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Identification des freins et des pistes d’améliorations de la relation médecin généraliste-kinésithérapeute : une étude qualitative auprès de kinésithérapeutes (Identification of obstacles and leads of improvement of the relation between generalpracticionner and physiothérapiste : a discours analysis of physiothérapists) Begaud, Paul - (2021-11-30) / Universite de Rennes 1 - Identification des freins et des pistes d’améliorations de la relation médecin généraliste-kinésithérapeute : une étude qualitative auprès de kinésithérapeutes
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Langue : Français Directeur(s) de thèse: Autret, Katell Discipline : Médecine générale Classification : Médecine et santé Mots-clés : Collaboration intersectorielle, Kinésithérapie, Médecine Générale
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Résumé : IIntroduction : La coopération entre le médecin généraliste et le kinésithérapeute est de plus en plus importante du fait du vieillissement de la population générale. Cette collaboration n’est pas optimale. Méthode : Cette étude qualitative auprès de 10 kinésithérapeutes par entretien semidirectif a pour but de déterminer les freins et les leviers à cette relation. Résultats : Cette étude montre que les freins évoqués sont l’absence de relation et une qualité hétérogène de cette relation, une prescription médicale souvent mal conduite avec un manque d’information, une méconnaissance de la profession de kinésithérapeute par les médecins généraliste, le manque d’outils adaptés à la communication et parfois une mauvaise image du kinésithérapeute perçue. Les leviers évoqués seraient de développer des formations communes, de favoriser le lien par des rencontres physiques et de la convivialité professionnelle, d’améliorer les outils de communication et la transmission d’information via les lettres accompagnant la prescription ainsi que de procéder à un changement des modes de rémunération. Conclusion : Ce travail a permis de confirmer que les formations communes ou les améliorations de la prescription pouvaient améliorer la relation. Les outils adaptés restent encore à être améliorés. Il reste aussi à voir si les formations communes et le développement des maisons de santés améliore cette relation. Abstract : |