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Chirurgie dentaire
/ 05-01-2022
Pecchia Antoine
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L’objectif est de comparer l’étanchéité des restaurations réalisées avec une technique d’obturation conventionnelle et l’étanchéité des restaurations réalisées par injection de composite fluide et compact. 48 dents extraites ne présentant ni soin ni carie ni fracture ont été sélectionnées. Des cavités aux dimensions standardisées ont été réalisées sur chaque face proximale puis ont été obturées à l’aide de composite de type bulk fill. Les dents ont été préparées, trempées dans un colorant puis incluses dans de la résine. Elles ont été coupées afin d’observer l’étanchéité périphérique au niveau du joint de l’obturation. Les tranches ont ensuite été polies à l’aide de disques de polissage de différentes granulométries. Une fois les coupes devenues propres à l’observation, celles-ci ont été étudiées à l’aide d’une loupe binoculaire. La profondeur de pénétration a été évaluée pour les deux groupes d’échantillons, et relevée dans un tableau. Cette étude a été réalisée au sein du laboratoire de l’Institut National de Sciences Appliquées (INSA), équipé d’une micro-tronçonneuse Accutom-5 ainsi que d’une loupe binoculaire. Au sein du premier groupe, correspondant à la technique conventionnelle, 17 obturations sur les 48 ne présentaient aucune infiltration. Au sein du second groupe, correspondant à la technique de co- photopolymérisation, 50% des obturations ne présentaient aucune infiltration. Un test du χ2 a été réalisé avec comme hypothèse nulle que les pourcentages de dents étanches pour chaque population dont étaient extraits les échantillons étaient égaux. Le résultat suivant a été obtenu : χ2 = 1,657. A l’issue du test du χ2, le calcul du degré de significativité p (ou p-value) a permis d’accepter l’hypothèse H0 au risque de première espèce 5%. Ce degré calculé donnait p = 0,149, ce qui ne permettait pas d’émettre une quelconque présomption contre H0, ni d’accepter l’hypothèse alternative H1. Il n’existe pas de différence significative entre les deux techniques d’obturation des cavités proximales (p-value = 0,149), cependant il n’est pas possible d’affirmer avec cette seule étude que la technique de co-photopolymérisation est équivalente à la technique classique. Le pourcentage de dents étanches est supérieur (50% contre 35%) mais cela ne suffit pas à affirmer avec certitude que l’étanchéité est meilleure ou au moins équivalente.
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Chirurgie dentaire
/ 05-01-2022
Bléas Vianney
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L’objectif est de comparer l’étanchéité des restaurations réalisées avec une technique d’obturation conventionnelle et l’étanchéité des restaurations réalisées par injection de composite fluide et compact. 48 dents extraites ne présentant ni soin ni carie ni fracture ont été sélectionnées. Des cavités aux dimensions standardisées ont été réalisées sur chaque face proximale puis ont été obturées à l’aide de composite de type bulk fill. Les dents ont été préparées, trempées dans un colorant puis incluses dans de la résine. Elles ont été coupées afin d’observer l’étanchéité périphérique au niveau du joint de l’obturation. Les tranches ont ensuite été polies à l’aide de disques de polissage de différentes granulométries. Une fois les coupes devenues propres à l’observation, celles-ci ont été étudiées à l’aide d’une loupe binoculaire. La profondeur de pénétration a été évaluée pour les deux groupes d’échantillons, et relevée dans un tableau. Cette étude a été réalisée au sein du laboratoire de l’Institut National de Sciences Appliquées (INSA), équipé d’une micro-tronçonneuse Accutom-5 ainsi que d’une loupe binoculaire. Au sein du premier groupe, correspondant à la technique conventionnelle, 17 obturations sur les 48 ne présentaient aucune infiltration. Au sein du second groupe, correspondant à la technique de co- photopolymérisation, 50% des obturations ne présentaient aucune infiltration. Un test du χ2 a été réalisé avec comme hypothèse nulle que les pourcentages de dents étanches pour chaque population dont étaient extraits les échantillons étaient égaux. Le résultat suivant a été obtenu : χ2 = 1,657. A l’issue du test du χ2, le calcul du degré de significativité p (ou p-value) a permis d’accepter l’hypothèse H0 au risque de première espèce 5%. Ce degré calculé donnait p = 0,149, ce qui ne permettait pas d’émettre une quelconque présomption contre H0, ni d’accepter l’hypothèse alternative H1. Il n’existe pas de différence significative entre les deux techniques d’obturation des cavités proximales (p-value = 0,149), cependant il n’est pas possible d’affirmer avec cette seule étude que la technique de co-photopolymérisation est équivalente à la technique classique. Le pourcentage de dents étanches est supérieur (50% contre 35%) mais cela ne suffit pas à affirmer avec certitude que l’étanchéité est meilleure ou au moins équivalente.
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Chirurgie dentaire
/ 04-01-2022
Ferri Lucas
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L’avulsion de l’organe dentaire entraîne une résorption de la corticale vestibulaire traduite par l’apparition d’une dépression vestibulaire en regard de la dent extraite. Le remplacement de la dent manquante par un implant nécessite le comblement de cette concavité pour assurer la pérennité du traitement implanto-prothétique. L’apparition de nouveaux biomatériaux, tels que le Fibro-Gide® (Geistlich Pharma), permettent de s’affranchir d’un site donneur et propose une cicatrisation plus rapide que les techniques de conjonctifs enfouis et de régénérations osseuses guidées habituelles. Cette étude rétrospective de 3 cas cliniques réalisée au Centre de Soins Dentaires du CHU de Rennes a pour but de tester l’intérêt de ces nouvelles technologies dans une pratique courante. Elle pourra servir de prélude à une étude plus conséquente et à plus long terme.
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