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Auteur
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Médecine
/ 12-10-2023
Guillemard Lucie
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Introduction : L’anaphylaxie est une pathologie rare mais grave. Elle est relativement bien codifiée en médecine hospitalière, moins en ambulatoire. Bien que les médecins généralistes aient un rôle central dans la gestion et le suivi des patients atteints d'anaphylaxie, leur intégration dans cette démarche peut s'avérer complexe. Cette étude vise à explorer la position qu'occupent les médecins généralistes à travers leurs pratiques et le rôle qu'ils pensent jouer auprès des patients à haut risque allergique. Méthode : Une étude qualitative basée sur des entretiens semi-dirigés individuels a été entreprise auprès de 14 médecins généralistes en Bretagne. Le recrutement s'est déroulé de décembre 2022 à juin 2023. L’analyse s’est faite par approche inductive et thématique pour permettre une modélisation selon la théorie ancrée. Résultats : La place du médecin généraliste dans la gestion de l'anaphylaxie était modulée par des défis et des attentes, liés à leur propre conception de l'allergie sévère. Elle était définie sur le pronostic fonctionnel ou sur le pronostic vital. Leurs pratiques et leurs rôles étaient hétérogènes. Les difficultés rencontrées se sont manifestées dans la relation avec les patients, les allergologues ou dans leur propre gestion de la pathologie. Des attentes et des solutions ont été proposées pour contrer ces obstacles. Conclusion : L'anaphylaxie, en situation d'urgence ou de suivi, demeure un motif de consultation complexe pour les médecins généralistes. Leurs divergences d’opinions quant à leurs missions et l’hétérogénéité de leurs pratiques soulignent la nécessité de développer des stratégies pour améliorer le quotidien des praticiens. Leur place demande encore à être précisée dans le réseau de soins. La sensibilisation et la formation des médecins généralistes via une meilleure communication avec les allergologues pourraient en constituer le point de départ.
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Médecine
/ 11-10-2023
Billard Félix
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L’hypertrophie bégnine de la prostate (HBP) est une pathologie fréquente dans la population générale, principalement chez l’homme de plus de 50 ans, liée au développement d’un adénome prostatique responsable d’un obstacle chronique à la vidange vésicale. Elle entraine de nombreux symptômes urinaires et impacte négativement la qualité de vie des patients. Son traitement est en premier lieu médicamenteux mais peut nécessiter un traitement invasif en cas d’efficacité insuffisante. La chirurgie est alors le traitement de référence, cependant elle expose à des effets indésirables. Ces dernières années, l’embolisation des artères prostatiques (EAP) est apparue comme une alternative à la chirurgie de l’adénome prostatique. Dans ce travail, nous avons voulus en évaluer l’efficacité sur la base du score IPSS (International Prostate Score Syndrome) et la Qol (Quality Of Life) chez 43 patients embolisés au CHU de Rennes entre 2018 et 2023.
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Médecine d'urgence
/ 11-10-2023
Kam Valentin
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La pédiatrie est un secteur médical à haut risque d’erreur médicamenteuse. L’impact de ces erreurs et leurs origines sont étudiés dans la littérature, et plusieurs études ont pu mettre en évidence une réduction des temps de préparation, de délivrance et du taux d’erreur médicamenteuse via l’utilisation d’aides cognitives. Ces aides cognitives, à l’ère des nouvelles technologies, se présentent le plus souvent sous la forme d’applications numériques disponibles sur nos smartphones. L’objectif de notre travail a été de créer une application locale, afin d’harmoniser les protocoles de prise en charge et de préparation médicamenteuse, autour d’une même référence, la réanimation pédiatrique du CHU Rennais. Afin de développer une application qui soit en adéquation avec les habitudes et attentes des potentiels futurs utilisateurs, nous avons publié un questionnaire destiné aux médecins et paramédicaux de la subdivision. Nous avons également passé en revue les aides cognitives déjà proposées sur le marché des applications mobiles, afin d’en tirer les éléments nous paraissant les plus pertinents, et d’en améliorer les capacités. Notre application demande une mise à l’épreuve, pour laquelle nous avons réfléchi à un protocole d’étude impliquant les potentiels futurs utilisateurs, afin d’avoir des retours sur son efficacité et sa sécurité.
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ANATOMIE PATHOLOGIQUE
/ 11-10-2023
Guitton Théo
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Contexte : Le cancer colorectal est un des cancers les plus fréquents. En France, il est le deuxième cancer chez les femmes et le troisième chez les hommes. La prise en charge dépend du stade de la maladie. Quand les conditions le permettent, la résection chirurgicale est réalisée. Pour compléter la prise en charge oncologique, le statut mutationnel RAS et BRAF ainsi que le statut MRR/MSI sont nécessaires. L’institut national du cancer recommande actuellement une évaluation du statut MMR/MSI soit par l’immunohistochimie de 4 protéines (MLH1, PMS2, MSH2 et MSH6) soit par réalisation d’une polymérase chain reaction (PCR). Le travail de ma thèse se déroule en 2 parties : la première consistait à faire un état des lieux du testing MSI au CHU de Rennes entre 2017 et 2022 et la seconde à réaliser une revue de la littérature systématique sur la prédiction du statut MSI par l’intelligence artificielle (IA). Etat des lieux : De mai 2017 jusqu’à octobre 2022, 1838 tumeurs colorectales ont été prises en charge en pour testing MMR/MSI au CHU de Rennes. Les biopsies étaient minoritaires (40%) comparées aux pièces opératoires (60%).Parmi les tumeurs, 13,9 % présentaient statut d-MMR (non contributifs 3%) et 15 % un statut MSI (non contributifs 5.6%). On observait 1,6 % de cas discordants entre les deux techniques. Revue de la littérature : Elle a été réalisée pour évaluer le rôle de l'IA pour prédire le statut MSI, les mutations KRAS et BRAF dans le cancer colorectal. Les études publiées dans PubMed jusqu'en juin 2023 ont été incluses (n=16) et nous avons rapporté le risque de biais et la performance de chaque étude. Certaines études ont été affectées par le nombre réduit d’images incluses dans l'ensemble de données et l'absence de cohortes de validation externes. Les modèles de deep learning pour le statut d-MMR/MSI ont montré une bonne performance sur les cohortes d'entraînement (AUC moyenne = 0,89, [0,74-0,96]) mais légèrement moins que prévu sur les cohortes de validation lorsqu'elles étaient disponibles (AUC moyenne = 0,82, [0,63-0,96]). Contrairement au statut MSI, la prédiction des mutations KRAS et BRAF a été moins étudiée avec une méthodologie moins robuste. La performance était plus faible avec un maximum de 0,77 dans la cohorte d'entraînement et de 0,58 dans la cohorte de validation pour KRAS et une AUC de 0,82 dans la cohorte d'entraînement pour BRAF
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Radiologie et Imagerie Médciale
/ 10-10-2023
Voisin Steven
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Introduction : Un outil de fusion d'images avec codage couleur automatisé (FIACC) a récemment été mis au point pour le suivi diagnostique par IRM de la sclérose en plaques. Via une fusion dans les 3 plans des images de 2 examens différents et un traitement algorithmique du signal, il met en évidence les modifications de lésions par cartographie couleur. Initialement développé pour les séquences FLAIR (pondérée T2), son utilisation quotidienne nous a amené à le tester sur des séquences pondérées en T1 après injection de gadolinium dans le suivi d'autres pathologies intracrâniennes, notamment tumorales. L'objectif principal de cette étude est d'utiliser cet outil d'imagerie FIACC pour évaluer sa capacité à améliorer la détection de la progression en IRM des méningiomes intracrâniens traités par radiothérapie, sur des séquences pondérées T1 après injection de gadolinium et saturation de la graisse. Matériel et méthodes : Deux radiologues ont comparé rétrospectivement et en aveugle 202 IRM de 101 patients présentant un ou plusieurs méningiomes irradiés. Une première lecture a été réalisée de manière conventionnelle sur le PACS, puis une seconde en utilisant l'outil FIACC. L’annotation diagnostic de ces IRM (diminution, stabilité, progression), l’indice de confiance au diagnostic (1 à 5) selon une échelle subjective de Likert, ainsi que la mesure du temps total d'interprétation ont été saisi. Ces deux lectures ont été réalisées à au moins 8 semaines d'intervalle, indépendamment par chaque radiologue et sur la même console. Résultats : La concordance inter observateur était bonne lors de la lecture à l’aide de l’outil FIACC (k = 0,64, p < 0,01), alors qu’elle était faible lors de la lecture conventionnelle (k = 0,38, p < 0,01). Le taux de diagnostics correctement classés était plus élevé pour les deux lecteurs (93% vs 88% pour le 1er lecteur et 87% vs 82% pour le 2ème lecteur), avec une concordance bonne à excellente selon le radiologue (k = 0,82 vs 0,62 pour le lecteur 1 ; k = 0,75 vs 0,64 pour le lecteur 2) lors de l’utilisation de l’outil FIACC. En tenant compte du temps de prétraitement de l'image, le temps d'interprétation n’a pas augmenté. Seul le lecteur 2 a bénéficié d'une réduction de temps significative (116 ± 36 vs. 157 ± 51 secondes, p < 0,01) lors de la session avec l’outil FIACC. L'indice de confiance au diagnostic n’a pas diminué. Il s'est amélioré significativement de 0,3 point seulement pour le lecteur 2 (4,7 ± 0,5 vs. 4,4 ± 0,8, p < 0,01). Conclusion : Comparativement à une lecture conventionnelle, l'utilisation d'un outil de fusion d’image avec codage couleur automatisé (FIACC) a amélioré l’évaluation diagnostic du suivi IRM des méningiomes irradiés, en particulier dans la détection de la progression, avec un accord inter observateur bon, le tout sans augmenter le temps d'interprétation.
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Chirurgie dentaire
/ 10-10-2023
Orain Pauline
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Introduction: La transmission aéroportée dans les cabinets dentaires est un enjeu de santé publique, en particulier pour les maladies infectieuses comme la COVID-19. Les aérosols sont des vecteurs potentiels de contamination, nécessitant une ventilation adéquate. Les cabinets dentaires ont été temporairement fermés en raison de la pandémie de la COVID-19, mettant en évidence l'importance de l'aération. Bien que les procédures dentaires génèrent des aérosols, leur impact sur la transmission est faible par rapport aux aérosols produits par les patients. La qualité de l'air, mesurée par le CO2, est cruciale pour évaluer le risque. Diverses méthodes, comme les filtres HEPA, peuvent améliorer la qualité de l'air, mais la ventilation reste essentielle. L’étude en cours utilise un capteur de CO2 pour évaluer l'efficacité de la ventilation et renforcer les mesures de prévention des infections en cabinet dentaire. Matériel et méthodes: Une étude de type cohorte en simple aveugle a été mise en place au Centre de Soins Dentaires de Rennes du 21/03/2022 au 15/04/2022. Le taux de CO2 était relevé toutes les minutes entre 9h et 18h30 (heures d’utilisation des boxes du CSD). Nous avons utilisé le capteur ARANET 4 (fabricant SAF Tehnika) nous ayant permis de mesurer le niveau de CO2, la température, et l’humidité.Résultats et discussion: Cette étude visait à évaluer l'impact de différentes méthodes de prévention sur la qualité de l'air dans les salles de soin dentaire en mesurant les concentrations en CO2. Les résultats ont montré que l'intervention avec présentation orale a significativement amélioré la qualité de l'air en augmentant les valeurs acceptables de CO2 (400-800 ppm), tandis que l'intervention avec affiche n'a eu qu'un effet limité. Les variations saisonnières et les comportements liés aux masques FFP2 ont également influencé les résultats. Pour garantir la validité des conclusions, il est essentiel de maintenir des pratiques de prévention régulières et d'adopter des méthodes de recherche rigoureuses. Conclusion: Cette étude met en lumière l'importance de la ventilation dans les cabinets dentaires pour réduire la transmission aéroportée. L’utilisation de capteurs de CO2 a permis de sensibiliser les praticiens à la mauvaise ventilation de certaines salles de soin. Une formation et une sensibilisation accrues sont nécessaires. Les capteurs de CO2 sont un outil utile pour surveiller et améliorer la qualité de l'air dans les cabinets dentaires. L'ouverture des portes et fenêtres pour le renouvellement de l'air est efficace mais dépendante des conditions météorologiques, tandis que l'utilisation de filtres performants dans les systèmes de ventilation peut également contribuer à une meilleure qualité de l'air. En résumé, la gestion de la ventilation est cruciale pour prévenir la transmission du coronavirus dans les cabinets dentaires
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Chirurgie dentaire
/ 10-10-2023
Amice Angélique
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Introduction: La transmission aéroportée dans les cabinets dentaires est un enjeu de santé publique, en particulier pour les maladies infectieuses comme la COVID-19. Les aérosols sont des vecteurs potentiels de contamination, nécessitant une ventilation adéquate. Les cabinets dentaires ont été temporairement fermés en raison de la pandémie de la COVID-19, mettant en évidence l'importance de l'aération. Bien que les procédures dentaires génèrent des aérosols, leur impact sur la transmission est faible par rapport aux aérosols produits par les patients. La qualité de l'air, mesurée par le CO2, est cruciale pour évaluer le risque. Diverses méthodes, comme les filtres HEPA, peuvent améliorer la qualité de l'air, mais la ventilation reste essentielle. L’étude en cours utilise un capteur de CO2 pour évaluer l'efficacité de la ventilation et renforcer les mesures de prévention des infections en cabinet dentaire. Matériel et méthodes: Une étude de type cohorte en simple aveugle a été mise en place au Centre de Soins Dentaires de Rennes du 21/03/2022 au 15/04/2022. Le taux de CO2 était relevé toutes les minutes entre 9h et 18h30 (heures d’utilisation des boxes du CSD). Nous avons utilisé le capteur ARANET 4 (fabricant SAF Tehnika) nous ayant permis de mesurer le niveau de CO2, la température, et l’humidité.Résultats et discussion: Cette étude visait à évaluer l'impact de différentes méthodes de prévention sur la qualité de l'air dans les salles de soin dentaire en mesurant les concentrations en CO2. Les résultats ont montré que l'intervention avec présentation orale a significativement amélioré la qualité de l'air en augmentant les valeurs acceptables de CO2 (400-800 ppm), tandis que l'intervention avec affiche n'a eu qu'un effet limité. Les variations saisonnières et les comportements liés aux masques FFP2 ont également influencé les résultats. Pour garantir la validité des conclusions, il est essentiel de maintenir des pratiques de prévention régulières et d'adopter des méthodes de recherche rigoureuses. Conclusion: Cette étude met en lumière l'importance de la ventilation dans les cabinets dentaires pour réduire la transmission aéroportée. L’utilisation de capteurs de CO2 a permis de sensibiliser les praticiens à la mauvaise ventilation de certaines salles de soin. Une formation et une sensibilisation accrues sont nécessaires. Les capteurs de CO2 sont un outil utile pour surveiller et améliorer la qualité de l'air dans les cabinets dentaires. L'ouverture des portes et fenêtres pour le renouvellement de l'air est efficace mais dépendante des conditions météorologiques, tandis que l'utilisation de filtres performants dans les systèmes de ventilation peut également contribuer à une meilleure qualité de l'air. En résumé, la gestion de la ventilation est cruciale pour prévenir la transmission du coronavirus dans les cabinets dentaires
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Médecine
/ 10-10-2023
Grelet Jeanne
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La plupart des patients sortent d’hospitalisation avec des prescriptions d’examens de biologie, d’imageries ou des consultations à réaliser en ambulatoire. Le prescripteur hospitalier n’est pas toujours informé de la réalisation de ces examens. L’objectif était d’étudier la réalisation des examens complémentaires et des consultations programmés à la sortie d’hospitalisation d’un service de médecine, appliqué aux pathologies les plus fréquentes, et d’observer le suivi mis en place par les médecins généralistes. Il s’agit d’une étude quantitative de 51 dossiers, complété par un questionnaire adressé aux médecins généralistes des patients concernés. L’analyse des dossiers et des 31 réponses aux questionnaires ont montré que 88 % des biologies, 75% des consultations et 83 % des HDJ prescrites ont été réalisées. Concernant les imageries, le taux était variable selon le type d’examen. Ces résultats suggèrent que le relais entre l’hôpital et l’ambulatoire se fait correctement, avec une attention à apporter pour clarifier le rôle de chacun.
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DOCTEUR EN MÉDECINE
/ 10-10-2023
L'Her Floriane
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L’ECMO veino-artérielle (ECMO VA) est une thérapeutique de sauvetage indiquée chez les patients présentant une défaillance cardiaque réfractaire. Beaucoup vont développer une insuffisance rénale aiguë sévère au point de nécessiter la mise en route d’une épuration extra-rénale (EER). Associer deux circulations extra-corporelles aux risques hémorragiques et infectieux importants et aux fonctionnements très différents est difficile à appréhender, d’autant qu’il n’existe que très peu de données. L’objectif ce cette étude est de comparer les complications hémorragiques, infectieuses et fonctionnelles en fonction du branchement du circuit de dialyse en série sur l’ECMO VA ou en parallèle sur un cathéter de dialyse distinct. L’étude est rétrospective et monocentrique utilisant la base de données d’ECMO du CHU de Rennes. En conclusion, il n’y a pas de différence significative en termes de complications hémorragiques, infectieuses ou de dysfonction des circuits.
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MEDECINE - Rhumatologie
/ 10-10-2023
Tabary Solène
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Objectif: Décrire les caractéristiques cliniques, radiographiques et microbiologiques des symphysites septiques issus des services de chirurgie et/ou de médecine. Matériel et méthodes: Étude observationnelle, rétrospective et multicentrique. Résultats: 71 patients recueillis dont la majorité avaient une histoire récente de chirurgie pelvienne, de néoplasie pelvienne et/ou d’infection uro-génitale récente. Pubalgie fébrile, douleurs inguinales et boiterie étaient les plaintes les plus fréquemment rapportées. Escherichia coli (25%) et Staphylococcus aureus (22%) étaient les monocultures les plus identifiées, nombreux étaient les prélèvements polymicrobiens. Le scanner et l’IRM étaient les examens d’imagerie privilégiés. La prise en soin thérapeutique associait très souvent l’antibiothérapie à une chirurgie (drainage ou débridement), permettant une rémission dans 47% des cas. La rechute septique concernait plus d’⅓ des patients et la moitié des patients gardait des séquelles mécaniques. Conclusion: Il s'agit de la série la plus large depuis 20 ans, permettant d’actualiser des données sur une infection ostéoarticulaire mal connue.
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