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Médecine générale
/ 03-10-2023
Lefay Cyril
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Contexte : Les internes de médecine générale sont confrontés, en majorité, au cours de leurs études, à des situations de dommages liés aux soins. La Haute Autorité de Santé a publié des recommandations pour aider les professionnels de santé à réaliser l’annonce d’un dommage lié aux soins au patient. L’objectif de cette étude est d’analyser les connaissances et de décrire la pratique de l’annonce d’un dommage lié aux soins par les internes de médecine générale de Rennes lors la réalisation d’une annonce de dommage lié aux soins. Méthodes : Il s’agit d’une étude observationnelle, descriptive, rétrospective, monocentrique d’évaluation des pratiques des internes de médecine générale de Rennes. Cette étude est réalisée à partir d’un questionnaire diffusé via le réseau social Facebook. Résultats : 77 questionnaires dont 60 complets et 17 partiellement complets ont été́ analysés. 81% des internes de médecine générale de Rennes déclarent avoir été confrontés à des situations de dommages liés aux soins. 97% d’entre eux ne connaissent pas les recommandations de la Haute Autorité de Santé, pourtant ils réalisent l’annonce au patient lorsqu'un dommage survient, en respectant les délais légaux. Leurs pratiques confirment une insuffisance de formation notamment dans le suivi post annonce. Le soutien psychologique reçu est également insuffisant. Conclusion : Les internes de médecine générale de Rennes pourraient améliorer leurs pratiques s'ils étaient formés à la réalisation d’une annonce d’un dommage lié aux soins. Cela permettrait l’amélioration de la sécurité et de la qualité des soins mais également leur vécu face à ces situations complexes.
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Médecine
/ 02-10-2023
Vazeux Charles
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Introduction : Les sténoses biliaires sont des complications fréquentes de la transplantation hépatique, et peuvent altérer de manière importante le pronostic du receveur. Le traitement endoscopique s’est imposé comme le traitement de première intention sans véritable comparaison avec le traitement chirurgical. Le but de cette étude était de comparer l’efficacité et la sureté des deux traitements dans la prise en charge des sténoses biliaires anastomotiques. Matériel et méthodes : Les données des patients transplantés hépatiques et pris en charge par chirurgie ou endoscopie pour une sténose biliaire anastomotique sur la période 2006 – 2022 au CHU de Rennes étaient collectées rétrospectivement. L’échec du traitement était défini par la récidive de la sténose. L’analyse de la survie sans récidive de la sténose a été réalisée en fonction des différentes modalités du traitement : chirurgie, endoscopie selon les recommandations 2017 de l’ESGE (TECE) et endoscopie selon la technique antérieure (TENCE). Résultats : Aucune différence d’efficacité entre les deux types de traitements n’a été identifiée. Le taux de récidive de sténose était de 21% chez les patients traités par endoscopie et de 15.6% chez les patients opérés (p=0.517). Les courbes de survie sans récidive de sténose étaient comparables. Les patients traités par chirurgie présentaient un taux de complications majeures (Clavien Dindo ≥ 3) supérieur aux patients traités par CPRE (p=0.009). Les méthodes TECE et TENCE présentaient des résultats comparables en termes d’efficacité et de sureté sur notre période d’étude. Conclusions : Le traitement endoscopique semble apporter une efficacité identique au traitement chirurgical dans la prise en charge des sténoses biliaires anastomotiques après transplantation hépatique, avec une morbidité réduite. Il doit donc être préconisé comme traitement de première intention.
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Médecine
/ 27-09-2023
Chirouze Valentin
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Étude rétrospective monocentrique portant sur 252 patients et comparant la consommation de morphiniques au cours des premières 24h post-opératoires entre des patients ayant bénéficié d’un bloc érecteur du rachis ou d’une infiltration chirurgicale en sus d’une analgésie multimodale versus analgésie multimodale seule après chirurgie rachidienne orthopédique par voie postérieure. Aucune différence significative n’a été mise en évidence sur le critère de jugement principal ni sur les critères de jugements secondaires tels que la consommation de morphine en salle de surveillance post-interventionnelle, la douleur post-opératoire, la durée d’hospitalisation, la survenue de rétention aiguë d’urine, le délai avant acquisition du transit, avant reprise de la marche, la survenue d’infection post-opératoire. Des études de puissance statistique plus importante seront nécessaires pour préciser la place de l’ALR dans la chirurgie du rachis.
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Médecine
/ 26-09-2023
Gautier Victor
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Cette étude épidémiologique transversale visait à caractériser la source d'information, les connaissances et les attentes des patientes concernant l'activité physique (AP) pendant la grossesse, en se concentrant sur une population de femmes accouchant à l’hôpital de Fougères, en milieu rural, en Ille-et-Vilaine (35), France. Les principaux résultats ont révélé que la majorité des 133 patientes incluses (65,1 %) recherchaient ou recevaient des informations sur l’AP pendant la grossesse. Ces informations provenaient principalement des professionnels de santé, notamment des sages-femmes, ainsi que des sites Internet et de leur entourage. La plupart des patientes avaient une compréhension adéquate des effets bénéfiques de l’AP pendant la grossesse, mais présentaient des lacunes concernant certaines recommandations spécifiques, telles que l’évitement des exercices en décubitus dorsal au troisième trimestre ou le volume hebdomadaire d’AP recommandé. Le fait de recevoir des informations issues de professionnels de santé était significativement associé à une pratique d’AP plus importante chez les patientes ne rapportant pas de contre-indication. Celle-ci restait cependant inférieure aux recommandations. Près de la moitié des patientes souhaitaient un guidage complémentaire pour leurs pratiques d'AP (prescription d’AP et/ou programme détaillé). Les résultats ont mis en évidence un écart important entre les connaissances et les pratiques des patientes concernant l’AP durant la grossesse. Afin de combler cette lacune, qui n’est pas limitée aux zones rurales, des stratégies de guidage personnalisées sont essentielles. Des approches prometteuses, telles que l’utilisation d’outils numériques ou la prescription d’activité physique, ont déjà été étudiées dans des recherches internationales. Des études futures visant à évaluer l’efficacité de ces outils dans le contexte de la pratique clinique en France seraient nécessaires.
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médecine générale
/ 26-09-2023
Pouliquen Camille
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Contexte : La promotion de l’activité physique est sportive est en plein essor depuis plusieurs années. De ce fait, les blessures, dont les lésions musculaires aigues intrinsèques sont un motif fréquent de consultation. Le médecin généraliste, acteur de soins de premiers recours joue un rôle important dans la prise en charge. Le but de l’étude est d’évaluer les pratiques des médecins généralistes du Morbihan dans la prise en charge des lésions musculaires aigues afin d’identifier les besoins et de proposer une fiche d’aide à la pratique. Méthodes : Il s’agit d’une étude quantitative, descriptive, observationnelle, transversale via un questionnaire informatisé envoyé aux médecins généralistes Morbihannais. La première partie s’intéressait aux données sociodémographiques. La deuxième partie se présentait sous forme de cas clinique. Les médecins travaillant en milieu hospitalier étaient exclus de l’étude. Résultats : 81 réponses ont été recueillies. 15 n’ont pas été analysées car incomplètes, il restait 66 questionnaires à étudier. Une analyse descriptive ainsi qu’une analyse bi-variée s’intéressant à l’influence du sexe, de l’âge, de la réalisation d’une formation médicale complémentaire et de la pratique d’activité physique et sportive, sur les réponses du cas clinique ont été réalisées. Conclusion : Le diagnostic clinique de lésion musculaire aigue était maitrisé par la majorité des médecins généralistes. L’évaluation de la sévérité via l’échographie mettait les généralistes en difficultés. L’imagerie était souvent demandée trop précocement. Ils rapportent un accès à l’imagerie compliqué dans des délais courts. Les principes de la prise en charge médicale étaient acquis mais la rééducation en kinésithérapie était initiée trop tardivement. Concernant le suivi, on retrouvait un manque de connaissance des critères cliniques permettant de valider la reprise sportive. En se basant sur la littérature, une fiche d’aide à la prise en charge a été réalisée.
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Médecine Générale
/ 26-09-2023
Picault Marie-Hélène
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Contexte : Depuis le 1er juillet 2021, la réglementation en matière de congé paternité, permet aux médecins généralistes notamment libéraux de bénéficier d'un congé de 25 jours calendaires. Comment les médecins ayant bénéficié de ce dispositif ont-ils vécu cette expérience au niveau professionnel ? Objectifs : Décrire et analyser l'organisation et le ressenti des médecins généralistes libéraux vis-à-vis du nouveau dispositif de congé paternité. Etudier les éventuels changements de pratiques professionnelles dans le contexte de paternité. Méthode : Etude qualitative par entretiens semi-dirigés auprès de dix hommes médecins généralistes libéraux installés en France. Une analyse thématique réflexive a été menée. Résultats : Les médecins ayant bénéficié de la durée allongée du congé paternité ont fait ce choix par conviction selon leurs valeurs familiales. Cet allongement a donné entière satisfaction à l'ensemble des médecins interrogés. Ils ont planifié leur congé en recherchant très en amont un remplaçant et en anticipant des économies dès le début de la grossesse de leur conjointe, au vu de l'indemnisation insuffisante. Afin de pouvoir s'occuper de leurs enfants, les médecins ont déployé des stratégies de régulation de leur temps de travail de façon individuelle et collective. Conclusion : Une revalorisation de l'indemnisation et une meilleure information des droits sociaux des médecins libéraux devraient être considérées au regard des limites identifiées du dispositif. La paternité entraîne une évolution dans les pratiques des médecins généralistes : une volonté d'aménager leur organisation professionnelle pour se rendre davantage disponible auprès de leur famille.
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Médecine générale
/ 26-09-2023
Renard Camille
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Contexte : L’endométriose est une pathologie gynécologique fréquente touchant environ 10% des femmes et souffrant d’un retard au diagnostic d’environ 7 ans, à l’origine de coûts humains et économiques importants. Le médecin généraliste est le premier acteur dans le parcours de soins de ces patientes. La stratégie nationale de lutte contre l’endométriose 2022-2025 vise à réduire le délai de diagnostic et améliorer l’accès aux soins pour toutes avec la création de filières territoriales dédiées par région. Objectif : Recueillir le ressenti et les attentes des médecins généralistes bretons vis-à-vis de la création de la filière EndoBreizh. Méthode : Étude quantitative auprès de 94 médecins généralistes bretons, avec envoi d'un questionnaire via le logiciel d’enquête statistique Google Forms. Résultats : 73.4% des médecins n’avaient pas connaissance de la création du réseau EndoBreizh. La quasi-totalité des médecins souhaitent adhérer au réseau (91.5%) et pensent qu’il pourra répondre à leurs attentes (94.7%). Une minorité de médecins (5.3%) souhaitent être praticiens de la filière EndoBreizh. Les principales attentes concernent l'annuaire des professionnels référents médicaux (98.9%) et paramédicaux (88.3%), les outils d'aide à la prise en charge en première ligne (91.5%), les thérapies non médicamenteuses à visée antalgique (73.4%), et l’amélioration du délai de prise en charge en cas d’échec du traitement de première intention (71.3%). Conclusion : les médecins généralistes bretons ont un vif intérêt pour le réseau EndoBreizh. Ils ont la volonté de collaborer avec tous les professionnels susceptibles d'améliorer la prise en charge des patientes; et pour certains, de mettre à profit leurs connaissances pour constituer un premiers recours de proximité dans la filière. Le recueil de leurs attentes permet de dégager des pistes pour le développement du réseau.
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Medecine
/ 26-09-2023
Poirier Benjamin
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Introduction : De nombreuses cures courtes de corticoïdes sont prescrites par des médecins généralistes dans des indications non-validées par les autorités de santé notamment dans un but antalgique ou anti-inflammatoire. Peu d’études ont étudié le profil d’évènements indésirables de ces cures prescrites en dehors d’une autorisation de mise sur le marché (AMM). Objectif : Déterminer la fréquence de 6 évènements indésirables graves à la suite d’une cure courte de corticoïdes, définie comme étant inférieure à 30 jours. Méthodes : Etude de cohorte rétrospective incluant les adultes de 21 ans et plus affiliés au régime national d'assurance maladie de Bretagne du 1er janvier 2018 au 31 décembre 2019. L’objectif principal de l’étude consiste à évaluer les taux d’incidence de 6 évènements indésirables graves réunis (fracture, décompensation cardiaque, thrombose veineuse, décompensation psychiatrique, hémorragie digestive, sepsis) déclarés dans les trois mois suivants une cure courte de corticoïdes, prescrite hors-AMM en médecine générale. Résultats : Sur 3 153 544 adultes bretons analysés, 410 775 (13 %) ont reçu une cure courte de corticoïdes. Les patients ayant reçu le plus de cures courtes sur la période d’étude de 2 ans étaient les sujets âgés de 45 à 59 ans (16,4 %) et les femmes (14,8 %). Dans les 3 mois suivant la cure courte, 3,3 ‰ des patients ont présenté un des 6 évènements indésirables graves (critère de jugement principal de l’étude), 2 ‰ des patients ont présenté une fracture, 0,8 ‰ des patients ont présenté une décompensation cardiaque et 0,3 ‰ des patients ont présenté une thrombose veineuse. Les 6 évènements indésirables confondus se sont déclarés majoritairement dans les 30 premiers jours suivant la cure. Les thromboses veineuses et les décompensations cardiaques sont survenues majoritairement sur la période de 1 à 30 jours, tandis que les fractures sont survenues majoritairement sur la période de 31 à 90 jours. Conclusion : Les cures courtes de corticoïdes sont fréquemment prescrites dans la population adulte bretonne, en dehors des indications validées par les autorités sanitaires. Dans un principe de précaution, il semble intéressant de diminuer la prescription de ces cures courtes et d’avoir recours à d’autres thérapeutiques afin de garantir plus de sécurité au patient.
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Médecine Générale
/ 26-09-2023
Cadieu Théo
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Contexte. Les moins de 25 ans sont fréquemment touchés par les IVG et les IST. L’amélioration de leurs connaissances en contraception pourrait permettre d’en minimiser les risques. Peu d’études s'intéressent aux connaissances des jeunes hommes. Objectifs. Rechercher une différence de niveau de connaissance en contraception selon le genre. Identifier les profils à risque de bas niveau de connaissance. Méthode. Étude transversale, quantitative, observationnelle, multicentrique, descriptive et analytique. 727 lycéen.ne.s interrogé.e.s, de 14 à 20 ans, dans 6 lycées bretons. Données recueillies par questionnaire individuel. Niveau de connaissance en contraception quantifié par un score. Descriptions statistiques et analyses bivariées (risque ɑ = 5%). Résultats. 695 questionnaires analysés. Le groupe femme a une moyenne (8,5) au score de niveau de connaissance significativement plus élevée (p < 0,001) que celle du groupe homme (7,4), et que celle du groupe non binaire (7,0 ; p < 0,01). D’autres variables que le genre féminin influencent positivement la moyenne du score : lycée privé (p < 0,001), filière générale (p < 0,001), niveau Première (p < 0,01), BAC +2 envisagé (p < 0,04), lycéen.ne.s estimant ne pas manquer d'information (p < 0,03), discussions contraception dans la famille (p < 0,01), diversités des sources d’information (p < 0,05), consultation contraception avec un professionnel de santé (p < 0,001), idée claire des consultations CSS et PF (p < 0,001), absence de grossesse avant 20 ans dans la fratrie (p < 0,01). Conclusion. Chez les lycéen.ne.s de 14 à 20 ans, les femmes ont un niveau de connaissance en contraception supérieur à celui des hommes. Ce résultat incite à la mise en place d’actions destinées aux jeunes hommes. Les autres variables identifiées faciliteront le dépistage des jeunes à risque de bas niveau de connaissance. Elles permettront de prioriser les classes à couvrir par les interventions scolaires.
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Médecine générale
/ 26-09-2023
Juré Romane
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L'acidocétose diabétique (ACD) au diagnostic du diabète de type 1 (DT1) est une cause de morbidité élevée qui peut être évitable si le diagnostic est précoce. Sur le plan épidémiologique, sa prévalence est contrastée. Le but de cette étude est de caractériser la prévalence de l'acidocétose lors du diagnostic de DT1 au CH St-Brieuc, chef-lieu du département des Côtes d'Armor et le parcours de soins primaires de ces enfants. Méthode - Cette étude monocentrique observationnelle quantitative rétrospective, inclus tous les enfants avec un diagnostic de DT1 pris en charge au Centre Hospitalier de St Brieuc, entre le 1er janvier2013 et le 31 décembre 2021, soit 150 enfants de moins de 18 ans. Les paramètres anamnestiques avec le parcours de soins, ainsi que les paramètres cliniques et biologiques ont été étudiés. Résultats - Sur les 150 enfants, 83 présentaient les critères de l'ACD au diagnostic, soit une prévalence de 55 ,3 %. L'âge moyen au diagnostic est de 9,5 ans (± 4, 1 ). Sur les 150 enfants, 11 0 ont consultés leur médecin généraliste avant le diagnostic, soit 73,3 %. 52 des enfants ayant consulté un médecin généraliste (=47,3%), ont eu une biologie sanguine à réaliser en ville. Seulement 45 enfants sur les 110 qui ont consultés leur médecin généraliste ont eu soit une glycémie capillaire ou une bandelette urinaire à la recherche de glycosurie. Conclusion - La prévalence de l'ACD au diagnostic de DT1 dans notre étude est élevée. Une meilleure connaissance du DT1 par les professionnels et la population générale reste un enjeu majeur dans la prévention de l'ACD
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