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Influence des ciments de scellement en prothèse fixée implanto-portée sur le risque de péri-implantite : une revue systématique de la littérature


Chirurgie dentaire / 13-04-2023
Barrier Raphaël
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Sujet : cet article est une revue de la littérature destinée à mettre en évidence l’influence des ciments de scellement sur le risque de péri-implantite. Matériels et méthodes : une recherche d’articles a été effectuée sur 2 bases de données (PubMed et ScienceDirect), les articles sélectionnés sont tous issus d’études cliniques contrôlées et datent de 15 ans ou moins. Les études incluses comparent les prothèses transvissées et scellées ou s’intéressent au lien entre la présence d’excès de ciment de scellement et la survenue de péri-implantite. Étaient exclues les séries de cas, études in-vitro, les revues systématiques ainsi que les études non comparatives. Résultats : 7 articles répondaient aux critères de sélection et ont été inclus dans cette revue, rassemblant un total de 1269 implants. La prévalence des péri-implantites variait entre 2% et 12,6%. Des excès de ciment étaient retrouvés dans une majeure partie des cas. Le lien entre la présence d’excès de ciment de scellement et la survenue de péri-implantite tend à se confirmer au travers de cette revue même si l’on constate une hétérogénéité dans les résultats observés. Conclusion : Les excès de ciment de scellement ont un lien potentiel avec la survenue de péri-implantite. Toutefois, une méta-analyse des données serait nécessaire pour confirmer cette hypothèse.

Implantologie et prothèse en territoire oncologique - Réhabilitation implanto-portée d'un maxillaire après lambeau de fibula puis irradiation : un cas clinique


Chirurgie dentaire / 06-04-2023
Herman Maëlle
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Introduction Sixièmes cancers diagnostiqués au niveau mondial, les cancers de la tête et du cou représentent un enjeu crucial de santé publique (1, 2). Leur prise en charge, de la prévention à la réadaptation post-traitement, constitue un véritable défi. Cas clinique Un patient, âgé de 47 ans, avec un antécédent de carcinome épidermoïde du maxillaire droit traité par chirurgie d’exérèse tumorale, reconstruction par lambeau de fibula, puis radio-chimiothérapie, s’est présenté pour une réhabilitation orale. Son maxillaire, mutilé par sa pathologie carcinomateuse et les thérapeutiques oncologiques, ne s’est pas révélé être le support idéal pour une Prothèse Amovible Complète (PAC) stable et rétentive. Afin d’améliorer le confort du patient et l’efficacité fonctionnelle de l’appareil, quatre implants ont été posés, dont deux dans le lambeau de fibula irradié. Une Prothèse Amovible Complète Implanto-Retenue (PACIR) a pu être réalisée. Discussion Ce cas clinique soulève le problème de la réhabilitation orale des patients traités pour des cancers oro-faciaux, et plus spécifiquement par des prothèses implanto-portées. Dès lors que la prothèse amovible conventionnelle n’apporte pas une réponse satisfaisante, se pose alors la question de l’implantologie. Cela implique de poser des implants dans un lambeau de fibula irradié. Si l’implantologie en secteur irradié a été beaucoup étudiée, aucun consensus n’existe concernant la pose d’implants dentaires dans des lambeaux de fibula irradiés. Les quelques articles s’intéressant au sujet rapportent des taux de succès et de survie inférieurs pour les implants posés dans les fibulas irradiées en comparaison des implants posés dans les lambeaux de fibula non irradiés, ainsi que dans les os natifs du maxillaire et de la mandibule irradiés ou non irradiés. Les résultats avancés par les auteurs restent toutefois très satisfaisants et laissent entrevoir des possibilités thérapeutiques supplémentaires dans le cadre des cancers de la cavité buccale. Les auteurs s’accordent cependant sur un point primordial : les réhabilitations implanto-portées dans des lambeaux de fibula irradiés nécessitent une stricte sélection du patient. Conclusion La PACIR a donné une entière satisfaction au patient. A deux ans, le traitement est un succès.

Guide d’ergonomie du poste de travail du chirurgien-dentiste : mise en relation du rapport posture de travail-algie et analyse des équipements disponibles sur le marché influençant sa santé


Chirurgie dentaire / 06-03-2023
Bobet Rudy
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La douleur est souvent le premier symptôme indiquant le développement ou la présence de troubles musculosquelettiques. Les chirurgiens-dentistes en souffrent couramment au cours de leur carrière. La posture de travail du chirurgien-dentiste a un impact certain sur les douleurs musculo-squelettiques. Afin d’éviter leur apparition, les praticiens doivent investir dans un bon équipement (siège opérateur, fauteuil patient, pédale, instruments, scialytique et aides optiques), s’assurer que l’équipement s’adapte à leur corps et l'utiliser correctement. Seulement, pour maintenir une position ergonomique favorisée par des équipements conçus de façon ergonomique, les chirurgiens-dentistes doivent s’assurer d’avoir une bonne condition physique, prendre des pauses régulières, gérer le flux de travail, avoir des connaissances en ergonomie, travailler dans un environnement limitant le stress, varier les tâches et les positions. Ces éléments sont d’autant plus importants si le chirurgien-dentiste est une femme et avance dans l’âge.

Effets de la corrosion microbiologiquement induite sur des surfaces implantaires en titane : étude bibliographique


Chirurgie dentaire / 02-03-2023
Jeannes Thomas
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Si les implants dentaires constituent la solution idéale pour le remplacement de dents, ceux-ci sont confrontés à un milieu électrolytique dans lequel ils sont sujets à la corrosion. Ils sont constitués d’alliages de titane, connus pour leur biocompatibilité et leur tolérance à la corrosion. Cette tolérance est expliquée par sa capacité de passivation, c’est-à-dire de formation d’une couche superficielle d’oxydes de titane à sa surface très faiblement réactive. Cependant cette couche d'oxydation peut être endommagée par les nombreuses souches microbiologiques présentes dans la cavité buccale, conduisant à la corrosion microbiologiquement induite. L’objectif de cette revue de littérature était de croiser les connaissances actuelles concernant les effets de la corrosion imputables à la formation de biofilms au niveau des surfaces implantaires en titane. Après application d’une stratégie de recherche adaptée, dix-neuf articles ont été sélectionnés. L’analyse des données a montré que ces souches, de par leur adhérence aux surfaces et leur métabolisme, induisent des conditions particulières, à savoir une acidification du milieu suite à la production d’acide lactique, et/ou la mise en place de gradients différentiels de l’oxygène. Ces conditions dégradent physiquement et chimiquement la surface. Elles favorisent la mise en place de réactions de corrosion localisée, voire même en augmentent l’intensité, et entravent la repassivation de la couche d’oxydes. Ainsi, le métabolisme de ces souches est imputable à la dissolution du titane, qui met en cause la pérennité des implants.

Intégration des outils numériques dans les enseignements cliniques et pratiques de prothèses amovibles : intérêt de la suite logicielle 3Shape


Chirurgie dentaire / 01-03-2023
Rivière Lucas
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La mise en place d'une chaine numérique de CFAO en prothèse amovible initiée par le Centre de Soins Dentaires du CHU de Rennes est essentielle afin de proposer aux étudiants une formation complète, attrayante et moderne. L'objectif de cette chaine numérique est d'aider les étudiants dans la réalisation et pour l'obtention de porte-empreintes individuels et bases d'occlusion par impression 3D. Les manuels réalisés permettent de définir pas à pas les modalités d'utilisation de cette chaine numérique (caméra optique Trios, scanner extra-oral, logiciel de CAO). Ce travail a abouti à la création de 8 manuels pédagogiques englobant l'ensemble de la chaine numérique. Des vidéos d'aides à la conception ont également été réalisées afin de faciliter la compréhension de cette étape par les étudiants du CSD du CHU de Rennes. Le travail ainsi réalisé devrait permettre aux étudiants d'acquérir une certaine autonomie dans l'appropriation et l'utilisation de ces outils numériques.

Conséquences orales des freins oraux restrictifs : revue de la littérature


Chirurgie dentaire / 28-02-2023
Lamy Azélie
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Introduction: L’allaitement maternel connaît un véritable regain d’intérêt depuis plusieurs années. Les freins buccaux restrictifs, connus pour causer des difficultés d’allaitement sont donc devenus, via les associations de soutien à l’allaitement et les réseaux sociaux, un sujet de société. Les chirurgiens-dentistes sont donc en première ligne pour dépister et traiter ces freins. Objectif : Examiner les conséquences orales, possibles et statistiquement établies, des freins buccaux restrictifs, sur les enfants et les adolescents, à destination des chirurgiens-dentistes. Matériels et méthodes : Une analyse de la littérature a été conduite de décembre 2020 à juillet 2022 sur PubMed®, Embase et Web Of Science. Une sélection de 59 articles a été retenue afin de mettre en évidence les conséquences sur la cavité orale des freins buccaux restrictifs. Résultats : Les freins buccaux restrictifs ont des répercussions multiples : récessions gingivales, caries dentaires, problèmes d’occlusion. Ils engendrent également des dysfonctions : ventilation orale, déglutition atypique, problèmes de phonation, sans qu’il y ait de preuve scientifique de lien de cause à effet. Conclusion : Les chirurgiens-dentistes doivent connaître la problématique des freins restrictifs et être capable de les dépister dans le cadre de la prévention primaire, afin d’orienter les jeunes patients vers une thérapeutique adéquate puis vers une intervention, lorsqu’elle est nécessaire. Ils devraient également être capable d’exposer aux parents et aux patients les conséquences possibles et l’état actuel de la littérature sur le sujet.

Prévention bucco-dentaire : une approche ludique à l'âge de l'autonomisation


Chirurgie dentaire / 17-02-2023
His-Mahier Cécil
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L’autonomisation est une étape importante dans l’acquisition de bonnes pratiques d’hygiène bucco-dentaire. La conception d’un jeu comme outil pédagogique met en jeu des techniques modernes d’enseignement. Le jeu développé dans ce travail de thèse est compatible avec les spécificités d’un public jeune, d'enfants âgés de 6 à 10 ans. Par le biais d’interactions physiques et sociales, le jeu met en en jeu un modèle d’apprentissage qui fait appel aux émotions, à la mémoire et à la motivation. L’objectif de ce travail de thèse était de proposer un outil pédagogique à même de renforcer les acquis sur une plus courte durée, et d’induire des changements comportementaux au long cours de manière pérenne.

Etude de l'anxiété dentaire chez les enfants neurotypiques et atteints de troubles du spectre autistique grâce à un formulaire de type message au dentiste


Chirurgie dentaire / 16-02-2023
Lemarinier Juliette
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Introduction: L’anxiété dentaire touche de nombreux enfants et a des répercussions sur leur santé bucco-dentaire. Elle est d’autant plus présente chez les patients ayant des troubles du spectre autistique (TSA). De nombreux moyens d’évaluation et de réduction de l’anxiété existent mais sont encore trop peu utilisés aujourd’hui. L’objectif de cette étude est d’évaluer et de comparer, via l’utilisation de questionnaires, l’anxiété dentaire ainsi que les moyens pouvant contribuer à la diminuer. Matériels et méthodes: Des enfants de 4 à 14 ans, neurotypiques et ayant des TSA, ont été invités à remplir le questionnaire “message au dentiste” avant et après leur rendez-vous. La première partie avait pour objectif d’évaluer l’anxiété et les peurs de l’enfant puis proposait des clés pour communiquer avec le chirurgien-dentiste. La seconde partie permettait à l’enfant une réflexion sur le rendez-vous et faisait ressortir les points positifs et négatifs sur les éléments mis en place. Résultats: Au total, 104 enfants divisés en trois groupes (4-8 ans neurotypiques, 9-14 ans neurotypiques et 4-14 ans TSA) ont été inclus dans l'étude. Une réduction significative de l’anxiété a été retrouvée dans le groupe 9-14 ans (α<0.05), sans diminution significative de l’anxiété dans les deux autres groupes. Concernant les deux groupes d’enfants neurotypiques, la majorité n’exprimait aucune inquiétude (39% pour les 4-8 ans et 50% pour les 9-14 ans). Les causes principales d’inquiétude étaient la peur de la douleur et de la piqûre. Pour les enfants TSA, la peur du bruit était la réponse la plus fréquemment retrouvée (29%). Dans les trois groupes, la musique et les explications étaient les moyens d’adaptation les plus demandés. Les éléments qui ont le mieux fonctionné pendant le soin étaient “les explications” pour les 4-8 ans (40%) et “le MEOPA” chez les TSA. Discussion: Le questionnaire “message au dentiste” s’est avéré utile pour créer une relation de confiance entre le patient et le chirurgien-dentiste. Il permet d’ouvrir la communication, d’identifier les inquiétudes et les peurs des patients afin d’élaborer des stratégies d’adaptation pour une meilleure prise en charge.

Etude de l'anxiété dentaire chez les enfants neurotypiques et atteints de troubles du spectre autistique grâce à un formulaire de type message au dentiste


Chirurgie dentaire / 16-02-2023
Josselin Maxime
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Introduction: L’anxiété dentaire touche de nombreux enfants et a des répercussions sur leur santé bucco-dentaire. Elle est d’autant plus présente chez les patients ayant des troubles du spectre autistique (TSA). De nombreux moyens d’évaluation et de réduction de l’anxiété existent mais sont encore trop peu utilisés aujourd’hui. L’objectif de cette étude est d’évaluer et de comparer, via l’utilisation de questionnaires, l’anxiété dentaire ainsi que les moyens pouvant contribuer à la diminuer. Matériels et méthodes: Des enfants de 4 à 14 ans, neurotypiques et ayant des TSA, ont été invités à remplir le questionnaire “message au dentiste” avant et après leur rendez-vous. La première partie avait pour objectif d’évaluer l’anxiété et les peurs de l’enfant puis proposait des clés pour communiquer avec le chirurgien-dentiste. La seconde partie permettait à l’enfant une réflexion sur le rendez-vous et faisait ressortir les points positifs et négatifs sur les éléments mis en place. Résultats: Au total, 104 enfants divisés en trois groupes (4-8 ans neurotypiques, 9-14 ans neurotypiques et 4-14 ans TSA) ont été inclus dans l'étude. Une réduction significative de l’anxiété a été retrouvée dans le groupe 9-14 ans (α<0.05), sans diminution significative de l’anxiété dans les deux autres groupes. Concernant les deux groupes d’enfants neurotypiques, la majorité n’exprimait aucune inquiétude (39% pour les 4-8 ans et 50% pour les 9-14 ans). Les causes principales d’inquiétude étaient la peur de la douleur et de la piqûre. Pour les enfants TSA, la peur du bruit était la réponse la plus fréquemment retrouvée (29%). Dans les trois groupes, la musique et les explications étaient les moyens d’adaptation les plus demandés. Les éléments qui ont le mieux fonctionné pendant le soin étaient “les explications” pour les 4-8 ans (40%) et “le MEOPA” chez les TSA. Discussion: Le questionnaire “message au dentiste” s’est avéré utile pour créer une relation de confiance entre le patient et le chirurgien-dentiste. Il permet d’ouvrir la communication, d’identifier les inquiétudes et les peurs des patients afin d’élaborer des stratégies d’adaptation pour une meilleure prise en charge.

Connaissances des enseignants du CP au CM2 sur la prise en charge des traumatismes dentaires des dents permanentes en Bretagne


Chirurgie dentaire / 15-02-2023
Lefrais Emma
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Les enfants passent la majeure partie de leur journée à l’école, lieu où les traumatismes dentaires sont fréquents. En effet, près d’un adulte sur 4 aurait subi un traumatisme dentaire dans son enfance. Les professeurs des écoles étant les premières personnes responsables à intervenir en cas de traumatisme chez un enfant, ils sont les acteurs clés pour minimiser la perte de chance de l’organe dentaire. La question est alors la suivante : les enseignants connaissent-ils la prise en charge immédiate des traumatismes dentaires chez les enfants en écoles primaires ? Pour ce faire, un questionnaire diffusé par internet a été transmis aux professeurs des écoles publiques et privées de Bretagne enseignant dans les classes allant du CP au CM2. Leurs réponses ont permis dans un premier temps de savoir s’ils étaient formés théoriquement sur les dents ainsi que sur les traumatismes bucco-dentaires, et d'autre part, de constater leurs connaissances pratiques sur la prise en charge de ceux-ci. En effet, ces enseignants sont demandeurs d'information concernant la prise en charge en urgence d'un traumatisme dentaire chez l'enfant.

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