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Pharmacie
/ 28-02-2023
Beust Roxane
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Le pharmacien d’officine est un acteur de santé majeur du système de soin français. Il est présent sur l’ensemble du territoire, facilement accessible et fait le lien entre les différents professionnels de santé. Avant 2020, ce métier était déjà en transformation avec l’apparition de nouvelles missions telles que les entretiens pharmaceutiques. C’est pendant la crise du Covid-19 que les pharmaciens d’officine ont su s’investir et se montrer essentiels pour une grande partie de la population en réalisant du gel hydro alcoolique, des tests antigéniques et des vaccinations et en distribuant masques, autotests etc… Ces 3 dernières années ont donc accéléré le développement du métier de pharmacien d’officine et ont inspiré de nouvelles perspectives pour la pharmacie d’officine, en témoigne la nouvelle convention pharmaceutique signée en 2022.
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Gynécologie-obstétrique
/ 13-06-2023
Corbel Elise
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Objectif : Evaluer la corrélation entre la distance crâne-périnée au début des efforts expulsifs et la durée des efforts expulsifs. Matériels et méthodes: Il s’agit d’une étude prospective incluant 286 parturientes au CHU de Rennes du 1er juillet 2020 au 4 avril 2021, à terme avec un fœtus en présentation céphalique. Une mesure échographique de la distance crâne-périnée a été réalisée au début des efforts expulsifs, en double aveugle. Nous avons calculé le coefficient de corrélation. Puis nous avons réalisé des analyses complémentaires par régression linéaire brute et ajustée sur des facteurs de confusion potentiels. Résultats : La durée des efforts expulsifs était en moyenne de 26.4 ± 19.4 min, plus importante pour les primipares. La distance crâne-périnée était en moyenne de 4.39 ± 1.3 cm, sans différence en fonction de la parité. La distance crâne-périnée était corrélée à la durée des efforts expulsifs (r = 0,28). Cette corrélation persistait dans le sous groupe des primipares. Conclusion: La distance crâne-périnée au début des efforts expulsifs est corrélée à la durée des efforts expulsifs. Cette donnée paraît importante pour guider la prise en charge lors du second stade du travail en cas de présence d’anomalies de l’enregistrement du rythme cardiaque fœtal, d’accouchement inopiné extra-hospitalier ou d’une contre-indication médicale aux efforts expulsifs.
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Médecine générale
/ 29-06-2023
Pezon Florian
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Galien, médecin du IIè siècle de notre ère, est resté au programme des universités jusqu’au XVIème siècle. Sa Méthode thérapeutique à Glaucon est un aide-mémoire destiné à l’un de ses disciples, « médecin généraliste ». Avec une méthode rationnelle héritée d’Hippocrate, Galien définit la maladie par la présence d’une lésion « sensible ». Car les sens du médecin sont ses instruments, avec l’interrogatoire. L’inspection et la palpation, particulièrement le pouls, sont les principaux temps de l’examen clinique, qui est répété dans le temps. Il permet d’établir un diagnostic localisé de la maladie mais aussi de la « nature particulière » du patient et un pronostic, qui rendent l’art « conjectural ». La thérapeutique, préventive ou curative permet le retour à l’état antérieur si elle est administrée au bon moment et en bonne quantité. Si les connaissances scientifiques de Galien sont dépassées, son examen clinique possède de nombreuses similitudes avec le nôtre et ses différentes réflexions sur son art gardent une « modernité » parfois surprenante.
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Médecine d'Urgence
/ 09-10-2023
Rouzé François
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Introduction et objectif : Les difficultés d’accès aux soins par la population est un objet de santé publique. Le Service d’Accès aux Soins (SAS), par l’intermédiaire de « l’appel santé 15 », est en déploiement progressif depuis 2021. Il permet une organisation des soins nonprogrammés, en plus d’une réponse à la demande de soins urgents. L’objectif est d’évaluer l’impact de la mise en place du SAS sur les décisions des régulateurs du SAMU 35 pour la régulation des enfants fébriles de 10 ans et moins. Méthodes : Il s’agissait d’une étude comparative avant/après déploiement du SAS. Une étude rétrospective, monocentrique et observationnelle réalisée d’après les Dossiers de régulations médicales du SAMU 35. Résultats : On retrouve une diminution significative du pourcentage de patients orientés vers les urgences (-9.7%), au profit de patients orientés vers leurs médecins ou bénéficiant de conseils simples. Conclusion : Le service d’accès aux soins semble avoir un effet bénéfique sur les décisions de régulation en préservant les urgences et en orientant les patients vers des filières de soins non programmés. Par l’intermédiaire de numéro unique 15, le SAMU n’est plus uniquement le recours pour des soins urgents et vitaux, mais également une passerelle de premiers secours pour les soins non programmés
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Pharmacie
/ 19-12-2023
Montier Alexis
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La pharmacie est un lieu d’échange, d’écoute, de conseils et de bienveillance. Pourtant, nous retrouvons au comptoir nombre de situations conflictuelles qui représentent une difficulté réelle à surmonter au quotidien et qui sont très mal vécues par l’équipe officinale. Incompréhensions, demandes illégales, mésusages, ordonnances falsifiées, trafics de médicaments et autres abus : tant de raisons qui justifient des refus récurrents de délivrance. Ces situations amènent de l’agressivité verbale, des insultes qui peuvent à tout instant faire basculer l’interaction vers la violence physique. Pour faire face, se synchroniser avec son patient, l’accepter inconditionnellement, savoir prendre du recul, sont autant d’exercices – empruntés à la boxe - fondés sur la communication non verbale. Aussi, pour dire stop, la solution repose finalement sur toute une stratégie verbale basée sur la psychologie des neurones miroirs, et qui est adaptable selon la situation rencontrée à la pharmacie.
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Pharmacie
/ 22-12-2023
Hakiki Khadidja
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L'évaluation du potentiel thérapeutique des plantes issues de la médecine traditionnelle algérienne telles que Artemisia herba alba, Anastatica hierochuntica, Urtica dioica, Marrubium vulgare, Atriplex halimus, Salvia officinalis, Trigonella foenum-graecum, Aristolochia longa, Alchemilla vulgaris, et Lavandula officinalis, pour traiter les maux de la femme tels que la dysménorrhée, l'endométriose, les infections urinaires et vaginales, le syndrome des ovaires polykystiques, l'infertilité, l'insuffisance de la lactation maternelle, le cancer du sein, les fibromes utérins et la ménopause, nécessite une analyse approfondie de chaque plante, de sa description botanique, de sa composition chimique et des éventuels effets indésirables associés. Cette recherche vise à intégrer la richesse de la médecine traditionnelle algérienne à la pharmacie contemporaine à travers une analyse approfondie d'études scientifiques et de corrélations avec d'autres plantes utilisées pour des affections similaires.
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Médecine intensive réanimation
/ 01-02-2024
Le Corre Alexia
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Introduction : La réalisation d’un scanner thoracique à la phase initiale de la prise en charge des patients en syndrome de détresse respiratoire aigüe (SDRA) est de plus en plus fréquente. Les dernières recommandations publiées en 2023 par l’ESICM questionnent le rôle du scanner dans l’identification des types et sous-types de SDRA, ainsi que de l’impact pronostic et thérapeutique pouvant découler d’une analyse plus fine de l’imagerie thoracique. En dehors du SDRA lié à une infection à COVID-19, la valeur prédictive du scanner précoce dans la prise en charge du SDRA reste indéterminée. Méthodes : Nous avons mené une étude rétrospective en réanimation médicale au CHU de Rennes incluant les patients pris en charge pour un SDRA non lié au COVID-19 sur la période janvier 2016 – janvier 2023, et ayant bénéficié d’un scanner thoracique dans les 48h qui suivaient le diagnostic de SDRA. Nous avons évalué la sévérité de l’atteinte parenchymateuse sur l’imagerie via un score semi-quantitatif - CT-SS (0-25) – réalisé par 2 réanimateurs entrainés. Le critère de jugement principal était défini par la mortalité à 90 jours. Secondairement, la mortalité à 28 jours, la durée de ventilation mécanique ainsi que les complications liées à la ventilation invasive ont été évaluées. Nous avons également exploré la relation entre la sévérité du scanner initial et l’altération des principaux paramètres ventilatoires. Résultats : Au total nous avons inclus 114 patients avec un score médian de sévérité scanographique à 18 [14-22] points sur 25. 58 patients (50,1%) présentaient une atteinte parenchymateuse définie comme sévère et 56 patients (49,9%) une atteinte non sévère. La mortalité à 90 jours était de 41.2% sans différence significative selon la sévérité initiale du scanner (Test du Log Rank, p-value = 0.84). L’étude des paramètres respiratoires des patients avec une atteinte scanographique sévère montrait des pressions de Plateau significativement plus élevées (26 [23-28] cmH20 vs 25 [20-26] cmH20, p-value = 0.01) ainsi qu’une compliance thoraco-pulmonaire plus abaissée (28.8 [23.1- 36.1] ml/cmH20 vs [25.8- 38.3] ml/cmH20, p-value= 0.05). Aucune corrélation significative n’a cependant été retrouvée entre le score de sévérité initial et les différents paramètres respiratoires mesurés le même jour. Conclusion : La sévérité initiale de l’atteinte parenchymateuse évaluée par le scanner dans les SDRA modérés à sévères n’est pas associée à la mortalité à 90 jours ni corrélée à l’altération des paramètres ventilatoires. L’évaluation précoce par scanner ne semble pas apporter de valeur prédictive sur l’évolution des patients en réanimation. Ces données vont dans le sens des dernières recommandations internationales de ne pas recommander en première intention le scanner dans cette situation
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médecine cardiovasculaire
/ 10-09-2024
De Vos Piet
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Introduction : La présence de troubles de la repolarisation à type d’ondes T négatives pathologiques sur un ECG de repos justifient la réalisation d’un bilan à recherche d’une cardiopathie sous-jacente avec notamment la réalisation d’une IRM myocardique. L’objectif de cette étude était de déterminer si l’intégration de paramètres échocardiographiques plus récents tels que le strain et le travail myocardique constituaient un moyen de dépistage suffisamment performant pour diminuer le recours aux IRM. Méthode : 183 athlètes avec des ondes T négatives pathologiques ayant bénéficié d’une échocardiographie et d’une IRM cardiaque au CHU de Rennes ont été inclus. Les patients ont été classés au terme du bilan en patients non pathologiques ou pathologiques. Résultats : Sur les 183 patients, 63 cardiopathies (34,4%) ont été diagnostiquées dont 40 cas de cardiomyopathies hypertrophiques (CMH), 6 cas de cardiomyopathies dilatées (CMD), 5 cas de Non compaction du Ventricule Gauche (NCVG), 6 dysplasies arythmogènes du ventricule droit (DAVD), 5 fibroses myocardiques isolés non ischémique et une séquelle d’infarctus,. Le strain et les différents paramètres de travail myocardique Work étaient significativement abaissés dans le groupe pathologique. Cependant ces paramètres ne permettaient pas de dépister l’ensemble des cardiopathies. Conclusion : Notre étude confirme l'importance d'une évaluation approfondie des PTWI. Le Strain et de Myocardial Work apportent quelques éléments au dépistage mais ne permettent pas de se passer de l’IRM cardiaque.
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Oto-Rhino-Laryngologie
/ 13-09-2024
Bernard-Le Liboux Nicolas
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Objectifs : De nombreuses études semblent prometteuses concernant la contribution d’un réglage tonotopique dans la reconnaissance de la parole dans le bruit chez les patients nouvellement implantés cochléaires. Cependant, ce réglage a été comparé à différentes stratégies de codage (CIS, HDCIS, FSP, FS4, ou mixte), couvrant différents spectres fréquentiels. Le but de cette étude était d’évaluer l’impact des indices de structure fine sur la perception de la parole dans le bruit et dans le silence, ainsi que sur la perception de la musique, chez les nouveaux implantés cochléaires bénéficiant d’un réglage tonotopique. Matériels et méthodes : Une étude prospective, randomisée, en double aveugle et en cross-over de 23 patients implantés cochléaires a été réalisée d’avril 2023 à juin 2024. Une carte tonotopique était établie pour chaque patient, à l’aide d’un scanner et d’un logiciel de reconstruction basé sur la fonction de Greenwood. Chaque patient était randomisé pour recevoir un réglage en structure fine suivi d’un réglage conventionnel, ou vice versa. Chaque réglage était maintenu pendant 6 semaines. Des tests de perception de la parole et de la musique étaient réalisés au terme de ces 6 semaines. Résultats : Avec un réglage tonotopique, les indices de structure fine ont significativement amélioré la reconnaissance de la parole dans le bruit pour de hauts rapports signal sur bruit (SNR=+9, p = 0.006, effet moyen (ME) = 6.7%, taille d’effet standardisée (SES) = 0.71). Un effet période significatif a été observé au-delà d’un SNR de +6dB (SNR=+9dB, p=0.006 ; SNR=+6dB, p=0.022) sans effet d’interaction. La reconnaissance de la parole dans le silence et l’audiométrie tonale n’étaient pas significativement améliorées par la stratégie en structure fine, en réglage tonotopique. La discrimination de hauteur et l’identification des contours mélodiques étaient significativement améliorées par les indices de structure fine (ME=8.5, p=0.041 pour une F0 standard de 220Hz, ME=6.7%, p=0.050 pour les sons complexes avec harmoniques non résolues). Aucune amélioration n’a été observée pour l’évaluation qualitative multidimensionnelle de Gabrielsson ni pour la reconnaissance mélodique. Conclusion : Les stratégies de structure fine semblent pertinentes pour les nouveaux patients implantés cochléaires avec un réglage tonotopique, car elles améliorent les résultats dans le bruit, et la perception des hauteurs et des sons complexes, sans compromettre la compréhension dans le silence.
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Chirurgie dentaire
/ 20-09-2024
Péan Mathias
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Les kystes et tumeurs des maxillaires sont assez fréquents chez les enfants et adolescents, il semble donc important de pouvoir les diagnostiquer précocement afin de limiter leur impact sur la croissance des jeunes patients (développement des bases osseuses, impact sur l'évolution des germes et l'éruption des dents permanentes notamment). L'objectif de ce travail est de faire le point sur les étiologies, les caractéristiques cliniques et radiologiques, les traitements et les conséquences des kystes et tumeurs des maxillaires chez l'enfant à travers une revue de la littérature. Ces connaissances permettront au praticien de mieux appréhender leur prise en charge.
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