État des lieux des connaissances et attentes des consommateurs : les substances polémiques dans les cosmétiques (State of consumer knowledge and expectations : controversial substances in cosmetics) Radenac, Ninon - (2022-07-01) / Universite de Rennes 1 - État des lieux des connaissances et attentes des consommateurs : les substances polémiques dans les cosmétiques Accéder au document :  https://ged.univ-rennes1.fr/nuxeo/site/esupversion...

Langue : Français Directeur(s) de thèse:  Brandhonneur, Nolwenn Discipline : Pharmacie Classification : Médecine et santé Mots-clés : Produits cosmétiques, Santé environnementale, Perturbateurs endocriniens, Prévention, Sondage Produits cosmétiques Perturbateurs endocriniens Maladies de l'environnement Connaissances, attitudes et pratiques en santé Consommateurs

Résumé : Yuka, QuelCosmetic, INCI Beauty… de plus en plus d’applications de notation des cosmétiques voient le jour et remplacent le conseil humain dans nos officines par l’aide du smartphone. Ces nouveaux modes de consommation m’ont amené à proposer un questionnaire destiné dans un premier temps aux consommateurs pour en savoir plus sur leurs connaissances vis-à-vis des substances polémiques dans les produits cosmétiques. Un deuxième sondage similaire a été soumis aux officinaux dans un but de comparaison de l’information des deux populations sur ce thème. L’intérêt de ce travail était d’alerter sur les risques réellement existants et rassurer sur les polémiques non fondées largement relayées par les médias, en exposant les différentes études scientifiques disponibles sur les substances les plus citées lors des sondages. Enfin, nous exposerons les alternatives possibles aux consommateurs désirant limiter leur exposition à ces ingrédients cosmétiques controversés. Abstract : Yuka, QuelCosmetic, INCI Beauty… more and more cosmetic rating applications are emerging and are replacing human advice in our pharmacies with the help of smartphones. These new modes of consumption led me to propose a questionnaire intended initially for consumers to find out more about their knowledge of controversial substances in cosmetic products. A second similar survey was submitted to people working in pharmacies with the aim of comparing the information of the two populations on this topic. The interest of this work was to alert on the really existing risks and to reassure on the unfounded controversies widely relayed by the media, by exposing the various scientific studies available on the substances most quoted during the surveys. Finally, we will outline possible alternatives for consumers wishing to limit their exposure to these controversial cosmetic ingredients.