaux de services prévisionnels et relevés trimestriels. Enquête via un questionnaire anonyme auprès des internes de médecine générale de Rennes à l’issu du semestre d’hiver 2017-2018 pour une analyse quantitative. Résultats : 22 % des terrains de stage hospitaliers avaient réalisé un tableau de service dont l’objectif était le suivi du temps de travail des internes. Aucun relevé trimestriel n’a pu être récolté. 43,9 % des internes travaillaient plus de 48 heures par semaines. 60,2 % travaillaient plus de 8 demi-journées hebdomadaires en stage. 77,3 % avaient effectué moins de 10 demi-journées de formation universitaire par trimestre et 57,4 % moins de 10 demi-journées de formation personnelle par trimestre. Conclusion : L’étude montrait que la réglementation n’était pas respectée pour une majorité d’internes lors de ce semestre. Les internes en stage ambulatoire avaient bénéficié d’une meilleure application que ceux en stage hospitalier. Il existait une méconnaissance de la réglementation par les internes, pouvant favoriser des difficultés de respect de la réglementation.
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Chirurgie dentaire
/ 15-11-2018
Yannou Anne-Claire
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En odontologie, l’apprentissage et la reconnaissance des pulpopathies irréversibles sont particulièrement difficiles pour les étudiants en raison de la diversité des pathologies pulpaires. Pour y remédier, l’équipe pédagogique de l’UFR d’odontologie de Rennes a décidé de créer une ressource d’e-learning complémentaire aux cours magistraux accessible à tous les étudiants via leur Environnement Numérique de Travail. Cette ressource est composée de neuf fiches mémos et d’une banque de données d’entraînements permettant à l’étudiant de s’auto-évaluer à travers des exercices de difficulté progressive. L’apprenant peut alors parfaire ses connaissances à son rythme et ce de manière autonome.
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Chirurgie dentaire
/ 15-11-2018
David Anaïs
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En odontologie, l’apprentissage et la reconnaissance des pulpopathies irréversibles sont particulièrement difficiles pour les étudiants en raison de la diversité des pathologies pulpaires. Pour y remédier, l’équipe pédagogique de l’UFR d’odontologie de Rennes a décidé de créer une ressource d’e-learning complémentaire aux cours magistraux accessible à tous les étudiants via leur Environnement Numérique de Travail. Cette ressource est composée de neuf fiches mémos et d’une banque de données d’entraînements permettant à l’étudiant de s’auto-évaluer à travers des exercices de difficulté progressive. L’apprenant peut alors parfaire ses connaissances à son rythme et ce de manière autonome.
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Médecine Générale
/ 13-11-2018
Bourgeois Anne
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Contexte : la période périnatale est à risque pour les femmes de développer des troubles psychiques, dont une dépression postnatale (DPN). Des mesures existent pour repérer et prendre en charge cette pathologie, mais il existe des doutes sur leur efficacité. Objectif : évaluer la satisfaction des femmes sur leur accompagnement psychologique par les professionnels de santé (PS) dans l’année suivant l’accouchement et la comparer en fonction de la présence ou non de facteurs de risque de DPN. Méthode : étude descriptive transversale par auto-questionnaire auprès de 271 mères d’enfants de 9 à 12 mois dans 43 cabinets de médecine générale et de pédiatrie libéraux. Évaluation de la satisfaction sur une échelle de Likert et détermination du niveau de risque de DPN. Analyse descriptive comparative entre les femmes à risque et celles non à risque de DPN, puis recherche des déterminants de la satisfaction. Résultats : 48,7 % des femmes étaient à risque de DPN. Globalement 32,5 % des femmes ne sont pas satisfaites de leur accompagnement psychologique par les PS dans l’année suivant l’accouchement. Les femmes à risque de DPN étaient 38 % à être insatisfaites vs 27 % chez les autres (p = 0,0640). Les femmes non satisfaites sont globalement moins entourées, et souffrent davantage de difficultés psychiques postnatales. Conclusion : le dispositif de dépistage et de prise en charge des troubles psychiques du post-partum ne paraît actuellement pas satisfaisant. Il est nécessaire de mieux accompagner les jeunes mères à ce sujet et de les interroger à chaque consultation sur leurs éventuelles difficultés psychiques.
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Psychiatrie
/ 09-11-2018
Tico Eva
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Introduction : En France, 70 164 personnes sont détenues et écrouées au 1er septembre 2018. La prévalence des troubles psychiatriques chez les personnes détenues est plus importante que dans l’ensemble de la population générale. Le Plan Santé Mentale et Psychiatrie 2011 - 2015 affirme que « l’entourage est une ressource essentielle dans l’evaluation de la situation de la personne et un relais potentiel dans l’accompagnement et le retablissement ». Nous avons souhaité comprendre comment les aidants de personnes bénéficiant de soins psychiatriques ambulatoires en milieu pénitentiaire sont intégrés au parcours de soins de la personne. Méthode : Nous avons réalisé une étude prospective qualitative multicentrique auprès de professionnels travaillant en unité sanitaire ambulatoire en milieu pénitentiaire, en Bretagne, entre Juillet et Septembre 2018. Des entretiens semi-dirigés sur un échantillon raisonné d'individus ont été menés via un guide d'entretien. L’exploitation des résultats a reposé sur une analyse thématique déductive et inductive. Le guide d'entretien et l'intégralité des entretiens ont été retranscrits. Résultats : 22 entretiens ont été réalisés. 18 femmes et 4 hommes ont été interrogés. L'âge moyen des répondants a été de 40 ans. Le nombre moyen d’années d’expérience en psychiatrie a été 10,4 ans. La durée moyenne d'entretien a été 66 min. Concernant la prise de contact avec l'entourage, celle-ci ne se fait quasiment jamais. Bien qu'absent physiquement, le proche est présent dans les discours de l'usager et des professionnels tout au long des soins. Les professionnels saisissent peu les partenaires sanitaires, médico- sociaux et sociaux pour intégrer les proches au parcours de soins de l'usager détenu. Les limites principales retrouvées sont des limites de temps, d'espace, d'informations, et de représentations vis-à-vis de l'usager, de son proche et de leurs partenaires. Les idées innovantes permettant d'intégrer le proche au parcours de soins de l'usager détenu sont l'intégration du proche dans le projet médical, la redéfinition du rôle de chacun concernant l'intégration du proche, l'intégration interprofessionnelle, le développement de missions de partenariat et la création d’une équipe de liaison de psychiatrie en milieu pénitentiaire favorisant les liens dedans dehors. Conclusion : Notre étude s'intéresse à un sujet peu exploré dans la littérature. L'intégration des aidants de personnes bénéficiant de soins psychiatriques ambulatoires en milieu pénitentiaire peut être mise en place par coordination entre les acteurs et mise en place de mesures effectives.
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PSYCHIATRIE
/ 09-11-2018
Toularhoat Pauline
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Objectif: La schizophrénie est une maladie chronique dont l’évolution peut être marquée par une résistance thérapeutique. De plus en plus de preuves sont retrouvées dans la littérature attestant l’existence d’altérations inflammatoires et immunologiques centrales et périphériques dans la schizophrénie. Parallèlement, la recherche de marqueurs cliniques et biologiques s’est intensifiée ces dernières années, afin de faciliter le diagnostic, évaluer le pronostic et anticiper la réponse thérapeutique. Cependant, peu d’études ont porté sur la recherche de marqueurs permettant d’évaluer le pronostic à court terme au cours d’une décompensation schizophrénique. L’objectif de cette étude était donc d’évaluer la valeur prédictive de données cliniques et biologiques de soins courants sur la réponse thérapeutique immédiate au cours d’une décompensation schizophrénique. L’objectif secondaire était d’évaluer le lien entre ces variables biologiques et l’aspect clinique de la décompensation schizophrénique. Méthodes: Au total, 41 patients ont été recrutés. Les analyses statistiques ont été effectuées sur 31 patients évalués à l’inclusion et à 3 semaines. Les données sociodémographiques, cliniques (évaluées par la PANSS) et biologiques étaient recueillies de manière prospective dans les dossiers des patients. La réponse thérapeutique était définie par une CGI-I ≤ 2 à 3 semaines. Des analyses de régression logistique univariées et multivariées ont été réalisées afin de déterminer les facteurs prédictifs de la réponse au traitement. Résultats: Le nombre de décompensations antérieures, (OR=1,78 IC95% [1,10-2,86] p=0,018) et le sous-score de la PANSS négative à baseline (OR=0,87 IC95 [0,78-0,98] p= 0,027) étaient prédictifs de la réponse thérapeutique à 3 semaines. En ce qui concerne les données biologiques à l’inclusion, les résultats montraient que le profil immuno-inflammatoire évalué par la CRP et la formule leucocytaire n’était pas prédictifs du caractère péjoratif de la réponse thérapeutique. Il n’a pas été retrouvé de corrélation significative entre les variables biologiques et les échelles cliniques. Conclusion: Nos résultats ont montré que le profil immuno-inflammatoire évalué par des variables biologiques de soins courants ne semble pas être prédictif de la réponse thérapeutique immédiate dans la décompensation schizophrénique. L’hs-CRP pourrait constituer un bio-marqueur d’intérêt de par sa meilleure sensibilité, et la CRP pourrait être prédictif de la réponse thérapeutique à plus long terme. Des études seraient nécessaires pour vérifier ces hypothèses. L’évaluation de bio-marqueurs et groupes de marqueurs prédictifs de la réponse thérapeutique dans la schizophrénie constitue un axe de recherche majeur, afin de mieux identifier et traiter plus efficacement les patients susceptibles de résister au traitement.
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MEDECINE GENERALE
/ 08-11-2018
Couetil Guillaume
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Introduction : Le recours aux Médecines Complémentaires et Alternatives (MCA) est en plein essor en France. En particulier, le recours aux guérisseurs, magnétiseurs et apparentés est toujours d’actualité. L’objectif de cette thèse est d’explorer les raisons amenant à consulter un guérisseur. Méthode : Il a été effectué une étude qualitative avec la réalisation de 14 entretiens semi dirigés en Bretagne dans les départements 35 et 22. Une analyse thématique des données avec double codage a été conduite. Résultats : Des facteurs de répulsion de la médecine conventionnelle amènent à recourir aux guérisseurs : l’incapacité à traiter des troubles chroniques, psychosomatiques et fonctionnels de même que des manquements de la médecine conventionnelle ou la méfiance envers les médicaments. Un autre facteur de recours est l’attraction vers les guérisseurs et les MCA en général. La volonté d’une médecine alternative à la médecine conventionnelle, avec une approche thérapeutique, philosophique différente. La personnalité du guérisseur, ainsi que la spécificité de sa pratique et sa polyvalence le rendent attractif. Discussion : La médecine intégrative mêlant MCA et médecine conventionnelle pourrait améliorer la prise en charge des patients. Il serait utile que les étudiants en médecine reçoivent une formation critique sur les MCA.
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Médecine générale
/ 08-11-2018
Soupène Anne
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Contexte La télémédecine en tant qu’outil quotidien doit être évaluée pour se développer. Objectif Notre objectif était d’évaluer la satisfaction des patients et des infirmières lors de l’utilisation de la télémédecine pour la prise en charge des plaies chroniques sur le lieu de vie, à domicile. Matériels et méthodes Une enquête rétrospective a été réalisée auprès des patients et infirmières ayant eu recours aux téléconsultations pour la prise en charge de plaies chroniques entre juillet 2014 et février 2017. Les patients décédés ou atteints de troubles cognitifs ont été exclus. L’enquête se rapportait aux téléconsultations réalisées entre, d’un côté, le patient et son infirmière sur le lieu de vie du patient, et l’équipe experte plaie chronique hospitalière de l’autre. Le questionnaire recouvrait 8 dimensions : satisfaction globale, efficacité, accessibilité, environnement physique, relation patient-soignant, technicité, coût et continuité des soins. Une échelle de Likert à 4 niveaux de satisfaction a été utilisée. En parallèle, la satisfaction des infirmiers a été analysée en utilisant le même questionnaire avec une dimension supplémentaire évaluée : la formation professionnelle. Résultats Sur 92 patients éligibles, 38 patients ont été exclus et 44 inclus. Le taux de participation des patients et infirmières étaient respectivement de 50% (22/44) et 21% (31/150). 86% (n=19) des patients et 90% (n=20) des infirmières étaient satisfaits ou très satisfaits de la prise en charge. 91% (n=20) des patients et 97% (n=30) des infirmières seraient satisfaits ou très satisfaits de poursuivre le suivi médical des plaies chroniques en télémédecine. 94% (n=29) des infirmières étaient satisfaites ou très satisfaites de la télémédecine pour la formation professionnelle en plaies chroniques. 97% (n=30) des infirmières recommanderaient la télémédecine à leurs collègues. Conclusion La télémédecine semble apporter satisfaction aux patients et infirmières pour la prise en charge des plaies chroniques directement sur le lieu de vie.
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