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| Fermeture percutanée du canal artériel du nouveau-né de moins de 3 kg, retour de 5 ans d'expérience (Trancatheter ductus arteriosus closure : immediate results) Jaffré, Raphaël - (2022-10-17) / Universite de Rennes 1 - Fermeture percutanée du canal artériel du nouveau-né de moins de 3 kg, retour de 5 ans d'expérience
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Langue : Français Directeur(s) de thèse: Baruteau, Alban-Elouen Discipline : Cardiologie Pédiatrique Classification : Médecine et santé Mots-clés : Cardiologie pédiatrique, Cathétérisme cardiaque, néonatologie
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Résumé : Le canal artériel est une structure qui relie l’aorte descendante proximale avec le toit de l’artère pulmonaire juste à l’origine de l’artère pulmonaire gauche. Sa persistance est également associée avec une morbi-mortalité chez les nouveau-nés prématurés. En effet différentes études de la littérature remarquent une majoration du risque de persistance de détresse respiratoire, d’hémorragie intra-ventriculaire, d’entérocolite ulcéro-nécrosante, de dysfonction cardiaque diastolique, de rétinopathie du prématuré, d’apparition de bronchodysplasie mais également un taux de survie plus bas chez ces enfants. Le traitement du canal artériel est souvent sujet à débat car les études randomisées ont jusqu’à présent échoué à démontrer un bénéfice pour les enfants prématurés. Le traitement de première ligne aujourd'hui repose sur les traitements médicamenteux que sont l'Ibuprofène et l'Acétaminophène. Mais la fermeture du canal artériel dans le cadre d'un traitement pharmacologique n'intervient que dans 70% des cas avec des effets secondaires non négligeables. La première prise en charge chirurgicale d’un canal artériel a été réalisée en 1939 par Gross and Hubbard. Longtemps celle-ci a été la référence, mais les complications post -opératoires sont nombreuses Une alternative a donc du être trouvée et la première fermeture percutanée de canal artériel à donc été réalisée par Porstmann en 1967 et est aujourd'hui la référence en recours du traitement pharmacologique. Les récentes avancées et miniaturisations des prothèses de canal artériel, permettent de réaliser des procédures chez des prématurés parfois pesant seulement 700g. Le futur repose probablement dans la réalisation de ces procédures directement à la couveuse du malade. Abstract : | |||