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Chirurgie dentaire
/ 17-06-2024
Boulfoul Rami
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Cette étude permet d'analyser la manière dont se concilient les enjeux de formations et les objectifs de santé publique portés par les dispositifs de stage délocalisés en dernière année des études odontologiques. De quelle manière les différents acteurs (étudiants, encadrants, patients) perçoivent-ils le fonctionnement de ces unités, les modalités d'encadrements des étudiants et le contexte dans lequel les soins se déroulent ? Dans quelle mesure ces stages délocalisés apparaissent-ils comme une réponse à la problématique des zones sous-dotées aux yeux de ces acteurs ? Pour répondre à ces questions et décrire les enjeux relatifs aux stages délocalisés, cette étude se base sur une analyse données sanitaires et démographiques recueillies auprès de la direction de l'hôpital d'une part et des entretiens semi-dirigées conduits avec les encadrants, les étudiants et la direction de l'hôpital d'autre part
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Médecine
/ 07-06-2024
Le Garzennec Méïna
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Le manque de recommandations concernant la détermination et l’analyse du sexe fœtal et l’évolution législative récente dans le cadre des variations du développement génital ouvrent des questionnements autour de l’échographie obstétricale de dépistage. Il s’agit d’une étude des pratiques des échographistes de dépistage de Bretagne via un questionnaire en ligne diffusé du premier septembre au 31 décembre 2023. La totalité des échographistes déterminent le sexe fœtal et analysent les organes génitaux et 91 % d’entre eux pensent que cela devrait être recommandé au cours de l’examen morphologique de dépistage. 73 % se sentent attentifs au dépistage des VDG mais 75 % d’entre eux se sentent insuffisamment formés. 51 % des échographistes de dépistage sont au courant de la nouvelle loi encadrant la prise en charge des VDG et les avis sont très partagés mais semblent plutôt favorables. La détermination du sexe fœtal n’est pas anodine sur les plans médicaux, sociétaux et éthiques. Sur le plan médical, outre des situations bien spécifiques de diagnostic prénatal dans le cadre de certaines maladies génétiques, la détermination du sexe fœtal permet d’optimiser le dépistage des RCIU. L’analyse des organes génitaux permet de dépister une VDG mais son intérêt est encore peu étudié malgré l’association possible à d’autres anomalies ou syndromes. L’évolution de la loi semble suivre des changements législatifs et sociétaux en Europe. L’intérêt de recommandations plus précises et de nouvelles études autour du sexe fœtal paraît nécessaire en France.
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Médecine
/ 23-05-2024
Mermoz Emilie
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Introduction : Les médecins généralistes exerçant en soins primaires sont régulièrement confrontés à des questionnements éthiques dans leur pratique quotidienne. Or, depuis 40 ans, des institutions éthiques ont émergé en France à l’instar des Espaces de Réflexion Ethique Régionaux (ERER) créés en 2004 qui ont des missions de formation, de documentation, d’information, de rencontres et d’échanges interdisciplinaires. Ces espaces semblent méconnus par les médecins généralistes et il n’existe pas d’étude à ce jour identifiant les interactions entre la médecine générale ambulatoire et les espaces de réflexion éthique. Objectif : Réaliser un état des lieux des actions menées par les Espaces de Réflexion Ethique Régionaux à destination des médecins généralistes en France. Méthode : Enquête descriptive transversale par auto-questionnaire informatisé auprès des 28 sièges et sites d’appui des Espaces de Réflexion Ethique Régionaux en France métropolitaine et régions d’Outre-Mer. Les structures étaient interrogées sur les actions menées à destination des médecins généralistes sur une période s’étalant de septembre 2021 à septembre 2023. Cette étude a été qualifiée « hors loi Jardé ». Résultats : 19 structures ont participé à l’enquête, soit un taux de participation à 68%. 78% des structures interrogées mettaient en place des actions accessibles aux médecins généralistes et 21% des actions qui leur étaient exclusivement dédiées. Les actions proposées aux médecins généralistes étaient principalement des conférences et débats (93%), des formations en éthique (53%) et des groupes d’échange pluridisciplinaires (47%). L’analyse textuelle mettait en évidence une satisfaction mitigée des structures vis-à-vis de leurs actions notamment expliquée par le manque de participants et les difficultés à relayer les informations auprès des médecins généralistes. Discussion : La force de cette étude repose sur un taux de participation élevé qui nous permet d’avoir un état des lieux représentatif et qui souligne un intérêt pour cette problématique de la part des ERER. Ce travail permet de dégager des pistes pour développer les interactions des ERER avec la médecine générale dont une meilleure connaissance des ERER par les médecins généralistes. D’autres enquêtes seraient nécessaires pour étayer cette problématique notamment une étude auprès des médecins généralistes afin de définir leurs besoins et leurs attentes vis-à-vis des ERER.
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Médecine cardiovasculaire
/ 22-05-2024
Decaudin Donovan
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Contexte : La présentation clinique des Orages Rythmiques (OR) varie considérablement. Le manque d'un système de classification standardisé entrave la stratification du pronostic et la coordination multidisciplinaire. Cette étude visait à développer un système de classification basé sur des caractéristiques cliniques simples pour stratifier la mortalité à 30 jours chez les patients présentant un OR. Méthodes : Les patients admis dans des unités de soins intensifs pour OR dans quatre centres tertiaires entre 2010 et 2023 ont été inclus de manière rétrospective. Les données ont été collectées à partir des dossiers médicaux hospitaliers. Un système de classification en cinq stades a été développé sur la base de quatre caractéristiques cliniquement pertinentes (type d’arythmie ventriculaire, tolérance de l’arythmies, tolérance hémodynamique de l’OR et thérapies requises), afin de stratifier la mortalité. Le critère principal était la mortalité toutes causes à 30 jours pour chaque stade d’OR. Résultats : Un total de 578 patients ont été inclus. Les patients étaient principalement de sexe masculin (84,9 %), avec un âge médian de 66 ans (IQR 57-74) ; la plupart des patients présentaient une cardiomyopathie ischémique (67,1 %), avec une FEVG médiane de 30 % (IQR 20-45). Parmi la population étudiée, 35 (6,1 %), 195 (33,7 %), 249 (43,1 %) et 99 (17,1 %) présentaient respectivement un stade 1, un stade 2, un stade 3 et un stade 4 d’OR. Un total de 122 (21,1 %) patients sont décédés au cours du suivi à 30 jours. Un taux de mortalité accru a été observé à travers les stades, allant de 0 %, 4,1 %, 29,7 % et 40,7 % pour les stades 1, 2, 3 et 4 respectivement (p < 0,001). Les causes cardiovasculaires, en particulier l'insuffisance cardiaque terminale et l’OR incontrôlé, ont été les principaux contributeurs à la mortalité. Les patients aux stades à haut risque ont présenté plus de complications hospitalières, principalement des infections. Conclusion : L’OR reste un événement cardiovasculaire grave avec une mortalité à 30 jours de 21,1 %. La classification des patients atteints d’OR selon quatre paramètres cliniques, à savoir le rythme ventriculaire responsable de l’OR, la tolérance clinique des VA, la tolérance hémodynamique de l’OR et les thérapies nécessaires pour contrôler l’OR, peut être efficace pour stratifier la mortalité à 30 jours, allant de 0 % pour le stade 1 à 40,7 % pour le stade 4.
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Médecine physique et de Réadaptation
/ 03-05-2024
Foussat Etienne
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Introduction : Une des conséquences de l’accident vasculaire cérébral (AVC) est un trouble de l’équilibre à l’origine d’un plus grand risque de chute et d’une perte d’autonomie. A ce jour, les facteurs impliqués dans l’équilibre notamment pour des patients atteints d’un AVC droit restent sujets à discussion avec notamment une probable implication des troubles de la cognition spatiale. L’objectif de cette étude était de déterminer si les troubles de la cognition spatiale expliquent en partie la précarité de la fonction d'équilibre au moment où le patient acquiert la position debout après un AVC droit. Elle visait également à identifier les marqueurs des troubles de la cognition spatiale qui interfèrent avec la fonction d'équilibre. Méthodes : Une étude transversale d'un essai randomisé multicentrique incluant des patients avec un AVC droit capables de tenir debout et comprenant une évaluation initiale de leur motricité, spasticité, sensibilité, latéropulsion (SCP) et des évaluations de leur cognition spatiale (test d’héminégligence, le droit devant et l’axe longitudinal). L’équilibre était évalué à l’aide du Berg Balance Scale (BBS). Un seuil de moins de 45/56 a été défini pour indiquer une perturbation sévère de l’équilibre. Les facteurs au temps initial ont été analysés par des régressions logistiques univariée et multivariée. Résultats : 82 patients ont été analysés (moyenne d’âge (années) : 59.3 ± 10.3), délai post-AVC (jours) : 91.3 ± 59.6) dont 61 patients avec un score d’équilibre précaire (BBS < 45/56). L’analyse multivariée révèle que plus le score de motricité au membre inférieur parétique est haut, plus ce facteur est protecteur (OR 0,89 ; IC95% [0,81 ; 0,96] ; p = 0,0027). En revanche, la présence d’une latéropulsion (OR 6 ; IC95% [1,14 ; 31,67] ; p = 0,0349) et d’une négligence (OR 19,88 ; IC95% [1,59 ; 248,8] ; p = 0,0204) sont associés au risque de présenter un BBS < 45/56. Discussion et conclusion : La présence d’un déficit de motricité au membre inférieur, d’une héminégligence et d’une latéropulsion sont les 3 facteurs indépendants reliés à la précarité de l’équilibre dans les suites d’un AVC hémisphérique droit. Ces trois facteurs peuvent raisonnablement être ciblés dans la rééducation des patients AVC droits, capable de tenir debout et présentant la persistance d’une atteinte de la fonction d’équilibre.
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Médecine - Anesthésie Réanimation
/ 19-04-2024
Sebbe Anaël
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COMFORT Study est une étude multicentrique prospective internationale randomisée en cluster, dont l’objectif est de comparer si l’utilisation d’une échelle verbale de confort par rapport à une échelle de douleur en SSPI a une incidence sur la consommation de morphine des patients par l’évitement de mots à suggestion négative. Les résultats présentés ici sont ceux du bassin rennais ayant inclus 126 patients bénéficiant d’une chirurgie programmée susceptible de nécessiter le recours à des antalgiques opiacés en post-opératoire. Le critère de jugement principal est la consommation d’équivalent de morphine en SSPI : il n’est pas significativement différent entre les 2 groupes (2,9 ± 3,3 mg dans le groupe EVN confort versus 4,2 ± 5,4 mg dans le groupe EVN douleur ; p = 0,9832). L’étude montre une tendance à moins d’épisodes douloureux dans le groupe EVN confort ainsi qu’une plus grande satisfaction des patients. Il apparait à la lumière de ces résultats que l’acquisition de compétences en communication thérapeutique est à optimiser et doit être une priorité dans la formation de tous professionnels de santé, puisqu’elles sont un ancrage indispensable à une alliance thérapeutique de qualité favorisant la satisfaction de chacun des protagonistes de la relation patient-soignant.
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Pharmacie
/ 10-04-2024
Jégu Salomé
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Les stylos auto-injecteurs d’adrénaline représentent le traitement d’urgence des anaphylaxies sévères. Les patients et leur entourage doivent donc être en capacité de les utiliser sans délai pour assurer une prise en charge efficace. Les professionnels comme les pharmaciens ont un rôle primordial dans l’apprentissage du bon usage de ces dispositifs. L’objectif de ce travail est d’évaluer les informations transmises aux patients lors de la délivrance en officine de ces auto-injecteurs. Pour ce faire, une étude a été menée auprès des pharmaciens bretons et des étudiants en pharmacie de la faculté de Rennes. Le niveau de connaissance des 179 répondants est comparable, voire supérieur, à celui de certains confrères internationaux. Afin d’améliorer ces résultats, plusieurs axes ont été évoqués comme le renfort de la formation des étudiants au cours de leur cursus, la mise à disposition de stylos de démonstration, la réalisation d’une fiche d’aide à la dispensation… pour in fine, rendre le patient acteur de sa prise en charge.
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Medecine
/ 09-04-2024
Ternoy Laura
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Contexte : Le score Pronopall est un score pronostique objectif et simple à calculer à partir de quatre critères clinico-biologiques : le statut ECOG-PS, le nombre de sites métastatiques, le taux de LDH et le taux d’albumine. Il fut développé en 2008 et réévalué récemment de façon prospective dans une étude multicentrique concernant sept cancers analysés de façon poolée (sein, poumon, colorectal, pancréas, ovaire, prostate, rein). Il permet de distinguer trois groupes homogènes de pronostic (mauvais pronostic A (score 8-10), pronostic intermédiaire B (score 4-7) et bon pronostic C (score 0-3)) avec des taux de survie à deux mois et une survie médiane significativement différents. Objectif : Evaluer rétrospectivement le score Pronopall dans le mélanome métastatique. Matériels et méthodes: Les dossiers médicaux des patients suivis au CHU de Rennes ou au C.R.L.C.C. Eugène Marquis pour un mélanome métastatique entre mai 2016 et janvier 2023 et en première ligne de traitement par immunothérapie ou thérapie ciblée ont été rétrospectivement analysés. Furent inclus ceux qui, sous traitement, présentaient une progression de la maladie objectivée par imagerie ou en cas d’altération de l’état général (ECOG-PS ≥ 2). Le score Pronopall fut calculé pour chaque patient inclus afin de créer trois groupes homogènes de pronostic (groupe A de mauvais pronostic pour les scores compris de 8 à 10, groupe B de pronostic intermédiaire pour les scores compris de 4 à 7, groupe C de bon pronostic pour les scores compris de 0 à 3). Résultats: Sur les 737 dossiers médicaux analysés, 73 patients furent inclus (71 suivis au CEM, 2 au CHU). 45 patients furent inclus car la maladie progressait sous traitement de première ligne, 2 patients car ils s’altéraient (ECOG-PS ≥ 2) et 26 patients car ils présentaient les deux critères. 13 patients furent inclus dans le groupe A, 20 patients dans le groupe B et 40 patients dans le groupe C. Le taux de survie à 2 mois était de 38%, 60% et 82% et la survie médiane de 55 jours, 100 jours et 423 jours pour les groupes A, B, et C, respectivement. La différence de survie constatée était significative entre les groupes (p < 0.05). Dans les analyses secondaires en sous-groupes, cette différence significative de survie entre les groupes était maintenue que le patient ait ou non des métastases cérébrales (p< 0.05) ainsi que dans la population ‘BRAF sauvage’ seule (p <0.05). En revanche, cette différence n’était pas retrouvée dans le sous-groupe ‘BRAF muté’. Conclusion: PronoMel a permis de mettre en évidence une différence statistiquement significative sur la survie à deux mois entre les trois groupes pronostiques créés à partir du calcul du score Pronopall, dans une population de patients suivis pour un mélanome métastatique. Cette différence n’était pas maintenue dans l’analyse secondaire réalisée dans le sous-groupe ‘BRAF muté’, questionnant un manque de puissance dans notre étude, ou la nécessité de prendre en compte les caractéristiques mutationnelles pour l’évaluation du pronostic.
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Pneumologie
/ 05-04-2024
Manchon Mickaël
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Introduction : La tuberculose est la maladie infectieuse causant le plus de décès dans le monde. Le traitement standard d’une tuberculose pulmonaire repose sur untraitement par antibiothérapie pendant 6 mois. Le statut positif de la culture d’un prélèvement respiratoire à la recherche de M. tuberculosis à 2 mois de traitement (M2) est le facteur prédictif d’échec de traitement ou de rechute le plus reconnu. Le but de notre étude est d’analyser les facteurs associés à une culture BK restant positive à M2 dans une population française. Méthode : Nous avons analysé les données des patients inclus dans l’étude randomisée multicentrique française FAST-TB qui avaient une culture contributive à M2. Les patients ont été classés en culture positive ou négative à M2. Résultats : Nous avons retrouvé une association significative entre la persistance de la toux et des expectorations durant le suivi sous traitement et la positivité des cultures à M2. On observe numériquement plus de cavernes et d’atteintes parenchymateuses bilatérales dans le groupe culture positive à M2. Conclusion : Il semble important de contrôler la négativité des cultures des prélèvements respiratoires à M2 chez les patients en cours de traitement pour leur tuberculose, surtout en cas de symptômes respiratoires prolongés. La persistance des symptômes respiratoires durant le traitement pourrait faire partie des critères faisant discuter une éventuelle prolongation de la bithérapie de 3 mois supplémentaire.
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Chirurgie dentaire
/ 12-03-2024
Legast Flavie
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Objectifs : Les patients présentant des troubles psychiques souffrent d’un état bucco-dentaire plus délabré que la population générale. Cette étude avait pour objectif de mettre en évidence les facteurs pouvant influencer l’accès aux soins bucco-dentaires des personnes suivies en centre médico-psychologique mais également d’identifier les barrières rencontrées par les patients et les équipes soignantes de ces institutions. Méthodes : Une étude qualitative a été entreprise auprès des professionnels de santé mentale de cinq centres médico-psychologiques du département de la Manche, en Normandie. Leurs perceptions des difficultés d’accès aux soins bucco-dentaires ont été recueillies par le biais d’entretiens semi-directifs. Ces entretiens ont été retranscrits et analysés de manière inductive par identification des thèmes au fur et à mesure de l’analyse. Résultats : Huit entretiens ont été réalisés, cinq avec des infirmiers, deux avec des psychologues, et un avec un psychiatre. Les freins à l’accès aux soins bucco-dentaires identifiés par les professionnels ont été regroupés selon trois axes. Premièrement, des facteurs intrinsèques aux patients, consécutifs de leurs pathologies psychiques, favorisent un mauvais état buccal. Deuxièmement, les formations des professionnels des centres médico-psychologiques en matière de prévention bucco-dentaire présentent des lacunes. Pour finir, certaines caractéristiques du système de soins, comme la priorité donnée au curatif, ou encore l’organisation libérale des cabinets dentaires, constituent selon les professionnels des obstacles d’accès aux soins bucco-dentaires pour ces patients. Conclusion : Pour les professionnels exerçant en centre médico-psychologique, la prévention bucco-dentaire est à privilégier et peut être assurée par des consultations de contrôle régulières, pour des patients chez qui les soins seront davantage compliqués à mettre en place.
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