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Chirurgie dentaire
/ 30-11-2022
Fortin Tony
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En France, la consommation de cannabis progresse chaque année. Les chirurgiens-dentistes sont amenés à soigner de plus en plus de patients consommateurs de cette substance, dont le rôle dans les échecs d’anesthésie est suspecté depuis de nombreuses années par le corps odontologique. L’objectif de cette étude était d’examiner le rôle supposé du cannabis dans l’échec de l’anesthésie locale dentaire par une cohorte recrutée sur un critère d’exposition au cannabis ou non, pour des soins nécessitant une anesthésie para apicale, dans le cadre de consultations d’urgence et de soins courants. L’étude a montré que la douleur était réfractaire à l’anesthésie dans les contextes d’urgence, et également dans le contexte d’une consommation cannabique, mais ceci à égalité entre les urgences et les soins courants.
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Chirurgie dentaire
/ 29-11-2022
El Messaoudi Wannis
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La convention nationale des chirurgiens-dentistes organisant les rapports entre les praticiens libéraux et l’Assurance maladie signée le 18 juin 2018 par les différents partenaires conventionnels, amorce un virage important dans l’exercice de la profession. La prise en charge complète par l’Assurance maladie et les organismes complémentaires de nombreux soins prothétiques, la revalorisation tarifaire des soins restaurateurs souhaitée par les praticiens depuis de nombreuses années et les différentes mesures prises pour valoriser et développer la prévention devraient à terme permettre un meilleur accès aux soins et faire évoluer la pratique vers une dentisterie plus conservatrice et davantage en accord avec les données acquises de la science. Étant appliquée depuis maintenant plus de trois ans, il nous a paru intéressant de savoir si l'activité des chirurgiens-dentistes du département d’Ille-et-Vilaine a évolué durant cette période, et dans l'affirmative, savoir si son évolution suit les objectifs que cette convention s’est fixée : Observe-t-on une amélioration de l’accès aux soins? Observe-t-on un rééquilibrage de l’activité vers une médecine bucco-dentaire plus conservatrice? Observe-t-on une hausse des actes de prophylaxie et de prévention ainsi qu’une meilleure prise en charge des personnes en situation spécifique?
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Chirurgie dentaire
/ 29-11-2022
Labussière Louis
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La convention nationale des chirurgiens-dentistes organisant les rapports entre les praticiens libéraux et l’Assurance maladie signée le 18 juin 2018 par les différents partenaires conventionnels, amorce un virage important dans l’exercice de la profession. La prise en charge complète par l’Assurance maladie et les organismes complémentaires de nombreux soins prothétiques, la revalorisation tarifaire des soins restaurateurs souhaitée par les praticiens depuis de nombreuses années et les différentes mesures prises pour valoriser et développer la prévention devraient à terme permettre un meilleur accès aux soins et faire évoluer la pratique vers une dentisterie plus conservatrice et davantage en accord avec les données acquises de la science. Étant appliquée depuis maintenant plus de trois ans, il nous a paru intéressant de savoir si l'activité des chirurgiens-dentistes du département d’Ille-et-Vilaine a évolué durant cette période, et dans l'affirmative, savoir si son évolution suit les objectifs que cette convention s’est fixée : Observe-t-on une amélioration de l’accès aux soins? Observe-t-on un rééquilibrage de l’activité vers une médecine bucco-dentaire plus conservatrice? Observe-t-on une hausse des actes de prophylaxie et de prévention ainsi qu’une meilleure prise en charge des personnes en situation spécifique?
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Médecine générale
/ 29-11-2022
Jouault Jean-Baptiste
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Introduction : Des recommandations établies par les sociétés savantes de cardiologie codifient le bilan à réaliser lors de la visite d’absence de contre-indication (VACI) à la pratique du sport en compétition. Cependant, ceci n’a pas fait baisser l’incidence des morts subites lors de cette pratique. Avant d’incriminer le contenu de la visite, nous souhaitions savoir si ces recommandations étaient suivies. Méthodes : L’objectif de cette étude était de connaitre le bilan réalisé lors de la VACI grâce à un questionnaire distribué aux 4534 participants de l’édition 2021 de l’événement sportif « Tout Rennes Court » (TRC). Résultats : 1086 réponses ont été analysées. L’âge moyen des participants étaient de 39,2±13,4 ans, dont 57,6% d’hommes, 83,1% ayant couru le 10 km. La majorité ne présentait pas de facteur de risque (61,4%) ni de pathologie cardio-vasculaire (92,2%). 76,9% des participants avaient consulté uniquement pour la réalisation du certificat, principalement un médecin généraliste (89,9%). Un examen clinique a été réalisé chez 91,2% des participants, 29,6% ont bénéficiés d’un ECG lors de la visite relative à TRC mais 81,7% des participants avaient déjà bénéficié d’un ECG et 70,5% d’un ECG dont l’ancienneté était compatible avec les recommandations. 32 ,8% des sujets avaient déjà bénéficiés d’une épreuve d’effort. L’indication de réalisation ou non d’une épreuve d’effort semblait cohérente pour 88,1% des cas par rapport aux antécédents et facteurs de risque rapportés. Conclusions : La majorité des participants avaient bénéficiés de la réalisation d’un ECG, les épreuves d’effort semblent adaptées aux risques cardio-vasculaires des participants.
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Médecine générale
/ 24-11-2022
Junquet Hélène
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Introduction : La chirurgie bariatrique représente une méthode efficace à long terme pour lutter contre l’obésité, pathologie complexe et plurifactorielle. Néanmoins en raison des complications chirurgicales et nutritionnelles qu’elle peut engendrer, elle nécessite un suivi à vie. L’objectif principal de cette étude était d’analyser le point de vue des médecins généralistes sur leur rôle dans la prise en charge des patients dans le parcours de soins en chirurgie bariatrique. Méthodes : Etude mixte avec une 1ère partie observationnelle, déclarative, basée sur un questionnaire en ligne sur les connaissances théoriques et les pratiques professionnelles des médecins généralistes. Pour la 2e partie, étude qualitative, descriptive basée sur des entretiens semi dirigés individuels auprès de 11 médecins généralistes exerçant en Loire Atlantique ou dans le Morbihan. Résultats : 53 médecins généralistes ont répondu au questionnaire. Parmi eux 81 % connaissent l’offre de soins en chirurgie bariatrique dans leur région. Dans la moitié des cas, ce sont eux qui sont à l’initiative de la prise en charge dans le parcours de chirurgie bariatrique. 64% des médecins répondants éprouvent une insatisfaction dans leur rôle actuel dans le suivi des patients opérés d’une chirurgie bariatrique. Celle-ci est corrélée à la quantité d’informations reçues (p<0.01) et 66% trouvent qu’ils ne sont pas suffisamment renseignés par rapport à la prise en charge de leur patient. 90.6% n’ont pas suivi de formation concernant l’accompagnement des patients en post chirurgie bariatrique. Lors des entretiens, tous se disent prêt à suivre leurs patients si on leur en donne les moyens. Ils aimeraient être intégrés tout au long de la prise en charge du patient avec un rôle de conseil, d’information et de coordination. L’harmonisation de l’information donnée au médecin traitant doit être développée. Un carnet patient et une conduite à tenir synthétique pourraient être distribués par les établissements proposant des interventions de chirurgie bariatrique. Conclusion : L’analyse de l’opinion des médecins généralistes permet de proposer des préconisations pour améliorer leur intégration et la prise en charge globale des patients dans le parcours de soins de chirurgie bariatrique.
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Médecine
/ 24-11-2022
Chéreau Estelle
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Introduction : Les Directives Anticipées (DA) sont peu utilisées par les français et notamment les résidents d’EHPAD. Lors de l’épidémie de COVID, les médecins ont dû faire face à un nombre important de situations de fin de vie en EHPAD. Nous avons cherché à analyser les éléments pris en compte par les médecins dans les décisions de fin de vie et identifier la place des DA parmi ces éléments, en période COVID. Méthode : Nous avons étudié 12 cas de patients en fin de vie lors de la 2ème vague épidémique COVID. Des entretiens individuels semi-dirigés ont été menés auprès des médecins décisionnaires ; et les dossiers médicaux des patients étaient consultés par l’intermédiaire des médecins. Résultats : 2 patients avaient rédigé des DA ; 4 avaient fait part oralement de leurs souhaits de fin de vie aux médecins. Les médecins ont énoncé des difficultés liées au recueil des DA, à leur contenu et à leur caractère superflu et inadapté aux résidents d’EHPAD. La famille a eu une place centrale et son approbation était souvent recherchée. Médecins et familles se rassemblaient derrière la volonté d’une fin de vie sans douleur ni anxiété. Les médecins ont pu s’appuyer sur des collègues ou des spécialistes, et comptaient sur le regard des soignants. L’isolement lié au COVID a complexifié les décisions de fin de vie en amenant des questionnements éthiques, et les médecins ont tenté de préserver l’accompagnement par les familles. Conclusion : Les DA étaient peu fréquentes en EHPAD et leur utilité dans les décisions de fin de vie en période COVID est restée théorique. Leur forme ne correspond pas aux questionnements qui se posent, et une réflexion pourrait être menée pour modifier cet outil.
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Pharmacie
/ 24-11-2022
Lolon Rémi
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Les antipsychotiques à action prolongée (APAP) représente entre 20 et 30% des prescriptions d’antipsychotiques en France. Ces médicaments injectables de manière périodique présentent de nombreux avantages mais également des risques, évitables pour la plupart. Dans une perspective du développement de la pharmacie clinique en ville, l’objectif de ce travail est de proposer une synthèse des connaissances sur les APAPs ainsi que de proposer des recommandations de Bonnes Pratiques de Dispensation (BPD) pour le pharmacien d’officine. Celles-ci ont été établies après une enquête auprès de pharmaciens hospitaliers et sur l’avis d’un groupe d’expert composé de médecins psychiatres, pharmaciens hospitalier et pharmaciens d’officines en utilisant une méthode de Delphi.
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Médecine
/ 22-11-2022
Calvet Fanny
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Introduction : Cette loi est née suite au Grenelle des violences faites aux femmes. Elle encourage le signalement par le professionnel de santé au Procureur de la République des violences conjugales quand elles représentent un danger imminent pour la vie de la victime. Ceci avec, ou sans l’accord de la victime, s’il estime qu’elle est sous emprise. Nous nous sommes donc intéressés à l’accueil de cette loi parmi les médecins sensés l’appliquer Objectif : Discuter les conditions d’application de cette loi, son utilité et ses limites et les questionnements qu’elle soulève en termes de responsabilité médicale et de dimension éthique. Méthode : Une étude qualitative par entretien semi-dirigé auprès de 14 médecins : 6 médecins généralistes non formés aux violences conjugales et 8 médecins « experts » déjà impliqués dans la prise en charge des victimes de violence conjugale ; dans le Morbihan et l’Ille-et-Vilaine. Résultat et discussion : Cette loi n’est pas innovante légalement car l’alinéa 2 de l’article 226-14 du code pénal autorisait déjà ce signalement. Tous les médecins s’estiment prêt à l’utiliser même si ses conditions d’application sont restrictives avec la difficulté de l’estimation du danger. Sa réalisation sans l’accord de la victime soulève davantage de questionnements, entre l’obligation de porter secours, le respect de son autonomie et la préservation de la relation de confiance nécessaire au suivi. Cependant ils sont nombreux à estimer qu’en cas de danger important, une discussion prolongée et l’interrogation de ce refus pourra la plupart du temps permettre un accord. Elle engage évidemment la responsabilité légale du professionnel, mais ils se sentent protégés par les termes de la loi. Cette loi a une portée symbolique à travers l’inscription pour la première fois du principe d’emprise dans la loi, et le fait de réaffirmer au corps médical ce rôle qu’il peut légalement tenir dans l’accompagnement de la victime vers la justice. Sa mise en application nécessite des accords entre les différents acteurs pour pouvoir faciliter le parcours des victimes, une formation minimale des professionnels de santé et surtout des référents comme les médecins légistes et les structures dédiées. Conclusion : Cette loi vient réinterroger le rôle du médecin et la place du secret médical dans l’accompagnement des victimes de violence conjugale.
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Médecine
/ 22-11-2022
Cochain Léa
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Introduction : En France, les migrants sont confrontés à de nombreuses difficultés d’accès aux soins. Le centre médical Louis Guilloux (CMLG) est un centre pluriprofessionnel situé à Rennes dédié aux migrants primo-arrivants. Il propose un premier bilan de santé avant d’adresser les patients dans le droit commun en santé, sans que l’effectivité de ce rôle de passerelle n’ait été démontré. L’objectif principal de cette étude est d’évaluer le taux de suivi en médecine générale ambulatoire de patients migrants un an après leur dernière consultation au CMLG. Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude épidémiologique descriptive rétrospective et monocentrique chez les patients ayant consulté la dernière fois au CMLG en 2019. La recherche de consommation de soins a été réalisée à partir du Système National des Données de Santé (SNDS) via une extraction par la Caisse Nationale d’Assurance Maladie (CNAM). Les données ont été traitées et anonymisées par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) d’Ille-et-Vilaine. Résultats : 389 patients ont été inclus. 89 % de la population analysée avait consulté au moins un médecin généraliste dans l’année suivant son départ du CMLG. La fréquence moyenne était de 6,5 consultations par patient à un an contre 1,1 consultation chez les patients relevant du parcours de soins coordonnés avec un médecin traitant désigné. 57 % de la population éligible au parcours de soins coordonnés avait déclaré un médecin traitant. Le seul facteur socio-démographique significatif de non consultation à un an était la durée de suivi au CMLG : plus elle était longue, moins les patients consultaient en médecine générale (p = 0,0098). Conclusion : Les patients migrants initialement suivis au CMLG consultaient un an après leur départ plus souvent que la moyenne des patients en Bretagne et déclaraient moins souvent un médecin traitant que les patients français.
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Médecine
/ 22-11-2022
Autret Marie
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Contexte : La consultation de suivi est la plus fréquente en médecine générale. Elle permet la réévaluation du patient et de son traitement. En cas d’absence, le médecin traitant peut se faire remplacer par un médecin remplaçant. Objectif : Explorer les attentes des patients atteints d'une ou plusieurs pathologies chroniques lorsque la consultation de suivi est menée par un médecin remplaçant. Méthode : Étude qualitative réalisée à partir d’entretiens semi-dirigés. Résultats : 13 entretiens ont été analysés. La continuité des soins et de la prise en charge est la principale attente. Un second avis est apprécié. Des qualités relationnelles, du professionnalisme et une réponse ponctuelle à un besoin sont attendus. Les attentes varient en fonction de l'expérience des patients. Conclusion : Le médecin remplaçant permet d’assurer la continuité avec le médecin traitant. Son caractère ponctuel ne peut pas remplacer la relation patient-médecin traitant dans la durée.
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