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L'évaluation du potentiel thérapeutique des plantes issues de la médecine traditionnelle algérienne telles que Artemisia herba alba, Anastatica hierochuntica, Urtica dioica, Marrubium vulgare, Atriplex halimus, Salvia officinalis, Trigonella foenum-graecum, Aristolochia longa, Alchemilla vulgaris, et Lavandula officinalis, pour traiter les maux de la femme tels que la dysménorrhée, l'endométriose, les infections urinaires et vaginales, le syndrome des ovaires polykystiques, l'infertilité, l'insuffisance de la lactation maternelle, le cancer du sein, les fibromes utérins et la ménopause, nécessite une analyse approfondie de chaque plante, de sa description botanique, de sa composition chimique et des éventuels effets indésirables associés. Cette recherche vise à intégrer la richesse de la médecine traditionnelle algérienne à la pharmacie contemporaine à travers une analyse approfondie d'études scientifiques et de corrélations avec d'autres plantes utilisées pour des affections similaires.